Le 18 janvier dernier, 18 stagiaires, 18 parcours, 18 projets de vie et 18 projets professionnels différents, se sont rencontrés autour d’une même passion, celle du chocolat et de la confiserie, enseignée par le professionnel reconnu qu’est Régis Bouet. Et si la passion du chocolat et de la confiserie est commune à tous les stagiaires, les profils et les parcours des 18 stagiaires sont bien différents.
Quelques chiffres:
La promotion est mixte, (10 hommes et 8 femmes) et plutôt jeune (moyenne d’âge 29 ans) même si le benjamin a 20 ans et l’aîné 56.
7 stagiaires sont normands (Haute et Basse-Normandie), 10 viennent d’autres régions françaises et un de l’étranger. Toutes et tous sont diplômés : 7 ont un diplôme du secondaire, 7 ont suivi des études supérieures cycle court (Bac + 3) et 4 ont suivi un cycle supérieur long (Bac + 4 et plus).
Sur les 18 stagiaires de cette première session, 9 sont en reconversion professionnelle pour un changement radical d’activité, 4 suivent la formation pour acquérir des compétences complémentaires par rapport à leur emploi actuel (cuisinier, boulanger, pâtissier...), 3 sont en retour à l’emploi après une période de chômage ou d’inactivité et enfin 2 stagiaires sont en réorientation pendant ou juste après leur parcours scolaire ou universitaire.
Les débouchés de la formation sont multiples, les projets des stagiaires également.
Qu’ils aient délibérément choisi de changer de vie professionnelle ou qu’ils y aient été contraints par un licenciement, tous ont choisi la chocolaterie-confiserie par passion et tous sont arrivés avec un projet déjà ébauché, à l’image d’Antoine, d’Aline, de Pierre, de Sophie, de Grégory ou encore de Gaëlle.
- Antoine Cataldi, lyonnais de 56 ans, après 15 ans dans la carrosserie, puis 17 ans aux côtés de son père dans l’entreprise familiale de chaussures, a choisi de suivre cette formation pour relever un défi : ouvrir, avec son fils boulanger-pâtissier, une affaire familiale et créer une boulangerie-pâtisserie-chocolaterie dans la région de Lyon.
- Aline Ordronneau, 29 ans, arrive de Paris où elle vient de décrocher son titre d’avocate. Après un DEA, elle s’octroie une année de césure pour faire de la musique et repart 18 mois en formation à l’école des avocats de Paris pour décrocher son CAPA. (Certificat d'aptitude à la profession d'avocat). Elle découvre cette formation unique de préparation au CAP de chocolatier-confiseur montée par l’INBP. Elle s'inscrit. Aline, 29 ans, fait un choix de vie.
- Pierre Garandel, niortais de 54 ans , maîtrise d’informatique, a managé pendant 18 ans des projets dans une SSII avant d’être, pendant 9 ans, directeur informatique d’une société d’un groupe de VPC (vente par correspondance)... et puis la crise, le licenciement économique et en 2008, le chômage. Le monde du chocolat séduit Pierre. Il affine alors un projet : reprendre une unité de production et ouvrir des magasins... pourquoi pas avec du personnel et pourquoi pas en imposant aux produits une patte qui serait la sienne.
- Sophie Simon, 31 ans, vient en voisine. Rouennaise, elle travaillait dans l’immobilier. Avec la crise, l’agence a déposé le bilan et Sophie s’est retrouvée licenciée économiquement. Depuis 10 ans, Sophie fait de la pâtisserie. Elle tient d’ailleurs un blog « sofilagourmande » où elle fait partager ses recettes et ses rencontres avec les grands de la pâtisserie. « Je voudrais ouvrir une pâtisserie, chocolaterie, salon de thé, dans un gros bourg, là où il existe encore une tradition du gâteau du dimanche ».
- Grégory Vaisse, 20 ans, bac STG compta et BTS d’assistant de gestion en poche, est le petit jeune de la promo, mais avec des idées bien arrêtées sur le parcours scolaire qu’il a entamé et qu’il souhaite poursuivre. « Je veux m’installer à mon compte comme pâtissier chocolatier, créer un nouveau concept de magasin et proposer des produits innovants. Il faut avoir des bases de comptabilité et de gestion et je pense que c’est mieux et plus facile de les acquérir avant d’apprendre la pratique de la pâtisserie et de la chocolaterie. ».
- Gaëlle Villemont, 31 ans, tout à la fois parisienne, bretonne et rouennaise, mais surtout Gaëlle la passionnée, résume son éthique personnelle et son choix de vie par la phrase « je veux concilier ce qui est bon et ce qui est beau dans une démarche responsable et respectueuse de la santé et de l’environnement ». Gaëlle ébauche plusieurs projets : ouvrir un salon de thé pâtisserie chocolaterie qui propose des produits bio, créer un réseau de distribution pour commercialiser ses produits bio auprès de restaurants, ou encore pourquoi pas, les proposer sur des marchés bio. Quel que soit son choix, il s’inscrira dans une démarche écologique responsable de l’environnement et de la santé.
Un formateur aux multiples approches pour respecter les différences de niveaux des stagiaires, leurs motivations spécifiques et leurs projets uniques.
La formation est assurée par Régis Bouet, entouré de professionnels renommés. Ce qui fait courir Régis Bouet, 39 ans, dans le monde du chocolat, c’est de transmettre sa passion, son savoir-faire et toutes les expériences qu’il a pu vivre au travers d’un parcours diversifié. Ainsi a-t-il déjà conseillé des chocolatiers, de l’artisan à la petite industrie. « Je suis tombé dans le chocolat après 4 mois d’apprentissage en pâtisserie, grâce à un professeur qui a su me faire partager sa passion. C’est aussi ce qui m’anime aujourd’hui : transmettre.»
A l’INBP, l’enseignement va au-delà des exigences imposées par le référentiel de l’examen. « Le chocolat, c’est très technique. Pendant la formation, les stagiaires apprennent le solfège, font leurs gammes. Puis ils obtiennent le CAP. Cela représente la première étape. Ensuite il faut des années de pratique pour confirmer son art » explique Régis Bouet qui anime cette formation autour d’un produit passionnant, mais difficile, pour des adultes aux niveaux, parcours et projets tellement différents. « C’est une expérience riche du fait de ce groupe multiculturel et multigénérationnel. » conclut Régis Bouet.
Un pari réussi pour l’INBP, qui a déjà programmé, pour 2011, une deuxième session de formation accélérée au CAP de chocolatier-confiseur.
Pour Gérard Brochoire, qui depuis 1982 dirige l’INBP, cette formation est un succès, car elle répond à la conjonction de plusieurs faits.
Le chocolat est un produit doté d’une image positive et qui séduit de plus en en plus. « Le chocolat est un produit caméléon. C’est un aliment plaisir, un aliment santé, c’est un produit transformable pour lequel on peut conjuguer savoir technique et créativité. C’est un produit multiple, comme le vin on parle de terroirs, de crus et c’est un produit, qui comme le café, peut rentrer dans une démarche de commerce équitable » explique Gérard Brochoire.
Par ailleurs, de nombreux adultes doivent ou souhaitent se reconvertir, du fait de l’allongement de la durée de vie professionnelle. « Il faut de plus en plus de personnes formées à ce produit pour pouvoir le travailler. C’est pourquoi, dans le cadre de l’élargissement de la gamme de formations accélérées proposées par l’INBP, nous avons choisi de lancer cette formation au CAP de chocolatier-confiseur. »
Pour l’INBP, la préparation de la deuxième session est déjà en route. Elle se déroulera à partir de janvier 2011, avec des groupes de 16 stagiaires. « Nous conservons le même déroulé. De plus, nous renforçons notre capacité d’hébergement en ouvrant une résidence qui est en cours de construction à côté de l’INBP. » conclut Gérard Brochoire.
Quelques chiffres:
La promotion est mixte, (10 hommes et 8 femmes) et plutôt jeune (moyenne d’âge 29 ans) même si le benjamin a 20 ans et l’aîné 56.
7 stagiaires sont normands (Haute et Basse-Normandie), 10 viennent d’autres régions françaises et un de l’étranger. Toutes et tous sont diplômés : 7 ont un diplôme du secondaire, 7 ont suivi des études supérieures cycle court (Bac + 3) et 4 ont suivi un cycle supérieur long (Bac + 4 et plus).
Sur les 18 stagiaires de cette première session, 9 sont en reconversion professionnelle pour un changement radical d’activité, 4 suivent la formation pour acquérir des compétences complémentaires par rapport à leur emploi actuel (cuisinier, boulanger, pâtissier...), 3 sont en retour à l’emploi après une période de chômage ou d’inactivité et enfin 2 stagiaires sont en réorientation pendant ou juste après leur parcours scolaire ou universitaire.
Les débouchés de la formation sont multiples, les projets des stagiaires également.
Qu’ils aient délibérément choisi de changer de vie professionnelle ou qu’ils y aient été contraints par un licenciement, tous ont choisi la chocolaterie-confiserie par passion et tous sont arrivés avec un projet déjà ébauché, à l’image d’Antoine, d’Aline, de Pierre, de Sophie, de Grégory ou encore de Gaëlle.
- Antoine Cataldi, lyonnais de 56 ans, après 15 ans dans la carrosserie, puis 17 ans aux côtés de son père dans l’entreprise familiale de chaussures, a choisi de suivre cette formation pour relever un défi : ouvrir, avec son fils boulanger-pâtissier, une affaire familiale et créer une boulangerie-pâtisserie-chocolaterie dans la région de Lyon.
- Aline Ordronneau, 29 ans, arrive de Paris où elle vient de décrocher son titre d’avocate. Après un DEA, elle s’octroie une année de césure pour faire de la musique et repart 18 mois en formation à l’école des avocats de Paris pour décrocher son CAPA. (Certificat d'aptitude à la profession d'avocat). Elle découvre cette formation unique de préparation au CAP de chocolatier-confiseur montée par l’INBP. Elle s'inscrit. Aline, 29 ans, fait un choix de vie.
- Pierre Garandel, niortais de 54 ans , maîtrise d’informatique, a managé pendant 18 ans des projets dans une SSII avant d’être, pendant 9 ans, directeur informatique d’une société d’un groupe de VPC (vente par correspondance)... et puis la crise, le licenciement économique et en 2008, le chômage. Le monde du chocolat séduit Pierre. Il affine alors un projet : reprendre une unité de production et ouvrir des magasins... pourquoi pas avec du personnel et pourquoi pas en imposant aux produits une patte qui serait la sienne.
- Sophie Simon, 31 ans, vient en voisine. Rouennaise, elle travaillait dans l’immobilier. Avec la crise, l’agence a déposé le bilan et Sophie s’est retrouvée licenciée économiquement. Depuis 10 ans, Sophie fait de la pâtisserie. Elle tient d’ailleurs un blog « sofilagourmande » où elle fait partager ses recettes et ses rencontres avec les grands de la pâtisserie. « Je voudrais ouvrir une pâtisserie, chocolaterie, salon de thé, dans un gros bourg, là où il existe encore une tradition du gâteau du dimanche ».
- Grégory Vaisse, 20 ans, bac STG compta et BTS d’assistant de gestion en poche, est le petit jeune de la promo, mais avec des idées bien arrêtées sur le parcours scolaire qu’il a entamé et qu’il souhaite poursuivre. « Je veux m’installer à mon compte comme pâtissier chocolatier, créer un nouveau concept de magasin et proposer des produits innovants. Il faut avoir des bases de comptabilité et de gestion et je pense que c’est mieux et plus facile de les acquérir avant d’apprendre la pratique de la pâtisserie et de la chocolaterie. ».
- Gaëlle Villemont, 31 ans, tout à la fois parisienne, bretonne et rouennaise, mais surtout Gaëlle la passionnée, résume son éthique personnelle et son choix de vie par la phrase « je veux concilier ce qui est bon et ce qui est beau dans une démarche responsable et respectueuse de la santé et de l’environnement ». Gaëlle ébauche plusieurs projets : ouvrir un salon de thé pâtisserie chocolaterie qui propose des produits bio, créer un réseau de distribution pour commercialiser ses produits bio auprès de restaurants, ou encore pourquoi pas, les proposer sur des marchés bio. Quel que soit son choix, il s’inscrira dans une démarche écologique responsable de l’environnement et de la santé.
Un formateur aux multiples approches pour respecter les différences de niveaux des stagiaires, leurs motivations spécifiques et leurs projets uniques.
La formation est assurée par Régis Bouet, entouré de professionnels renommés. Ce qui fait courir Régis Bouet, 39 ans, dans le monde du chocolat, c’est de transmettre sa passion, son savoir-faire et toutes les expériences qu’il a pu vivre au travers d’un parcours diversifié. Ainsi a-t-il déjà conseillé des chocolatiers, de l’artisan à la petite industrie. « Je suis tombé dans le chocolat après 4 mois d’apprentissage en pâtisserie, grâce à un professeur qui a su me faire partager sa passion. C’est aussi ce qui m’anime aujourd’hui : transmettre.»
A l’INBP, l’enseignement va au-delà des exigences imposées par le référentiel de l’examen. « Le chocolat, c’est très technique. Pendant la formation, les stagiaires apprennent le solfège, font leurs gammes. Puis ils obtiennent le CAP. Cela représente la première étape. Ensuite il faut des années de pratique pour confirmer son art » explique Régis Bouet qui anime cette formation autour d’un produit passionnant, mais difficile, pour des adultes aux niveaux, parcours et projets tellement différents. « C’est une expérience riche du fait de ce groupe multiculturel et multigénérationnel. » conclut Régis Bouet.
Un pari réussi pour l’INBP, qui a déjà programmé, pour 2011, une deuxième session de formation accélérée au CAP de chocolatier-confiseur.
Pour Gérard Brochoire, qui depuis 1982 dirige l’INBP, cette formation est un succès, car elle répond à la conjonction de plusieurs faits.
Le chocolat est un produit doté d’une image positive et qui séduit de plus en en plus. « Le chocolat est un produit caméléon. C’est un aliment plaisir, un aliment santé, c’est un produit transformable pour lequel on peut conjuguer savoir technique et créativité. C’est un produit multiple, comme le vin on parle de terroirs, de crus et c’est un produit, qui comme le café, peut rentrer dans une démarche de commerce équitable » explique Gérard Brochoire.
Par ailleurs, de nombreux adultes doivent ou souhaitent se reconvertir, du fait de l’allongement de la durée de vie professionnelle. « Il faut de plus en plus de personnes formées à ce produit pour pouvoir le travailler. C’est pourquoi, dans le cadre de l’élargissement de la gamme de formations accélérées proposées par l’INBP, nous avons choisi de lancer cette formation au CAP de chocolatier-confiseur. »
Pour l’INBP, la préparation de la deuxième session est déjà en route. Elle se déroulera à partir de janvier 2011, avec des groupes de 16 stagiaires. « Nous conservons le même déroulé. De plus, nous renforçons notre capacité d’hébergement en ouvrant une résidence qui est en cours de construction à côté de l’INBP. » conclut Gérard Brochoire.
La formation 2011, qui se déroulera dans les locaux de l’INBP à Rouen, de janvier à mai 2011, se compose de 3 modules : le module CAP enseignement général, le module CAP pro et le module complémentaire gestion d’une boulangerie-pâtisserie.
- Le module « CAP pro » est obligatoire pour tous les candidats.
- Les modules « CAP enseignement général » et « gestion d’une boulangerie-pâtisserie » sont optionnels. Si le stagiaire n’a pas de diplôme français lui permettant une dispense à l’examen, ou pour les candidats étrangers dont les diplômes ne bénéficient pas d’une reconnaissance académique en France, le module CAP enseignement général sera fortement conseillé. Le module gestion d’une boulangerie-pâtisserie concerne plus particulièrement les stagiaires désireux de se mettre à leur compte en ouvrant un point de vente.
Ces 3 modules peuvent être complétés par un stage d’application dans une boulangerie pâtisserie chocolaterie française, stage découverte réservé aux ressortissants du Pôle emploi et aux stagiaires venant de l’étranger.
La formation est sanctionnée par :
- un diplôme INBP remis aux stagiaires qui ont fait preuve d’assiduité et qui ont obtenu une moyenne de 12/20 sur l’ensemble des notes attribuées périodiquement dans chaque matière,
- le CAP chocolatier-confiseur délivré par l’Education Nationale, pour les candidats ayant subi avec succès les épreuves qui se déroulent à l’INBP en mai/juin 2011, après la formation.
Le coût de la formation pour le module CAP pro obligatoire de 600 heures est de :
- Prix demandeur d'emploi : 5.877,80 € HT (7029,85 € TTC)
- Autres : 6.912,98 € HT (8267,92 € TTC).
Frais de dossier (tarif unique, quel que soit le nombre de modules choisis) :
- Demandeur d’emploi : 40 € TTC,
- Autres : 80 € TTC.
Il existe des possibilités de prise en charge de tout ou partie des frais de formation, d’une rémunération pendant le stage dans le cadre d’un congé individuel de formation ou du maintien des indemnités du Pôle Emploi. Les possibilités sont en fonction du statut : - artisan relevant du secteur alimentaire,
- artisan de tout autre secteur,
- salarié en boulangerie-pâtisserie,
- salarié de tout autre secteur
- demandeur d’emploi...
Ce stage bénéficie d’une convention Pôle Emploi.
Si l’hébergement et la restauration sont à la charge des stagiaires, l’INBP leur propose des studios modernes et agréables au sein de sa toute nouvelle résidence, ainsi que la possibilité de déjeuner, en semaine, au self de l’institut.
Les candidats intéressés peuvent obtenir des renseignements complémentaires ou demander un dossier d’inscription, par téléphone au service formation au 02 35 58 17 99.
INBP - 150 boulevard de l'Europe - BP 1032 - 76171 Rouen cedex 1 -
- Le module « CAP pro » est obligatoire pour tous les candidats.
- Les modules « CAP enseignement général » et « gestion d’une boulangerie-pâtisserie » sont optionnels. Si le stagiaire n’a pas de diplôme français lui permettant une dispense à l’examen, ou pour les candidats étrangers dont les diplômes ne bénéficient pas d’une reconnaissance académique en France, le module CAP enseignement général sera fortement conseillé. Le module gestion d’une boulangerie-pâtisserie concerne plus particulièrement les stagiaires désireux de se mettre à leur compte en ouvrant un point de vente.
Ces 3 modules peuvent être complétés par un stage d’application dans une boulangerie pâtisserie chocolaterie française, stage découverte réservé aux ressortissants du Pôle emploi et aux stagiaires venant de l’étranger.
La formation est sanctionnée par :
- un diplôme INBP remis aux stagiaires qui ont fait preuve d’assiduité et qui ont obtenu une moyenne de 12/20 sur l’ensemble des notes attribuées périodiquement dans chaque matière,
- le CAP chocolatier-confiseur délivré par l’Education Nationale, pour les candidats ayant subi avec succès les épreuves qui se déroulent à l’INBP en mai/juin 2011, après la formation.
Le coût de la formation pour le module CAP pro obligatoire de 600 heures est de :
- Prix demandeur d'emploi : 5.877,80 € HT (7029,85 € TTC)
- Autres : 6.912,98 € HT (8267,92 € TTC).
Frais de dossier (tarif unique, quel que soit le nombre de modules choisis) :
- Demandeur d’emploi : 40 € TTC,
- Autres : 80 € TTC.
Il existe des possibilités de prise en charge de tout ou partie des frais de formation, d’une rémunération pendant le stage dans le cadre d’un congé individuel de formation ou du maintien des indemnités du Pôle Emploi. Les possibilités sont en fonction du statut : - artisan relevant du secteur alimentaire,
- artisan de tout autre secteur,
- salarié en boulangerie-pâtisserie,
- salarié de tout autre secteur
- demandeur d’emploi...
Ce stage bénéficie d’une convention Pôle Emploi.
Si l’hébergement et la restauration sont à la charge des stagiaires, l’INBP leur propose des studios modernes et agréables au sein de sa toute nouvelle résidence, ainsi que la possibilité de déjeuner, en semaine, au self de l’institut.
Les candidats intéressés peuvent obtenir des renseignements complémentaires ou demander un dossier d’inscription, par téléphone au service formation au 02 35 58 17 99.
INBP - 150 boulevard de l'Europe - BP 1032 - 76171 Rouen cedex 1 -