Alimentation, chocolat et ACNÉ : on nous a MENTI ?





Sébastien : Hello, c’est Sébastien, du site internet chococlic.com. Aujourd’hui, j’avais envie de réinviter docteur Lothaire. Vous l’avez peut-être vu sur la précédente vidéo sur l’acné et les boutons d’acné et le chocolat, toute la vérité. Aujourd’hui en fait, j’avais envie d’aller encore plus loin sur l’acné notamment l’alimentation, l’acné et le chocolat, mais aussi la tolérance au chocolat, par rapport à l’intestin.
On en a discuté par rapport aux questions précédentes, etc. Moi, je voulais faire cette vidéo avec docteur Lothaire pour qu’on aille en profondeur. Alors, ça va être un peu plus technique, donc ceux qui ne sont pas… qui n’aiment pas du tout la technique, vous pouvez partir, mais ceux qui veulent vraiment comprendre, savoir pourquoi, etc. peut être par rapport à votre cas, à vous, et bien de dire : « OK, ça c’est pour moi, je comprends mieux pourquoi ou qu’est-ce que je peux faire moi aussi là dessus. » Et docteur Lothaire va vous donner des astuces, justement pour mieux sentir ou pour savoir ou peut être guidé sur ce qu’il faut faire ou pas dans cette vidéo.
Alors salut Lothaire ! Je te remercie de revenir sur notre chaîne pour cette vidéo. Est-ce que tu peux te présenter en quelques mots, qui tu es ? Et puis après, on attaque en profondeur sur la tolérance alimentation, acné et chocolat.

Lothaire : Superbe. Et bien, écoute... très bien, bonjour à tous. Bonjour à toi, Sébastien. Merci de m’avoir à nouveau. Et pour vous raconter un peu ma petite histoire, donc moi, je ne suis pas différent de vous en faites. Si vous avez eu de l’acné ou si vous avez de l’acné, ma petite histoire, c’est simplement que j’ai eu de l’acné en étant adolescent, qui a continué à l’âge adulte et même en devenant pharmacien, je n’arrivais pas à m’en débarrasser alors que j’avais accès à tout ce qui existait. Et malgré que je travaillais à l’hôpital, je travaillais dans l’industrie de pharmaceutique, travaillais dans les instituts cliniques, etc. Je n’arrivais pas à m’en débarrasser et du coup, je ne me voyais pas vivre avec ça toute ma vie. En plus, j’ai un frère avec qui j’ai 20 ans d’écart et qui lui à l’époque avait 42, 44 ans, je me disais : « mais moi, je ne garderai pas de l’acné toute ma vie comme ça ». Donc il n’était pas question pour moi de rester dans cette situation. Et du coup, j’ai appris tout à zéro. J’ai travaillé, j’ai utilisé toutes les connaissances que j’avais et énormément de persévérance pour non pas chercher ce qui sonne bien, mais ce qui fonctionne vraiment pour se débarrasser de l’acné. C’est comme ça que je m’en suis débarrassé sainement sans utiliser un médicament, parce que c’était mes valeurs. ET c’est comme ça que j’ai monté Skin Campus derrière avec toutes les personnes qui me demandent de l’aide et ce qui fait que maintenant, on est une petite équipe et on accompagne des centaines et des centaines de personnes pour se débarrasser de l’acné sainement.

Sébastien : OK, cool, génial, mais c’est un peu… et puis en plus, comme tu me disais t’es vraiment un spécialiste. Tu es docteur, déjà, voilà. Mais des fois, souvent, on se dit, mais attend il est docteur… moi, aller je vais te mettre… je te mets un peu de sucre sur ton dos… une fois que tu es docteur, ils disent ouais pour maigrir, fait ceci. Et puis le gars, il a une grosse bedaine. Chère bonne madame, pour maigrir, il faut faire cela, cela… C’est un exemple. Est-ce que vous suivez, ce genre de docteur ! Non. Après il y a des docteurs qui sont en bonne santé et qui savent ce qu’il faut faire et heureusement pour ça. Et c’est pour ça aussi que j’ai voulu te faire venir et échanger avec toi là dessus. Parce que tu es docteur, tu as fait ces cherches. Tu connais aussi bien la partie scientifique, la partie médicale, et la partie aussi expérience. Toi, à toi même et tu t’es spécialisé dessus. Tu as aussi beaucoup d’expérience et notamment aussi avec des clients et tus as des résultats hallucinants. Donc, c’est pour ça que pour moi tu es une personne vraiment très complète et vraiment un spécialiste sur ce domaine-là. C’est pour cela que je voulais vraiment échanger avec toi là-dessus.

Lothaire : Je te remercie. Je pense que pour compléter ce que tu dis, en vérité, je vais d’abord m’en débarrasser, moi, en fait.

Sébastien : Oui, ouais, mais toi c’est sur, mais tu vois, comme là on va aller un peu plus en profondeur sur la… je ne vais pas dire la technicité, mais je veux dire vraiment pour qui, pour quoi ? Et on va parler d’un festin et puis peut être quelques mots techniques, etc. pour que les gens comprennent bien. En fait, c’est ça parce que toi, t’as fait cette expérience globale qui permet… toi, t’as pas de juste la partie : « OK. Moi, j’ai eu de l’acné sévère, importante et pour de se débarrasser j’ai trouvé plein d’astuce, voilà. Mai tu as tout ce parcours et tu as toutes ces expériences aussi médicales où tu as pu dire : “attends, on m’a dit ça, les médecins m’ont dit ça ou des potes dermatos m’ont dit ça. Mais j’ai essayé et ça ne fait rien du tout. J’ai des potes médecin, mais voilà…”. Tu vois ? Et c’est important de le préciser puisque même moi, en tant que client consommateur ou en tout cas extérieur à ça, je me dis : “OK, mais il me raconte du pipo, il ne me raconte pas de pipo, est-ce que c’est vrai, est-ce que ce n’est pas vrai. C’est quoi ? Et avoir cette expérience vraiment profonde et tout, je vous dis, ça c’est important que tu puisses partager aujourd’hui ton expérience, ton expertise. Et pour aider les personnes qui nous écoutent aujourd’hui, qui veulent éclaircir en tout cas et approfondir pour savoir, c’est quoi le truc ? Pourquoi ? Qu’est-ce qui se passe en fait avec le chocolat.
Mais je pense que... tu ne vas pas m’arrêter, notons qu’il n’y a pas que l’alimentation, il y a autre chose, etc. Mais là, j’ai vraiment envie que tu parles de... tu me parlais de tolérance au chocolat. Pourquoi certains sont intolérants au chocolat ? Donc, voilà si tu peux en dire plus et attaquer ce sujet-là pour démonter peut-être des croyances ou pour dire attention, ceci est ensorcelant et voilà.

Lothaire : Alors tu parlais du mot intolérance. On parle du mot tolérance, intolérance, allergie ou des choses comme ça. On va faire attention à tout ce vocabulaire-là parce que ça définit à chaque fois un palier différent et des réactions immunitaires différentes.

Sébastien : OK

Lothaire : Je pense qu’il faut vraiment revenir au corps et se dire : ‘OK. Qu’est-ce qui se passe ? Il y a certaines personnes qui vont réagit… déjà il certaine personne qui ont de l’acné et d’autre qui ne vont pas avoir d’acné. On a expliqué ça dans la dernière vidéo ensemble. Et on va avoir les personnes qui vont réagir ou pas au chocolat. Et moi, ce que j’aime bien dire, c’est qu’il faut revenir simplement au résultat, c’est-à-dire : ce n’est pas la peine de dire le chocolat ça fait ceci, le chocolat, ça fait cela. C’est bidule. Vous en prenez. Ça génère une poussée. Vous êtes réactif ? Point barre. Ce n’est pas la peine d’aller plus loin. Voilà. Donc, il a des gens qui veulent faire des tests un petit peu plus profonds, des tests avec des cgg, etc. OK, mais même si ce test-là, il revient négatif, si vous vous le mangez et que ça vous génère un poussé, vous ne tolérez pas ? La réponse elle est là.

Sébastien : Oui, mais alors pas du tout. Mais par rapport à ça, parce que tu vois, on avait parlé la dernière fois que ça dépend de quel chocolat vous prenez, et ça dépend aussi du mélange avec quels aliments vous le prenez. Donc, si par exemple vous mangez un chocolat et que vous avez des poussées… tu m’arrêtes si je me trompe et si je comprends bien ?

Lothaire : D’accord, alors là je te suis.

Sébastien : Parce que je ne voudrais pas que tu généralises trop par rapport à… elle est dans des cas où on dit voilà, peut être que la personne, elle mange du chocolat au lait et ça fait pousser.

Lothaire : D’accord !

Sébastien : Moi, je dirais et bien testez le chocolat noir. Certains chocolats noirs et regardez si vous avez des poussées aussi. Tu vois, je pense que ce n’est pas en se disant : ‘oui il y a peut-être une marque bien précise qui vous provoque des poussées, et puis d’autres, pas du tout. Donc...

Lothaire : Ouais

Sébastien : Je pense. Ça, c’est mon expérience et mon avis sur la question, et tu m’arrêtes si ce n’est pas bon, etc. Je pense que pour faire, parce que des fois on…. L’Alimentation est tellement pointue, il y a tellement de choses différentes sur les aliments. Et ça peut dérégler.

Lothaire : Tu permets, juste pour faire simple, Sébastien. Tu vas avoir, on va avoir des œillères à chaque fois qu’on se focalise sur quelque chose et les gens vont se dire : ‘OK. Quand je mange du chocolat, je vais avoir une pousse’, mais enfin vous allez manger d’autres choses dans la journée. Vous avez mangé autre chose la semaine d’avant, etc. Donc c’est très difficile de savoir exactement à quoi on réagit. Nous, on a mis des processus en place pour gérer ça, mais pour une personne.

Sébastien : Ah ouais donc, ce que tu es en train de dire, c’est intéressant. tu veux me dire que ce n’est pas obligatoirement sur que ce que l’on mange sur le moment

Lothaire : Exactement, exactement

Sébastien : Mais ça peut être des choses, un mélange ou des choses qu’on mange ou on a l’habitude de manger et c’est peuvent être une réaction, etc.

Lothaire : Ce n’est pas forcément quelque chose sur l’instant T. Il y a des gens qui vont être des… moi j’appelle ça, des gens qui vont réagi avec une certaine latence et j’aime bien dire tu vois qu’on peut avoir une poussée entre 1 à 5 jours après avoir consommé quelque chose qu’on ne tolère pas. Il y a des personnes qui hallucinent quand on a eu des choses comme ça. Simplement quand on comprend un petit peu comment le corps élimine. Le corps est très limité dans son système de détoxification, donc il stocke, et ensuite il élimine au fur et à mesure.
Soit ça demande plusieurs passages dans le corps, dans les systèmes de détoxification qui se bloque assez vite parce que chaque jour, on a un pourcentage de détoxifiant disponible et il faut que ça se renouvelle, etc.
Donc, c’est multifactoriel, je n’arrête pas de le dire. Mais si toi, tu me posais la question de dire : OK, qu’est-ce qui fait que véritablement une personne va avoir de la tolérance ou pas vis-à-vis d’un aliment ? On va prendre le chocolat. Ça va être aussi l’état de son système. Et surtout, son système digestif. C’est vrai que la première fois qu’on a discuté ensemble tu m’avais dit : ouais ouais la flore, la flore. OK, la flore, la flore c’est un truc important Sébastien, mais ça ne fait pas tout. D’accord ?

Généralement, si la flore c’est une perturbée, c’est qu’il y a une perturbation qui vient en amont déjà et qui vient de la perturbation de la paroi intestinale. La paroi intestinale, c’est un système qui est extrêmement brillant, complexe, extrêmement bien organisé et encore une fois multifactoriel, et qui va être sensible, bien sûr, aux émotions, aux choses comme ça. Mais moi, je m’arrête, pas seulement aux émotions. Mais qui va être aussi, bien sûr, sensible à l’alimentation et à l’état inflammatoire du corps.
Et quand tu voulais qu’on fasse ce vidéo, tu m’avais demandé de dire oui, mais c’est super le test que tu m’expliques. Mais est-ce que les gens peuvent le visualiser, ça ?
Donc voila, je vous ai pris une petite image. Là-dessus, je vais vous expliquer un petit peu quel est le rôle de l’alimentation dans l’acné en fait et qu’on comprenne un peu plus à quoi ça ressemble ?
Donc la première chose qu’il faut garder, c’est de regarder un petit peu la paroi de notre intestin. Quand vous regardez votre intestin, il est comme ça et quand vous zoomez et que vous vous faites une coupe, vous voyez ? Ça fait ce qu’on appelle des villosités. C’est dactylé. Et ça, c’est un processus du corps humain qui est simplement pour augmenter la surface d’échange. Si on est là, on n’a que cette surface. Par contre, si on fait ça, on a toute cette surface. Il y a d’autres systèmes du corps qui sont faits comme ça. Et c’est là qu’on retrouve beaucoup de ce qu’on appelle des villosités. Et quand on a un système normal, on a des belles villosités avec des cellules qui sont bien rapprochées et donc, derrière nos capillaires sanguins, on va pouvoir récupérer dans le corps, les nutriments, etc. Par contre, qu’est-ce qui se passe quand on a un système qui est endommagé ? Les villis vont être coupées, tu vois au lieu d’être bien dactylé, tu vois elles vont être un peu plus comme ça, être un peu cassé. Surtout, il va y avoir un espace intercellulaire et qui va laisser passer des grosses molécules. Des molécules qu’on n’arrive pas à digérer, des molécules qui ne devraient pas passer, des enzymes. Parfois, certains petits parasites, certaines protéines qu’on ne tolère pas, même certaines bactéries. Et quand le système est perturbé comme ça, tu doutes bien que ça perturbe aussi la flore qui vit dans cet écosystème. Là on ne peut pas le voir, parce que de n’est pas représenté, mais il y a normalement un beau mucus avec certains biofilm, c’est sécrété par ces bactéries qui peuvent…

Sébastien : J’arrête un tout petit peu, mais bon, tu vas continuer. Il ne faut pas avoir peur des mots techniques. Voilà c’est les vrais mots, même si on ne comprend pas tout, je pense que… au niveau des mots, ça permet vraiment de comprendre. Je te laisse continuer, mais je voulais te préciser ça.

Lothaire : D’accord

Sébastien : Parce que des fois quand on est docteur, on esquive les mots techniques tout de suite en part la discussion.

Lothaire : OK, car il y des mots que tu ne sais pas. C’est pour ça que je voulais te mettre une image pour que ce soit…

Sébastien : C’est pour ça que quand on en a discuté et tout, je dis si tu peux avoir un schéma, parce que ça peut être beaucoup plus parlant et compréhensif parce que c’est vrai que quand on écoute comme ça avec des mots techniques, on ne comprend rien. Alors là, parce qu’on n’est pas du métier d’acteur. Et oui, je pense que même à l’époque, quand on a fait de la biologie. On n’apprenait même pas, je ne pense pas qu’on apprenait ces parties-là. En tout cas moi, je n’ai pas souvenir. Parce que certainement si…

Lothaire : En SVT, on n’a pas besoin d’aller jusque là.

Sébastien : Donc, c’est ça. Et puis maintenant, il y a bien aussi beaucoup de livres qui sont sortis.


Sébastien :Donc, c'est ça. Et puis maintenant, il y a bien aussi beaucoup de livres qui sont sortis, concernant le deuxième cerveau, pour ce qui s’intéresse et qui comprennent, etc.,c’est un point important, c'est vrai que là, on voit vraiment bien pourquoi et qu'est-ce que les symptômes ? Entre autres ? Lorsque tu disais que c'était multi, il y avait multi choses. Donc, je te laisse continuer, je voulais préciser certains points.

Lothaire : Il faut que les gens comprennent bien, donc au lieu d'avoir des villosités qui vont être bien formés, cette villosité est endommagée avec des molécules qui vont encore passer et surtout, c’est là que vous allez comprendre un petit peu plus la formation des pathologies auto-immunes et la formation des pathologies chroniques inflammatoires, vous allez avoir des grosses molécules qui vont passer dans la circulation et ensuite qui vont devoir être traitées par votre système et qui vont créer davantage d'inflammation qui vont être parfois éliminées par la peau aussi. Et du coup, qu'ils vont créer un surplus de molécules inflammatoires ou de molécules à détoxifier par rapport à la petite capacité de détoxification du corps

Sébastien : Et justement, la tolérance avec le chocolat. Est-ce que c'est par rapport à justement ces petites billes ? C’est justement ça ?

Lothaire : C'est ça, cette petite chose?

Sébastien :Oui

Lothaire : Tout à fait, tout à fait. Effectivement, si vous avez un épithélium, donc, une surface de votre paroi qui est endommagée, eh bien il y a certains, ça peut être même le chocolat lui-même ou certaines choses qui sont autour du chocolat que vous allez consommer, qui vont être difficiles à détoxifier puisqu'elles vont participer au lieu de rester dans votre intestin et être éliminé ou de garder que les bons nutriments. Mais certaines grosses choses qui vont passer et qui seront difficiles à être éliminées.

Sébastien :Est-ce que… ?Je ne sais pas, moi, je pose la question, peut-être, puisque les chocolats crus, des chocolats, du cacao fort, peut-être plus ou moins digeste que du chocolat noir classique ?

Lothaire :Mais c'est une super bonne question, ça. Moi, je suis très loin d'être un expert, Sébastien là-dessus, je dirai simplement que plus on est dans quelque chose de pur, plus cela va être OK de le tolérer, et plus cela va être transformé, tu peux garder cela en tête. Après, admettons que tu es une personne qui est de mon programme, je te dirais, Sébastien, tant que tu es dans les phases inflammatoires, je t'invite à éviter cela jusqu'à ce qu’on atteigne cette inactivation totale, et là on va pouvoir travailler sur la production

Sébastien :Et justement, qu'est-ce que tu pourrais donner comme conseils ? Quelques conseils là, pour ceux qui se disent, ceux qui nous écoutent et qui ont l'acné. Et justement, au niveau de l'intestin, en tout cas sur cette partie alimentation. Je sais que, comme tu as dit, il y a beaucoup d'autres choses, mais s’ils veulent réguler un peu, est-ce que tu aurais un ou deux conseils à transmettre aujourd'hui pour mieux être… ? Après on sait que manger équilibré blabla, bla.

Lothaire : Manger équilibrés blabla, blablablabla. Inconsciemment, tu te rends compte, toi aussi, que cela ne veut rien dire. Manger équilibré, cela veut dire 5 fruits et légumes par jour. C’est des très grands concepts et beaucoup de personnes qui viennent nous voir et qui disent, mais j'ai une alimentation qui est parfaite, je fais du sport, je ne fume pas, je ne bois pas, j'ai une hygiène de vie pareille. Hygiène de vie et alimentation équilibrée, pour moi, ces deux termes qui n'ont pas de valeur scientifique. Ce n’est pas du tout précis, c'est un concept émotionnel. Je mange bien, il y a des gens qui disent je mange beaucoup, qu'est-ce que cela veut dire? C'est relatif par rapport à ta perception.

Sébastien : OK,

Lothaire : Comprendre que OK, il faut avoir une alimentation équilibrée, alors dans l'alimentation équilibrée qui est conseillée par les autorités de santé ou des choses comme cela, on dit toujours une alimentation qui est diverse parce que dans leur tête, il faut éviter les carences des choses comme cela et c'est complètement OK, même ces carences avec…cela se développe vraiment pour vraiment être dépléter en quelque chose pour avoir des carences. Donc, attention à ces termes-là. Je dirais mon premier conseil observez-vous. C'est presque un conseil spirituel. Regardez ce que vous faites, regardez ce que vous mangez, regardez comment votre corps réagit, prenez une petite note, aillez toujours un petit carnet avec vous éventuellement, cela peut être bien. Penser que c'est quelque chose de multifactoriel, donc, effectivement, il va y avoir votre alimentation, mais pour certaines femmes, il y a le cycle aussi.

Sébastien : OK

Lothaire : Ne paraît pas à croire que cela suffit de se dire c’est parce que c’est mon cycle, je vais avoir des boutons. Non, si on a un système qui est équilibré, on peut avoir autant de cycles qu'on veut, on n'est pas censé avoir des lésions.

Sébastien : C’est intéressant cela pour les femmes

Lothaire : Cela fait partie des choses qui sont complètement contre-intuitives et je vais à l'inverse de ce que beaucoup de professionnels vont dire, peut-être pour se dédouaner aussi, peut-être parce que pour eux, ils ne sont pas remis en question, ces choses-là où ils n'ont pas vécu, donc, je comprends tout à fait, je ne jette pas la pierre. Mais pour donner ce conseil, prenez soin de votre peau, attention à votre alimentation, si vous voyez qu'il y a des aliments que vous ne tolérez pas, éviter tout simplement. Et ne restez pas focalisé sur une seule chose, par exemple ne restez pas focalisé sur uniquement le chocolat, ne vous dites pas je vais éviter le chocolat, j'aurais plus d'acné, cette crème ne marche pas, je vais passer à une autre crème, je passe encore à une autre crème. Si c'est un problème interne, comment voulez-vous qu'une crème soit suffisamment ?

Sébastien : Même une crème au beurre de cacao, cela ne va pas marché, alors mince.

Lothaire : Encore une fois, à croire qu’ on en avait parlé ensemble. J’ai dit, si vous avez une peau qui est tolérante, qui est bien équilibrée et que vous voulez utiliser des cosmétiques au chocolat, Super! Faites-le. Le chocolat, c'est astringent, il y a tout plein d'antioxydants dedans, donc, c'est super pour la peau. Par contre, si vous avez une acné, mais je pense que cela ne suffira pas et je pense que vous en doutez aussi d’utiliser un hydratant à base de beurre de cacao ou des choses comme cela.

Sébastien : Ce n'est pas juste cela, mais c'est bien parce que cela permet de désacraliser un petit peu, comme tu dis avec des œillères, on se dit OK, mon acné, c'est juste cela, ou c'est juste cela. Si toutes les croyances et les on dit à droite, à gauche. Et au final, c'est tout un ensemble de choses, je crois que c'est ce que tu disais, ce que tu regardes en détail dans ton programme, pour aller plus loin, etc. Sur les personnes que tu accompagnes aujourd’hui. C'était intéressant quand tu m'as dit cela. Ah OK! Puis tu m'as dit la dernière fois qu’il ne faut pas que je vise 100% de réussite parce que cela fait trop marketing, c'est ce que tu m'as répondu, mais quand même, tu m’as dit ceux qui sont déterminés et qui gagnent un programme, il y à 100% réussite. Mais c'est vrai que tu disais d’accepter uniquement que ceux qui sont déterminé à vouloir se dépasser par rapport à l’acné etc. L’acné, cela se répond en quelques jours j'imagine.

Lothaire : Oui

Sébastien : Déjà, tu me disais que ton programme, c'est sur 3 mois que tu accompagnes des gens. Donc j'imagine que quand on a un petit bouton, quelques boutons d’acné et tu disais tout à l'heure que des fois, ça pouvait être 5 jours. Donc au final, je ne veux pas dire qu'il faut sevrer, mais si vous voulez tester des aliments, il faut sevrer pendant 7 jours, grosso modo,

Lothaire : Non non non.

Sébastien : C’est une question.

Lothaire : Ce serait amener les gens dans une mauvaise direction, de parler de cela.

Sébastien : D’accord

Lothaire : Il faut comprendre que l'inflammation, c'est un phénomène cyclique dans le corps, et comme je l'ai expliqué, tu sais, pour pouvoir détoxifier quelque chose, parfois, il faut plusieurs passages dans la circulation, il faut plusieurs passages dans le foie, cela peut prendre plus de temps. Et si les choses ne sont pas parfaitement cadrées, on est tout le temps en train d'amener des nouvelles toxines, tout le temps en train d'amener des choses que le corps ne peut pas tolérer, du coup, il va se mettre à stocker. Donc, moi, ce que j'aime bien dire, c'est que quand on met en place les bonnes choses, les résultats, ça peut être du jour au lendemain. Tu n’as plus de bouton du tout. Ouais, enfin, tu vois que je vais enfin dans la bonne direction et mes lésions sont plus petites, pour moins de grâce. Elles évoluent, ce n’est plus du gros…, c’est des petites papules. Je me rends compte qu’elles cicatrisent, mais avec une vitesse beaucoup plus impressionnante par rapport à ce que j'ai vécu avant. Et au fur et à mesure on est… il y a quelque chose qui augmente jusqu'à se débarrasser complètement de l’acné. Mais il n'y a pas cette notion de dire, vous ne voyez, rien du tout pendant un moment et d'un coup, vous n'avez plus d'acné.
Ça, c'est la vision que j'avais, moi, quand je suivais les conseils des dermatologues que j'allais voir et qui disaient vous mettez votre crème et ça a marché. Je m’irritais la peau et je me disais je vais continuer d'en mettre, j’avais la peau rouge et je ne peux plus sourire, j'avais des croûtes partout, etc. J’ai continué parce que le matin, je vais me réveiller trois semaines et après cela part. Non, ça ne marche pas et il faut bien comprendre, c'est que c'est tout le temps, ma vision des choses, c'est la douceur, c'est-à-dire d'avancer par paliers, en douceur, jusqu'à se débarrasser complètement de l’acné.

Sébastien : Donc, en fait ta méthode, c'est vraiment sans agressivité, tout en douceur. Cela, c'est intéressant parce que je regardais un peu ce qui se faisait et tout, il y a des choses aussi hyper agressives, mais en fait, tu accompagnes vraiment en douceur sans que cette…C’est une bonne expérience, en fait, au final. Je ne sais pas, mais par rapport à comment tu le dis, si on va sur le bon chemin de retrouver sa liberté sans bouton, c’est un peu cela ?

Lothaire : C’est cela

Sébastien : C’est génial !
Est-ce que toi, tu disais, tu t'en parlais un peu avant qu'on fasse cet échange ? Oui, mais c'est bien docteur Lothaire, tu fais des réussites géniales et tout, mais est-ce que tu as des avants et après ? Est-ce que tu as des choses à montrer pour dire OK, est-ce que ta méthode marche ? Parce que bon

Lothaire : La chose qui est la plus importante c'est les résultats. Dans ma vision des choses, il y a deux choses qui sont importantes sont les résultats et la manière de l'obtenir. Les résultats, c’est des vrais résultats, ce n'est pas ce qu'on voit dans les études cliniques où c'est marqué 30% moins de boutons à 6 mois puis on ne sait pas ce qui se passe après. Ou alors, diminution de l'inflammation 40%, cela veut dire quoi ? Le mec, il a toujours des boutons, il a pris trois mois d'antibiotiques, après on lui enlève qu’est-ce qui se passe après. Donc, il faut faire très attention à ce truc-là. Moi, je voulais sortir justement de ce modèle, ce qu'on appelle l'évidence Day, cela veut dire quelque chose qui a été montré par la science, pas de la science, par des études cliniques qui sont par définition, dans un temps, dans un lapsus, dans un laps de temps qui va être relativement court parce il va falloir les observer et qui vont être biaisés parce qu'on ne savait pas ce qui se passe après. Donc, pour moi, un résultat, c'est plus d'acné, on se sent bien et on est dans la meilleure santé possible pour toute sa vie. Ça, c'est le résultat. Et pareil si tu me permets de temps en temps partagé, peut-être pour savoir ce que les gens peuvent en trouver partout sur Internet. Maintenant, parce qu’on a accompagné énormément de personnes et qui a été extrêmement généreuse de bien vouloir partager leur expérience, et puis vouloir partager leur combat aussi là-dessus, on en a interviewé ensemble sur notre chaîne YouTube. Et encore une fois, ce qui est important, tu me parlais tout à l'heure, tu sais des différents degrés de gravité.

Sébastien : Oui

Lothaire : Il y a des gens qui vont avoir des acnéiques qui sont plutôt très inflammatoire, très kystique ou des gens qui ont des acnés qui sont plutôt petites, avec des petites lésions, mais qui vont être très persistantes. Et c'était mon cas, parce que sur le visage, du coup, au début, j'avais une activité plutôt kystique et au fur et à mesure qui est devenue plus papuleuse. Mais c'était extrêmement désagréable parce que c'était en permanence dans le dos. Une acné qui était très kystique, du coup, je vous ai mi cela ici et là. J'ai très peu de photos de mon acné à moi parce qu’à l’époque on n’avait pas les téléphones portables et les photos, en permanence. Et moi, je fuyais les caméras. Je vais voir une vieille photo de moi avec les cheveux longs, tu vois, je ne fumais rien à l'époque. C'est juste qu’en ce moment,

Sébastien : On pourrait se demander pourquoi?

Lothaire : Tu vois, voilà une acné qui était assez diffuse, avec des lésions qui étaient assez kystiques, assez papuleuses, on voit ici qu'il y avait un gros kyste. Et du coup, d'évoluer vers une peau beaucoup plus saine. Et là, imagine ça, c'était mon dos. Peut-être 3 à 5 ans après que j'ai atteint une inactivation totale. Donc imagine cela, c'est juste des cicatrices. Imagine donc, c'était 100 fois pire, beaucoup plus inflammatoire, je ne peux pas mettre des chemises blanches comme ça parce que j'allais avoir des traces de sang dans le dos parce que mes boutons pétaient.

Sébastien : Oui, oui,

Lothaire : Il n’y a pas d'autre mot c'était hardcore. Et moi qui ai grandi à Nice, tu vois, je ne pouvais pas aller à la plage avec mes amis, Je pouvais, je garde toujours mon T-shirt quand on allait à la piscine avec des amis alors qu'on était à Nice, Il faisait 30 degrés. Donc, ce n’est vraiment pas un moment facile pour moi et du coup, je le partageais un peu à des personnes qu'on a accompagnées, par exemple Mégane, donc, là, on parle bien de résultats, vous pouvez voir son interview sur la chaîne où elle parle un petit peu de son expérience. On voit que ce sont des gens qui sont plutôt inflammatoires. Et encore une fois, c'est dans le bas du visage parce qu'il y a beaucoup de gens qui pensent que et parce qu'il y a beaucoup de croyances là-dessus, que l'acné du bas du visage est uniquement hormonale, etc. Mais ce qu'il faut savoir, c'est qu'il y a différents paramètres. Il faut s'occuper de tous. Il y a des personnes pour avoir une dominante hormonale, dominante alimentaire, une dominance locale. Mais si on ne s'occupe pas de tous les wagons, eh bien, ça revient systématiquement. Donc là, Megane complètement débarrassé de son acné. Ça fait des années encore qu'on est encore en contact, elle est super ! Sabrina, tu vois c’est encore une acné différente. Des petites lésions qui vont être, qui vont marquer beaucoup la peau. Et du coup, on va l’amener à ne plus avoir des lésions du tout et à se débarrasser complètement de ces marques. Parce que quand le corps s'est débarrassé de l'inflammation, il a beaucoup plus de ressources énergétiques pour pouvoir s'occuper des cicatrices. C'est pour cela que j'ai des fois des gens qui disent moi, ce qui me gêne le plus, c'est une cicatrice, ce n'est pas mon acné. Oui, mais qu'est-ce que vous pensez? Vaut mieux se débarrasser d'abord de ce qui génère la cicatrice ou d'abord des cicatrices. C'est cela donc, c’était Sabrina. On a ici une acné qui est encore complètement différente, avec des lésions beaucoup plus inflammatoires sur une peau qui est un peu plus mature, donc vraiment. Et on voit aussi qu'il y a des microkystes, c'est ce qui fait les petites bosses comme cela tu vois, je ne pouvais pas aller à la plage avec mes amis, je ne pouvais... je garde toujours mon T-shirt quand on allait à la piscine avec des amis alors qu'on était à 10 quoi, 30 degrés, donc c'était c'est vraiment pas un moment facile pour moi et du coup, voilà je vais partagé un peu des personnes qui m' a accompagnés alors, par exemple Mégane, donc là on parle bien de résultats, pareil vous pouvez voir son interview sur la chaîne où elle parle un petit peu de son expérience, on voit que ce sont des lésions qui sont plutôt inflammatoires tu vois, et encore une fois, c'est dans le bas du visage parce qu'il y a beaucoup de gens qui pensent que et parce qu'il y a beaucoup de croyances là dessus, que l'acné du bas du visage c'est uniquement hormonale, etc. mais ce qu'il faut savoir, c'est qu'il y a différents paramètres, il faut s'occuper de tous, des personnes peuvent avoir une dominante, on a une dominante alimentaire, une dominante locale, mais si on ne s'occupe pas de tous les wagons, eh bien, ça revient systématiquement donc là, Mégane a complètement débarrassé de son acné, ça fait des années encore qu'on est en contact et elle est super. Sabrina, qui elle tu vois c'est encore une acné différente, elle est plutôt... donc ces lésions qui vont être... qui vont marquer beaucoup la peau tu vois, et du coup, elle a pu avoir la lésion du tout et à se débarrasser complètement de ces marques, parce que quand le corps s'est débarrassé de l'inflammation, il a beaucoup plus de ressources énergétiques pour pouvoir s'occuper des cicatrices.

Sébastien : OK !

Lothaire : c'est pour ça que j'ai des fois des gens qui disent : "moi ce qui me gène le plus, c'est mes cicatrices, ce n'est pas mon acné". Ouais, mais qu'est ce que vous pensez, vaut mieux se débarrasser d'abord de ce qui génère la cicatrice ou d'abord la cicatrice.

Sébastien : je crois que c'est ...

Lothaire : donc ça c'était Sabrina. On a ici une acné qui est encore complètement différente avec des lésions beaucoup plus inflammatoires tu vois, sur une peau qui est un peu plus mature, donc vraiment, et on voit aussi qu'il y a des microkystes tu vois c'est ce qui fait les petites bosses comme ça, pas beau...

Sébastien : j'en apprends en même temps que tu montre les photos, je ne suis pas un spécialiste, mais oui, c'est incroyable. Il faut... j'espère qu'il mange pas trop de chocolat avant et que maintenant... je les interviews pour savoir qu'est ce qu'il mange sur le chocolat maintenant.

Lothaire : exactement mais je pense qu'il serait temps d'inviter Lydia, et du coup, tu vois encore, par exemple, Laura qui elle avait des lésions qui étaient plutôt pareilles, plutôt papilleuses, et tu vois encore une fois sur le bas du visage assez dispersé et d'arriver à plus du tout de lésions, plus du tout de cicatrices non plus, je pense que c'est ça qui est le plus important aussi.

Sébastien : ouais, et plus de dynamique ensemble sur la peau et tout s'est ...

Lothaire : c'est vraiment une très belle jeune fille en plus, se montre rapidement aussi des acnés qui peuvent être très kystique tu vois,
Sébastien : Ouais, ok !

Lothaire : ça c'est une acné qui était très kystique avec Philippe, et comme tu le vois, en fait, ça un dermatologue en bossant, la première chose qu'il fait c'est roaccutane, roaccutane, roaccutane, on ne veut pas en entendre parler, on ne sait pas d'où ça vient, mais par contre, il faut faire quelque chose tout de suite et on les envoie et en fait, même des lésions qui peuvent être très très inflammatoires, on a vu des lésions qui étaient très différentes avec celle de Lörrach qui était plutôt persistante, mais pas forcément très sévère, et là on est plutôt sur des cas d'acné sévère et qui continue très bien évoluer et il est en train maintenant de travailler ensemble sur se débarrasser de ses cicatrices, ça évolue très, très bien, c'est un jeune homme...

Sébastien : génial, super, ouais franchement, voilà il y en a que quelques uns, tu me disais qu'on avait accompagné ensemble...

Lothaire : tout a fait oui .

Sébastien : ouais et puis tu me dis que tout le monde autorisait aussi de montrer les photos...

Lothaire : tout à fait.

Sébastien : et sur la confidentialité et tous ça... ok cool, franchement, super les accompagnements, donc là on a été un peu plus en profondeur sur l'alimentation, sur le chocolat, la tolérance au chocolat, l'acné un peu plus en profondeur à donner quelques conseils tout à l'heure, est ce que tu aurais un dernier conseil dans cette vidéo à transmettre.

Lothaire : ouais généralement, il y a quelque chose que j'entends souvent sur le stress, sur l'émotionnel dans l'acné, je pense qu'il y a beaucoup de gens qui pensent que ça vient de leur stress et le stress suffit à expliquer leur lésion. Il suffit que j'ai plus de stress et je vois plus de lésions, non.

Sébastien : OK !

Lothaire : non, je pense que ça peut, vous pouvez même réfléchir à des moments, même si notre mémoire est très biaisée, vous avez déjà été dans une période où vous étiez très calme, vous étiez avec votre famille, vous étiez avec votre chéri, vous étiez avec vos meilleurs amis et vous aviez pas du tout de stress, et pourtant, ça vous est quand même arrivé d'avoir des lésions. Donc il faut faire attention aux croyances et savoir que oui, le stress et l'émotionnel peuvent jouer, mais ne joue pas de la manière qu'on croit. C'est pas eux qui vont vous générer une poussée, mais ils vont participer de différentes manières à entretenir vos poussées et générer les poussées, et j'ai envie de dire du coup, c'est comme pour le chocolat, c'est pas la base de votre acné, vous allez rater le chocolat et ça va s'arrêter. Mais ça va être un facteur à prendre en compte, et pour bien faire honneur à Sébastien, en fonction du type de chocolat que vous ne tolérez pas par exemple, et bien de savoir que vous avez ce niveau d'inflammation interne qui est là et qui se manifeste sur votre peau. pour vous donner une information et pour vous dire il y a quelque chose a changé dans ce que tu fais actuellement et une fois qu'on a adressé ça de la bonne manière, bien, on peut repartir sur consommer ce qu'on veut et ce que notre corps peut tolérer et que soit plus jamais un problème et qu'on puisse être libre quoi, pour moi c'était vraiment la clé.

Sébastien : ok, voilà, donc c'est vraiment... c'est pas parce qu'on fait du yoga pour se calmer tous les matins pendant une heure que on a ... souvent par rapport au stress qu'on n'aura pas de poussée.

Lothaire : et juste aussi pour te le dire, c'est aussi quelque chose où les gens s'auto flagelle en se disant oh là là, c'est à cause de mon anxiété, c'est à cause de mon stress, et là du coup, ah comment ça se fait que je n'arrive pas à me calmer, et du coup, ça, c'est pas ça l'idée.

Sébastien : en général, on se dit enfin, je me mets aussi à la place où des fois ça peut arriver, où des fois ça peut arriver qu'il y a un petit bouton qui traîne comme çà et puis là, on peut se dire : je suis stressé, et voilà, j'ai ça en plus, et j'ai un bouton en plus et voilà c'est la totale, donc c'est vrai que si on est plus cool et on a un petit bouton où, vous pouvez ...ouais, ouais, c'est pas grave, ça va passer, machin etc... C'est vrai qu'en période de stress ou... comme tu dis, on s'auto flagelle chialer et c'est parti, tout devient monde oh la la... comme par hasard, j'ai mon rendez vous demain avec mon petit copain ou avec ma copine, ça ne va pas, je ne suis pas beau, c'était clair. Donc, par rapport à ça, c'est vrai donc...c'est encore une fois s'observait et qu'est ce qui s'est passé, c'est un peu ça comme conseille que tu peux donner, s'observer et savoir exactement pendant une période de stress, c'est ce qui a fait que, qu'est ce qu'on a consommé... Comme tu disais tout à l'heure c'est multi facteur , factoriel, donc grosso modo à l'alimentation, on peut dire le stress psychologique, qu'est ce que ça pourrait être autrement comme facteur ?

Lothaire : écoute, on peut le voir comme ça, on peut dire il y a l'alimentation, il y a effectivement le stress, mais le stress, c'est aussi toute la partie émotionnelle qui fait que on passe d'une chose à l'autre, c'est la partie émotionnelle qui fait que quand on fait quelque chose et que ça n'apporte pas de résultats, on va changer tout de suite. On ne va pas savoir quand il faut tenir bon ou quand il faut changer, on ne va pas savoir si ce qu'on fait c'est bien ou pas, et c'est en ça où le programme est conçu pour que ces moments là soient passés de manière saine et que j'ai confiant dans ce que vous êtes en train de mettre, moi je pense que c'est la clé en fait, c'est de savoir que ça marche et qu'on a juste raison, plutôt que de se dire : est ce que je fais bien, est ce que je me trompe pas, est ce que si je ne devrait pas, et on voit une autre pub, et on achète un autre produit et on laisse tomber ça, et on va faire un peeling. Effectivement il y a la peau, on va passer sur l'émotionnel, on va passer sur la partie alimentaire, on va passer sur le rééquilibrage digestive, on va travailler aussi sur les hormones et de manière saine et les manières de faire pour aider le corps à endiguer un peu ... qui ont pu s'accumuler depuis hyper longtemps, et notamment pour les femmes qui ont pris la pilule, qui n'ont pris la pilule un dérèglement hormonal depuis l'adolescence où des femmes qui ont autour des 30 ans décident d'arrêter la pilule pour pouvoir avoir un petit bébé et leur acné adolescentes reviennent et se dit je ne comprends pas, j'ai pris la pilule pendant 10 ans, l'acné c'est fini, mais en fait non, la pilule peut masquer l'acné, et tous ça évoluer au fur et à mesure faire vers, une fois que le corps se rééquilibre, le corps a besoin de rien et pouvoir faire comme je fais tu vois tout simplement se rincer le visage sous la douche, mettre un petit sérum pour avoir un minimum d'hydratation et de protéger sa peau contre les radicaux libres et tranquilles quoi.

Sébastien : OK, super, bein franchement, merci encore une fois Lothaire pour cette échange, c'était vraiment très enrichissant, les conseils que t'a donné de voir en profondeur les différentes étapes, les dessins que tu a apporté pour que ce soit plus réaliste et qu'on comprenne en tout cas sur la partie alimentation, la tolérance, on peut avoir par rapport au chocolat ou un autre aliment, il n'y a pas que le chocolat ça c'est sûr, et voilà franchement merci et puis pour ceux qui veulent vraiment aller plus loin et avoir une consultation gratuite avec le docteur Lothaire, il y a un formulaire en dessous, aucune obligation, c'est gratuit et uniquement ce que tu me disais, c'est uniquement pour ceux qui sont déterminés à vouloir changer, sinon, c'est juste.. il n'y a pas d'intérêt, en tout cas pour vous que... comme pour docteur Lothaire... donc voilà si ça vous in intéresse, vous voulez débarrasser de votre acné à fond, en tout cas il y a un lien en dessous, et faites comme bon vous semble, comme vous le sentez. En tout cas, l'objectif de cette vidéo c'est de vous apporter de la valeur, de donner des conseils pour que vous puissiez avancer, en tout cas déterminer, de mieux comprendre justement votre acné en tout cas, ce sujet là : acné, alimentation, tolérance, comme on a vu dans cette vidéo, et moi je vous retrouve dans une prochaine vidéo, encore merci Lothaire et moi je vous dis à très vite tchao tchao.

Lothaire : tchao, tchao.


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