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Alimentation et chocolat ? On vous dit tout ! đŸ«





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SĂ©bastien : Hello, aujourd’hui, je suis avec Claire Marino et spĂ©cialement aujourd’hui on va parler d’alimentation et du chocolat. Alors bonjour Claire.

Claire : Bonjour.

SĂ©bastien : Enchanter de t’avoir sur l’antenne en tous cas


Claire : Oui.

SĂ©bastien : Moi, ce que je voudrais que tu me parles Claire
 on parle beaucoup d’alimentation et chocolat, mais avant ça, on va parler de
 tu vas nous dire un petit peu
 ce qu’on pense, que certains disent etc et on dit tous ça, casser tous ça, on s’en fiche, on va voir ça, mais moi je voudrais que les personnes qui nous regardent aujourd’hui en fait disent bein ok qui est Claire ? Est-ce que tu peux nous dire qui tu es ?

Claire : Mais oui, je pense lui dire

SĂ©bastien : bein oui, je sais que t’es une amie et que tu es sur
 voilĂ .
Claire : Moi, je suis Claire Marino, donc je suis naturopathe depuis trĂšs trĂšs longtemps, j’ai mon cabinet Ă  Paris, donc je travaille en
 face Ă  face avec les gens et principalement sur la nutrition, alors il faut savoir que chez un naturopathe la nutrition c’est l’outil thĂ©rapeutique prioritaire, donc depuis plus de 25 ans, l’alimentation c’était une passion chez moi, et surtout le comportement alimentaire, alors dans une premiĂšre partie de ma vie, c’était plutĂŽt l’alimentation diĂ©tĂ©tique dont j’accompagnais beaucoup les gens sur leur perte de poids, aujourd’hui je me sers de l’alimentation dans toutes les problĂ©matiques de santĂ©, parce que pour moi Ă  la base d’un problĂšme de santĂ© il y a une disharmonie, soit Ă©motionnelle, toute seule, soit nutritionnelle toute seule et trĂšs souvent les deux, donc voilĂ . Mon travail en gĂ©nĂ©ral, c’est de travailler sur la rĂ©-harmonisation des Ă©motions dans la vie des gens et de la place de l’alimentation, alors ça ne veut pas dire mettre en place des rĂ©gimes nutritionnels, c’est juste comprendre quels sont leurs besoins spĂ©cifiques Ă  ce moment de la vie quand ils viennent me voir, et de rĂ©tablir un Ă©quilibre, voilĂ  et 
 permet de retrouver la santĂ© ou de la restaurer, en tout cas d’éviter qu’elle 


SĂ©bastien : Ouais, justement, c’est le premier mythe souvent 
 voilà
 j’allais dire sur le rĂ©gime, voilĂ  tout le monde dit : oh lĂ  lĂ  rĂ©gime etc, mais ça veut tous rien dire, on est d’accord
 moi je travaille aussi beaucoup sur l’alimentation mais pas du tout mĂȘme niveau que le tiens, mais tu vois t’as vraiment un expertise aussi 
 je crois que ça fait un bout de temps hein que tu travailles dans ce domaine ouais.

Claire : 
 assez là-dessus mais ça longtemps.

SĂ©bastien : VoilĂ , c’est important justement, t’es considĂ©rĂ© parmi les 10 plus importants naturopathes sur Paris

Claire : Oui, enfin, ça c’est 

SĂ©bastien : Ouais, en tout cas
 juste pour dire que tu es sous rĂ©guliĂšrement mis en avant parmi le top 10 Ă  Paris des naturopathes, donc c’est vraiment pour ça que j’avais envie d’échange avec toi, et qu’est-ce que toi tu penses justement du mot « rĂ©gime et chocolat », est-ce que c’est compatible, ce n’est pas compatible 

Claire : D’abord, le mot « rĂ©gime » est trĂšs souvent amalgamĂ© avec une perte de poids ou prise d’une perte de poids. Un rĂ©gime alimentaire, c’est la façon dont on mange Ă  un moment donnĂ©, voilĂ . Ceux sont les aliments qu’on a l’habitude de consommer, c’est-Ă -dire si on va dans n’importe quel endroit du monde, les gens ont un rĂ©gime alimentaire spĂ©cifique et global, et aprĂšs on
 d’habitude de rĂ©gime alimentaire spĂ©cifique. Mais globalement, c’est la façon dont on mange le rĂ©gime, ce n’est pas forcĂ©ment associer Ă  une perte de poids, d’accord, c’est le choix alimentaire que l’on fait Ă  un certain moment. Alors quand on parle de rĂ©gime, Ă©videment souvent on parle de rĂ©gime amaigrissant, donc ça veut dire les choix alimentaires que l’on va faire pour pouvoir perdre du poids, alors Ă©videment
 on va parler de chocolat


SĂ©bastien : Ouais.

Claire : Quand on veut perdre du poids, on se retrouve face Ă  nos habitudes alimentaires et on se retrouve face Ă  notre comportement alimentaire, et ça qui va ĂȘtre intĂ©ressant, c’est que au dĂ©part, quand on veut perdre du poids, on a beaucoup de motivation, on a trĂšs envie d’atteindre l’objectif le plus vite possible, donc on est prĂȘt Ă  plein de sacrifice, on est prĂȘt Ă  renoncer Ă  beaucoup de chose dont le chose que l’on aime le plus en se disant : voilĂ , c’est juste une question de volontĂ©. Et puis arrive une deuxiĂšme Ă©tape oĂč on se rend compte que bein c’est un peu plus oui, ça veut dire que lĂ  le cerveau va nous envoyer un maximum d’image et que tous les trucs que l’on s’interdit, ça va arriver en force dans notre esprit. Moi je n’ai jamais fait un rĂ©gime alimentaire, mais j’ai arrĂȘtĂ© de fumer une fois dans ma vie et je me suis retrouvĂ© confronter Ă  ça, et c’est super intĂ©ressant parce que j’ai hyper motivĂ© pour arrĂȘter les cigarettes, mais alors qu’est-ce que j’ai regrettĂ© les cigarettes, aprĂšs 
 absolue, vraiment, donc ça demande un travail sur soi aprĂšs, ce n’est pas juste la consommation qui est intĂ©ressante, tout le comportement que l’on met dans la consommation de nos aliments. Et alors le chocolat, c’est un truc qui est assez extraordinaire, parce que 
 alors je ne veux pas dire tout le monde parce qu’il y a des gens qui n’aiment pas le chocolat, c’est trĂšs bizarre mais ça existe, mais 
 tous ce qui ont enfin la grande majoritĂ© des gens ont une histoire avec le chocolat, et c’est ça qui est vraiment intĂ©ressant c’est que cette histoire de chocolat, elle ne commence extrĂȘmement tĂŽt dans la vie de chacun, on voit
 c’est pas rare de voir des laits infantiles parfumĂ©s au chocolat. Donc, on voit trĂšs trĂšs tĂŽt les gens, les enfants pour ĂȘtre amener Ă  dĂ©couvrir le chocolat et c’est souvent une personne qui plaĂźt beaucoup. Alors qui plaĂźt beaucoup, parce que c’est trĂšs doux et c’est souvent accompagner de cette douceur dessus. Donc on fait l’amalgame de ce parfum, c’est trĂšs doux, trĂšs rĂ©confortant et du sucre. Donc on va faire cet amalgame et en mĂȘme temps, on mange du chocolat quand on en prend
 c’est
 alors le goĂ»ter, c’est alors oĂč on mange, c’est un moment ou
 plutĂŽt sympa, agrĂ©able et je dirai rĂ©confortant. Ce qui fait que toute la vie, le cerveau vous garde en mĂ©moire eux, en tombant sur ce chocolat, on se fait du bien. Et on retrouve un petit peu cette innocence et cette douceur de l’enfance, alors ça c’est trĂšs inconscient mais ça reste sur beaucoup d’entre eux. Donc, quand on veut vraiment perdre du poids, souvent on se prend
 on va prendre conscience que bein la consommation de chocolat va devenir un problĂšme parce que tous le monde sait que le chocolat c’était caloriquement dans le choco. On va dire tous ça, comme ça, voilĂ  tout le monde sait que quand on mange beaucoup de chocolat, c’est pas trĂšs complexe
 avec une baisse de calorie, voilĂ  je suis obligĂ© de faire trĂšs trĂšs attention, et parfois c’est difficile de le faire trĂšs trĂšs attention parce que quand vous avez l’habitude trĂšs machinale de faire un travail ou de regarder la tĂ©lĂ©, et de 
 voilĂ  je dis je vais prendre un petit carrĂ© de chocolat pour me faire du bien, et lĂ  on se rend compte que ni l’unique
 la pĂąte de chocolat, elle a disparu. Vous avez tous mangĂ© sans conscience mais juste voilĂ  en petit portion comme ça et voilĂ  et hop la boĂźte de chocolat ou le fameux chocolat.

SĂ©bastien : VoilĂ  oĂč tous les chocolats de NoĂ«l qui passent oh la la le paquet.

Claire : VoilĂ  on a prĂ©vu de manger un carrĂ© ou un morceau de chocolat et hop bein voilĂ  tout a disparu parce que on n’a pas euh
donc ça c’est un problĂšme. C’est surtout dans ce comportement qu’on va pouvoir travailler. Moi je ne suis pas du tout favorable, alors ça c’est une partie
 personnelle, puisqu’en nutrition, personne n’est d’accord et que, il n’y a jamais de consensus gĂ©nĂ©raux, on est tous d’accord pour dire que le chocolat est riche caloriquement, mais moi je ne suis pas une adepte du contrĂŽle calorique absolue.

SĂ©bastien : Oui.

Claire : Quand on veut perdre du poids, plus on va limiter les frustrations, et mieux ça va se passer sur du trÚs long.

SĂ©bastien : Ouais, parce que l’effet boule de neige qui peut revenir, ou ce qu’on parle de souvent d’anti rĂ©gime, certains se fondent d’une confiscation alimentaire et au final bein quand on reprend plus de kilos parce que on s’est refait plaisir aprĂšs au final, c’est un peu ça en fait.
Claire : Oui, c’est-Ă -dire que, moi je suis trĂšs trĂšs favorable Ă  ce que l’on s’écoute
 moi je me donne jamais de rĂ©gime alimentaire, je veux dire je ne prescris jamais
 en tout cas je ne le fais plus parce que Ă©videment il y a une phase de ma vie oĂč j’étais formĂ© comme ça, mais en tout cas je ne le fais plus du tout, c’est-Ă -dire que les gens qui veulent venir pour perdre du poids chez moi, sont des gens qui ont fait tous les rĂ©gimes qui existent et qu’on
 ça ne peut pas fonctionner, et moi j’ai pour habitude de dire que le travail qu’on a va faire ensemble c’est une reconnexion avec le corps de la personne au moment oĂč elle vient me voir.

Sébastien : Ok, le régime chocolat en fait. (rire)

Claire : Alors, le chocolat va rentrer dedans si la personne l’aime bien, en aucun cas je vais lui dire non mais c’est terminer, le chocolat on l’oubli.

SĂ©bastien : Ouais

Claire : Le chocolat pris en petite quantitĂ© ne pose pas de problĂšme, voilĂ . Le tous, c’est vraiment le trĂšs petit quantitĂ©, on peut manger du chocolat tous les jours si on n’en a envie, mais les quantitĂ©s vont ĂȘtre trĂšs petit.

SĂ©bastien : VoilĂ , ok, ça c’est la premiĂšre astuce, est ce que t’as d’autre astuce justement comme ça pour se reconnecter justement avec le chocolat ou l’alimentation.

Claire : Alors, se reconnecter avec le chocolat
 il va falloir juste prendre conscience, parce que c’est la balle de tout changement, je veux dire quand tu ne prends pas conscience que tu as un petit souci de comportement avec le chocolat, tu ne peux pas aborder un changement. Donc, ça pour moi c’est la premiĂšre chose, la deuxiĂšme chose c’est 
 ça va ĂȘtre pourrir son esprit, et de comprendre que peut ĂȘtre le chocolat qu’on a l’habitude de prendre, vient trop souvent nous amener dans la compulsion. Dans ces cas-lĂ , vaut mieux vers une autre solution, c’est de dĂ©couvrir un autre chocolat. Je reprends toujours l’exemple de la cigarette, parce que je le trouve qu’il est assez parlant sur les addictions Ă  cette forme, quand tu as l’habitude de boire un cafĂ© Ă  la fin du repas et d’allumer ta cigarette, tu sais que tu va Ă©liminer
 va falloir que tu Ă©limines la cigarette, mais chaque fois que tu vas boire un cafĂ©, tu vas avoir une envie trĂšs trĂšs forte, d’accord, tu vas la faire quand ton cerveau a fait l’association qui a fait la cigarette. Donc, c’est pas sur la cigarette que tu vas devoir travailler, mais c’est-Ă -dire que tu vas ĂȘtre obliger d’enlever le cafĂ©.

SĂ©bastien : Ouais, d’accord.

Claire : d’enlever
 probablement dans un premier temps de le remplacer par quelque chose tu vois, peut ĂȘtre prendre plutĂŽt du thĂ©, plutĂŽt une infusion


Sébastien : ouais, ouais, je comprends la mécanique.

Claire : c’est d’ouvrir ton esprit de changer quelque chose, c’est vraiment dans le changement d’habitude que tu vas pouvoir se reconnecter à quelque chose de beaucoup plus sain avec le chocolat. C’est pour ça que trùs souvent qui ont des addictions au chocolat sont souvent des gens qui ont une addiction au chocolat au lait, parce qu’il y a toujours cette notion de sucre derriùre, en fait il pense avoir une addiction au chocolat et puis une addiction au sucre.

SĂ©bastien : Ouais, c’est ça.

Claire : Donc, en enlevant le sucre, c’est un peu comme enlever le cachet, on va pouvoir garder le chocolat, mais le consommer avec moins de pulsion, ce qui arrive trùs souvent avec des chocolats qui sont beaucoup plus riche en cacao.

SĂ©bastien : D’accord, donc 


Claire : Plus on va monter en puissance


SĂ©bastien : c’est ce que j’ai
 dans ces cas lĂ  le conseil que tu peux donner c’est plutĂŽt au lieu de prendre un chocolat au lait trĂšs sucrĂ©e, peut ĂȘtre monter sur du chocolat lait noir, voir du noir, au fur et Ă  mesure pour que la personne puisse avoir moins de compulsation dans sa tĂ©lĂ© au final pas manger la tablette.

Claire : Absolument, c’est vraiment 
 si on continue avec son petit chocolat habituel son doudou, ça va ĂȘtre difficile, parc qu’il y aura forcĂ©ment des moments oĂč dans la vie on serra plus fragile et lĂ  ça va recommencer, mais


SĂ©bastien : ça me fait penser justement Ă  des souvenir, moi dans mon enfance oĂč je mangeais des tablettes de crunch, mais j’en mangeais une entiĂšre, alors juste pour l’anecdote, mes parents ils achetaient par paquet de 3 les tablettes de crunch, et en fait ils avaient 
 je me rappelle ils Ă©taient faire des courses, ils avaient achetĂ© 3 paquets de 3, et moi discrĂštement j’en avais mangĂ©, j’en avais ouvert une, mais pas me faire gronder, en fait j’ai mangĂ© les paquets de 3 et pour dire que il reste
 c’était propre, il y en a pas d’ouverte, mais puis c’est passĂ© ni vu ni connu en fait j’ai mangĂ© les 3 tablettes d’un coup en espace de 20 mn, mais bon voilĂ  c’était une parenthĂšse mais ouais tu vois la preuve que ça m’a marquĂ© je m’en souviens encore.

Claire : Mais on reste marquer enfin les chocolats comme ça
 bonbon, le chocolat trĂšs sucrĂ©, on rĂȘve marquer toute notre vie, c’est vraiment l’histoire de notre enfance qu’on a besoin de reproduire par moment quand on a besoin d’ĂȘtre fort, quand on a besoin d’ĂȘtre rassurer ou d’ĂȘtre rĂ©conforter par moment, on va rechercher spontanĂ©ment le rĂ©confort de notre enfance, voilĂ . Alors c’est vrai que le pouvoir passer Ă  d’autre chocolat Ă  dĂ©couvrir, ouvrir notre esprit sur d’autre chocolat, mais ce n’est pas si simple, parce que quand on est trĂšs habituĂ© Ă  du chocolat au lait, et bien on va avoir vraiment cette impression que le chocolat noir ce n’est pas pour nous, je n’aime pas, ce n’est pas bon, ce n’est pas agrĂ©able, enfin. Mais en fait, c’est une mĂ©connaissance, comme tu le dis trĂšs souvent et c’est vraiment quelque chose que j’aime quand tu expliques ça, c’est que tout dĂ©pend du travail du chocolat. On peut avoir un chocolat Ă  85% trĂšs amer, trĂšs dĂ©sagrĂ©able, et puis on peut avoir suivant le travail d’un chocolatier un 85% extrĂȘmement doux, trĂšs
enfin 
 lĂ  il n’y a pas longtemps moi j’ai dĂ©couvert un 100%... 100% c’est vraiment trĂšs dur, et lĂ  j’ai dĂ©couvert un 100% mais vraiment trĂšs agrĂ©able, vraiment l’amertume elle passe
 tout Ă©quilibrĂ©.

SĂ©bastien : Et je pense que c’est ça aussi, il y a l’image de l’industrie qui envoie des codes alimentaires dans les grandes surfaces, et Ă  cĂŽtĂ©, on a des artisans, on a des personnes qui font façon, ils font d’une autre maniĂšre etc, oĂč lĂ  en fait on est hors des codes et donc on dĂ©couvre vraiment des produits, que ce soit le chocolat ou que ce soit d’autre produit, enfin tous cas de mon expĂ©rience et quand j’essaie de regarder
 autre source que le chocolat dans d’autre alimentation et c’est vrai que, et bien on dĂ©couvre parfois
 mĂȘme souvent une autre saveur, un autre goĂ»t, et de dire ah ouais en fait, tel aliment c’est 
 ou je ne sais pas moi, tel poireau
 je ne pensais pas que le poireau avait ce goĂ»t-lĂ , et lĂ  c’est un goĂ»t magnifique oĂč tel tomate
 oĂč enfin on prend tout simplement des huĂźtres ou autres choses, et c’est hallucinant de voir la diffĂ©rence de goĂ»t ou de 
 alors la dĂ©gustation dans la richesse du produit ouais.

Claire : Absolument, alors lĂ  c’est vrai que lĂ  c’est plus sur le travail artisanal ou le travail du cacao, mais c’est vrai en nutrition en gĂ©nĂ©rale, je veux dire quand on travaille avec des enfants qui arrivent avec un problĂ©matique de poids trĂšs trĂšs jeune, et les parents arrivent en me disant mais oui
 vous allez me demander de lui donner des lĂ©gumes et moins ils n’aiment aucun lĂ©gume. Bien, sache je tiens Ă  le dire que ça n’existe pas, ça n’existe pas, parce que aucun lĂ©gume ça veut dire que on a goutĂ© au moins chaque lĂ©gume, il faudrait pouvoir lister dire voilĂ , on va goĂ»ter les carottes. Les carottes, on ne peut pas les aimer crues, on peut faire les aimer avec l’assaisonnement qu’on 


SĂ©bastien : Exactement.

Claire : peut-ĂȘtre que rĂąper avec un autre assaisonnement
 je peux les aimer rĂąper mais peut ĂȘtre avec un autre aliment, peut ĂȘtre que 
 aime pas avec un autre aliment que j’aime bien, je peux les aimer cuites, toutes seules, peut ĂȘtre Ă  la vapeur, mĂȘme ça existe, on peut les aimer sauter avec des petits oignons voilĂ , on peut les aimer sauter avec des petits oignons et des petits poids tu vois, on peut


SĂ©bastien : Exactement, exactement

Claire : et pouvoir dire je n’aime pas la carotte, ça veut dire qu’on a essayĂ© tout ça au moins une fois et que on dit vraiment non il n’y a rien Ă  faire je n’aime pas
 c’est possible

SĂ©bastien : Exactement.

Claire : ce serait bien dire je n’aime pas un lĂ©gume ou un fruit, mais dire je n’aime pas du tout, alors que je n’ai pas essayĂ©, ce n’est pas possible. Alors moi je dis toujours aux parents qui ont des enfants qui semblent ĂȘtre difficile, mais c’est une question de proposition. C’est une fois expliquer Ă  l’enfant que s’il n’aime pas c’est normal, c’est parce qu’il est petit. Mais comme plus il va dĂ©couvrir et plus il risque de dĂ©couvrir des choses comme les adultes qui risquent d’aimer, c’est en grandissant que on va apprĂ©cier de plus en plus de chose, c’est vrai que nous adulte, on se dit mĂȘme moi quand j’étais enfant je dĂ©testais ça et maintenant j’aime ça. Et bien on va reprendre le mĂȘme processus, quand on doit changer d’alimentation, c’est-Ă -dire que
 par exemple quelqu’un qui a une grosse addiction au chocolat, on va partir sur la mĂȘme chose, on va dire ok le chocolat nous ramĂšne trop vers une compulsion, on va le mettre de cĂŽtĂ© pour le moment, ça ne veut pas dire plus jamais le manger, mais on va le mettre de cĂŽtĂ© pour le moment, donc je ne me sens pas en capacitĂ© de pouvoir le consommer sereinement, je le mets de cĂŽtĂ© et puis vais m’ouvrir Ă  autre chose. Je vais essayer de trouver des chocolats d’une meilleure qualitĂ© ou d’une autre qualitĂ© et je vais essayer de m’ouvrir, et en fait c’est ça le processus de maturitĂ© dans l’alimentation, et de dire ok ça c’est 
 lĂ  pour le moment je ne me sens pas en capacitĂ© de gĂ©rer ça, mais je vais en profiter, je vais laisser ça de cĂŽtĂ©, mais je vais en profiter pour aller voir un petit peu comment ça se fait Ă  cĂŽtĂ©, voilĂ . Je ne voulais pas le parallĂšle


SĂ©bastien : Ouais ouais.

Claire : Dans le cerveau, c’est un peu la mĂȘme chose, je veux dire : « dire je ne veux mĂȘme pas », faut avoir fait vraiment beaucoup 



SĂ©bastien : et souvent 


Claire : Il peut y avoir des intolĂ©rances, ça veut dire que 


SĂ©bastien : oui.

Claire : On n’aime pas spontanĂ©ment, parce que ça effectivement ça ne nous correspond pas d’en prendre du 


SĂ©bastien : Ouais, souvent en arrivant lĂ , c’est qu’on a des maux, maux de tĂȘte, maux de ventre etc, alors que
 il y a aussi une ambiance notamment pour les enfants qui sont dans des Ă©coles, ils entendent moi j’aime pas les lĂ©gumes donc tout le monde on va faire comme les copains moi j’aime pas les lĂ©gumes, enfin bon hein, mais c’est vrai que
 par expĂ©rience par rapport Ă  mes enfants et tous, j’essayais de trouver astuces, des assaisonnements pour qu’ils puissent dĂ©couvrir par exemple des brocolis et bien on les mettait en purĂ©e Ă  l’époque, c’est beaucoup plus rĂ©pandu mais 
et avant les petits choux fleurs ou bein on appelait ça les purĂ©es de Schrek, comme ça passe beaucoup plus facilement et 
 il suffit qu’ ils soient bien assaisonnĂ© comme il faut, ça passe tous seul, et c’est vrai que tout dĂ©pend de 
 si je reprends le brocoli ou le chocolat c’est la mĂȘme chose, si on prend un mauvais 
 dĂ©jĂ  un brocoli qui n’est pas gustativement bon ou pauvre en nutritif, ou en tout cas en saveur, derriĂšre pour le cuisiner il va falloir beaucoup plus de temps de cuisson, aprĂšs il y a la cuisson vapeur, il y a d’autre cuisson qui permet de dĂ©truire ou d’amĂ©liorer le cĂŽtĂ© gustatif justement de l’aliment et derriĂšre bein il y a aussi ensuite l’assaisonnement comme tu disais trĂšs bien, et puis aprĂšs il y a la prĂ©sentation comment s’est prĂ©sentĂ© dans l’assiette pour dire oh 
 des haricots verts oh


Claire : Ouais, mais c’est comme le chocolat je veux dire


SĂ©bastien : Exactement.

Claire : au dĂ©part c’est une cabosse, la cabosse est la cabosse voilĂ , d’accord. Donc, dĂ©jĂ  lĂ  il va avoir des parfums et c’est
 il paraĂźt que la cabosse voilà
 un tel cacaoyer. AprĂšs, ce n’est pas 
 la nutrition c’est la façon dont nous on va l’amener dans notre assiette, voilĂ . Comment on va l’amener, le rendre affectant et agrĂ©able dans l’assiette ? ça c’est le travail de l’artisan quand il travaille le chocolat. Donc il y a des gens
 ils vont faire une betterave rĂąpĂ©e aprĂšs ça va ĂȘtre une horreur, et une betterave rĂąpĂ©e un petit peu twister avec passion, c’est juste une tuerie. Donc c’est une question de savoir faire, aprĂšs c’est une question de curiositĂ©. On parle d’un produit qui est le mĂȘme voilĂ , tu parles de brocoli, voilĂ  ok, aprĂšs c’est vraiment la façon dont va apprendre Ă  le cuisiner, donc on va ĂȘtre assez curieux pour pouvoir le mĂ©langer Ă  d’autre chose et là
.

SĂ©bastien : ouais complĂštement 


Claire : C’est vraiment un travail de curiositĂ©, de recherche


SĂ©bastien : ouais, complĂštement, voilĂ , si si si mais parce que 
 lĂ  c’est comme un 
 la recette, on peut avoir les mĂȘmes ingrĂ©dients avec un chef diffĂ©rent, bein la recette au final n’est pas la mĂȘme, donc


Claire : Absolument.

SĂ©bastien : voilĂ  tout simplement

Claire : Donc, il faut ouvrir son esprit quand on veut changer quelque chose, il va falloir ĂȘtre plus curieux pour pouvoir s’apporter des plaisirs diffĂ©rents, et le cerveau quand on lui amĂšne quelque chose qui lui plaĂźt, il 
 nos 5 sens, c’est rare qu’il crache dessus et puis 


SĂ©bastien : Ouais, ça c’est sĂ»r. Et justement je pense ça Ă©tĂ© aussi le lien aussi par rapport au programme Kaozen oĂč justement comment lier, sĂ»rement se rĂ©concilier grĂące au chocolat, et en pleine conscience, en relaxation avec un carrĂ© de chocolat tous ça, ça on en reparlera tout Ă  l’heure que toi tu auras un dernier conseil que tu pourrais transmettre justement Ă  ce qui nous Ă©coute, qui nous regarde par rapport Ă  se rĂ©concilier un peu avec l’alimentation, avec le chocolat.

Claire : Alors je ne sais pas si c’est un conseil, mais ce qui est intĂ©ressant c’est de regarder l’expĂ©rience qu’on a, avec la frustration, et de constater que chaque fois qu’on a Ă©tĂ© confrontĂ© Ă  une frustration trop grande, mal gĂ©rĂ©e, on aboutit forcement Ă  une catastrophe, je ne sais pas si c’est une astuce, en tout cas c’est une prise de conscience, et de se dire que s’il y a quelque chose que j’aime vraiment, et que j’ai du mal Ă  m’en passĂ©, il faut que je comprenne cette frustration, c’est-Ă -dire de l’arrĂȘter complĂštement, c’est pas forcement facile pour tout le monde, et ce n’est pas une Ă©vidence pour tout le monde. Alors, on entend toujours en nutrition des gens dire : « ah non moi j’ai arrĂȘtĂ©, terminĂ©, ça fait 20 ans, je n’y touche plus, c’est terminer voilĂ  ». Alors, l’abnĂ©gation tout le monde n’est pas capable de le faire sur une trĂšs longue
 et ça j’insiste bien parce que c’est vrai que ce genre de rĂ©flexion, il y a toujours dans l’exemple quelqu’un qui va venir 
 moi je sais qu’étais une grosse fumeuse, et moi je reprends toujours cet exemple-lĂ , j’étais grosse fumeuse quand mĂȘme, je me suis arrĂȘtĂ© avec difficultĂ© mais ça fait 27 ans
 que j’ai arrĂȘtĂ© de fumer, et que je ne cache toujours pas que 
 qui demain on dĂ©couvre que les cigarettes n’est pas du tout dangereuse pour la santĂ©, voir bĂ©nĂ©fique, je file m’acheter un paquet de cigarette, je le dis vraiment en toue sincĂ©ritĂ©, mais je veux dire que je sais parce que cette frustration je suis obligĂ© la nutrition, c’est vitale, la cigarette n’est pas vitale, donc quand on arrĂȘte, on arrĂȘte. Mais qu’est ce que c’est dur quand on est obligĂ© de s’arrĂȘter, il faut se dire mais bon c’est terminer, je ne peux plus toucher une cigarette, parce que je touche une cigarette, inconsciemment je vais aller m’acheter une paquet de cigarette, c’est Ă©vident
 je le sais et jamais qu’est ce que c’est Ă©nervant, je l’ignore vraiment Ă©nervant, super Ă©nervant de voir des anciens fumeurs, dans une soirĂ©e, fumer une cigarette est 
 ils sont capable de se prendre juste une cigarette et de ne pas resombrer dans la cigarette. Ça c’est rare, dire c’est un cadeau quoi, vous ĂȘtes comme ça et vous appartient qu’à vous, tout le monde n’est pas capable de faire ça, c’est pour moi c’est important qu’on comprenne bien ça, c’est que si il y a une personne
 on verra beaucoup de gens qui au moment qui dis : « moi j’ai arrĂȘtĂ© le sucre, terminer, malheureusement plus jamais je ne mange du sucre » 
 dĂšs qu’on envoie, c’est une horreur, et puis Ă  cĂŽtĂ© de ça, t’as la personne qui galĂšre et qui sont trĂšs majoritaire, ils font dĂ©jĂ  un effort hyper important en rĂ©duisant leur consommation de sucre, mais qu’est ce que c’est dĂ©sagrĂ©able d’entendre ces gens qui sont capable de manger 
 ça c’est
 mais c’est pas possible pour 
 ça c’est vraiment super important de bien comprendre, je ne sais pas si c’est pas une astuce mais de prendre conscience en tout cas que arrĂȘter complĂštement un aliment, si on en ai capable, c’est bien, si on n’en ai pas capable, bein il va falloir trouver des Ă©tapes voilĂ  oĂč on va pouvoir s’adapter, voilĂ , ça c’est important. Et vraiment c’est l’adaptation, c’est l’ouverture d’esprit et comprendre que de toute façon, ça sera le petit quoi.

SĂ©bastien : ok, voilĂ , super, c’est impeccable, ça permet d’avoir toutes ces astuces lorsque tu as dit aujourd’hui bein de faire la part des choses et de mieux comprendre en fait, les aspects aussi liĂ©s avec le chocolat ou plus son alimentation, le chocolat ce n’est pas un aliment danger, comme d’autre non plus.

Claire : Non, mais c’est mĂȘme si on en prend de trĂšs petite quantitĂ©, c’est quand mĂȘme un trĂšs trĂšs bon aliment.

SĂ©bastien : Tout Ă  fait.

Claire : Vu qu’il n’est pas tu tout 
 pour la santĂ© Ă  condition qu’il soit pris en petite quantitĂ©, ce qui est vrai pour beaucoup de chose en nutrition, je veux dire
 c’est toujours alors
 c’est une maxime que j’aime bien citer systĂ©matiquement et que je n’aurai pas fait la longueur de journĂ©e, mais le poison c’est la dose. Donc, si vous avez Ă  maĂźtriser la dose, Ă  aucun moment vous ne serez pas empoisonnĂ©, mais bon aprĂšs la dose c’est quelque chose qui appartient individuellement Ă  chacun.

SĂ©bastien : Ouais.

Claire : VoilĂ , je veux dire que ce n’est pas parce que voilà
 parce qu’un carrĂ© ça va correspondre Ă  
 voilĂ  
 probablement pas.

SĂ©bastien : (rire)

Claire : (rire)

SĂ©bastien : ça va ĂȘtre un peu plus dur oui.

Claire : bein, je comprends mais la réalité, elle est là.

SĂ©bastien : oui oui

Claire : c’est quand 
 il est vraiment chacun diffĂ©rent, ça serait merveilleux en nutrition que tout le monde comprenne que c’est vraiment une affaire strictement personnelle.

SĂ©bastien : Personnelle.

Claire : ah non, il faut arrĂȘter avec ces injonctions collectives, voilĂ  et puis 
 on mange avec son corps, on ne mange pas avec sa tĂȘte.

SĂ©bastien : Ouais justement, comme tu parles je rebondis un peu sur manger un petit peu etc, donc, pour rebondir avec le programme Kaozen que l’on a mis en place, et que toi tu as fait les audios, t’as 
 au niveau de la chocolat relaxation, qu’est ce que tu peux nous dire justement sur ce programme-lĂ , au fait, ça nous permet bein d’évoluer aussi de 
 au niveau du chocolat, de dĂ©couvrir un chocolat diffĂ©rent, un chocolat bonbon, un chocolat au lait, chocolat noir, chocolat cru, avec diffĂ©rentes Ă©tapes, est- ce que tu peux expliquer justement, qu’est-ce que c’est Kaozen, et comment ça peut aider des personnes qui peuvent nous Ă©couter aujourd’hui ?

Claire : ça rĂ©pond exactement Ă  ce que tu m’as fait dire, c’est que 
 ça va Ă©viter qu’on soit complĂštement frustrĂ© 


SĂ©bastien : Ouais.

Claire : le programme Kaozen, ça veut dire d’apprendre Ă  gĂ©rer sa consommation de chocolat, ça va ouvrir notre esprit, et ça va nous faire prendre conscience qu’une trĂšs petite quantitĂ© de chocolat va remplir sa fonction exactement de la mĂȘme façon qu’une plaque de chocolat, tu vois, ça veut dire c’est 
 ça va nous contenter au niveau de nos 5 sens, ça va nous contenter Ă©motionnellement et nutritionnellement, ça va ĂȘtre juste parfait voilĂ . Ça va nous permettre de prendre conscience sur ces 3 axes, j’accepte
 je dois rĂ©duire ma quantitĂ© de chocolat, je ne veux pas rentrer dans la frustration, parce que je ne suis pas capable ou j’en ai pas envie, voilĂ , je veux dire c’est simple hein, c’est pas compliquĂ©, c’est pas grave de se dire : « je ne suis pas capable d’arrĂȘter complĂštement le chocolat, je n’en suis pas capable, je n’en ai pas envie », et bien, trĂšs bien ok, alors on assume 
 et on va dire ok dans ces cas-lĂ , faut qu’on rĂ©duise la quantitĂ© et que le chocolat que vous avez l’habitude de prendre et qui entraine les compulsions, on va mettre lĂ©gĂšrement de cĂŽtĂ© dans un premier temps, et on va dĂ©couvrir d’autre chocolat. Et donc, c’est lĂ  oĂč toi tu rentres en scĂšne et que tu nous fais dĂ©couvrir les chocolats qui vont flatter nos sens, donc on aura pas besoin de consommer une quantitĂ© dĂ©lirante, commencer Ă  se sentir bien, et voilĂ  et en mĂȘme temps le monde du chocolat c’était
 c’est un monde sans fin, enfin c’est sans limite quoi, et c’est de mieux en mieux fait il y a quelque chose de mieux en mieux, donc c’est vraiment un aliment qui doit ĂȘtre des 
 , mais il y en aura plein d’autre comme ça, dĂ©jĂ  parce qu’aujourd’hui les injonctions, il faut, il faut pas, peut ĂȘtre bien, c’est pas bien, c’est mal, voilà
 ras le bol parce que lĂ  ça fait plus de 20 ans que je vois des gens, et plus personne ne sait pas ce qu’il faut faire oĂč alors les gens arrivent avec de tel certitude ok c’est bien, je veux dire
 on sait que c’est bien pour vous bein c’est bien pour vous, c’est parfait, on ne porte pas de jugement, la personne vit sur une alimentation Ă  condition qu’elle ne fasse pas de prosĂ©lytisme et qu’elle Ă©tait de
 convaincre tous le monde que sans alimentation, c’est bonne pour elle et bonne pour tout le monde, ce n’est pas une rĂ©alitĂ©.

SĂ©bastien : Ouais, tout Ă  fait.

Claire : Ce n’est pas possible.

SĂ©bastien : Alors, comment ça se dĂ©roule, est ce que tu peux expliquer justement le dĂ©roulement des sĂ©ances en quelques mots, donc c’est 4 grosses sĂ©ances pour Kaozen.

Claire : Oui, alors, c’est un voyage dans 4 univers du chocolat, donc le chocolat bonbon qui est en quelque sorte le chocolat que l’on utilise, ce chocolat dont je parle depuis tout Ă  l’heure, celui qu’on va avoir l’habitude de consommer de façon un peu pulsionnelle, donc celui lĂ  on le prend comme base, alors et puis on peut se dire bein mĂȘme dans ces chocolats prĂ© sucrĂ©s et un peu bonbon, et bein peut ĂȘtre que je peux en sortir et que je peux utiliser d’aller voir autres choses, en tout cas je me pose avec ces 3 premiĂšres sĂ©ances sur le chocolat bonbon, je me pose et j’accepte la situation, voilĂ  j’accepte juste ce qui se passe, et je comprends que avec mon seul carrĂ© de chocolat de ce bonbon-lĂ , et bein ça va et puis progressivement je vais ouvrir mon esprit, c’est-Ă -dire que ce chocolat trĂšs sucrĂ©, je vais commencer Ă  le travailler en qualitĂ©, alors c’est vrai qu’on fait comprendre le partie prix que ce chocolat bonbon c’est dĂ©jĂ  un chocolat extrĂȘmement sucrĂ©, pouvoir industriel et pĂąte de trĂšs trĂšs bonne qualitĂ©. Donc, on va monter en gamme avec du chocolat au lait, et contrairement Ă  ce qu’on croit au chocolat au lait, la gamme est assez large mais quand mĂȘme suffisamment de cacao pour qu’on commence vraiment Ă  sentir que toute cette richesse gustative du chocolat et que progressivement on perd l’intĂ©rĂȘt du sucre, et une fois qu’on a fait ces 3 sĂ©ances, on passe sur du chocolat noir, donc lĂ  on perd l’intĂ©rĂȘt du sucre, on s’intĂ©resse plus Ă  la dĂ©couverte du chocolat, du cacao plus en plus brute, et lĂ  voilĂ  on peut 
 on peut monter jusqu’à 100%, bein on n’est pas obligĂ© d’aller jusque-lĂ , je veux dire si dĂ©jĂ  on arrive quotidiennement Ă  consommer un chocolat, un carrĂ© de chocolat entre 70 et 80 % de cacao, c’est dĂ©jĂ  merveilleux, on n’a pas besoin d’aller plus loin, et puis aprĂšs c’est une question d’ouverture d’esprit, voilĂ . Donc, ce voyage je l’ai voulu
 et un accompagnement nutritionnel vers un mieux-ĂȘtre pour la santĂ©, parce que je suis naturopathe, donc voilĂ  plus fort que moi, et puis j’ai envie de faire comprendre que quand on travaille sur sa nutrition, on travaille trĂšs en profondeur sur soi, c’est quand mĂȘme assez incroyable ce que doit se pose et qu’on regarde notre comportement immunitaire, donc ça qu’on va travailler des structures trĂšs profonde, et c’est ce que j’ai voulu faire dĂ©couvrir dans Kaozen, voilĂ , c’est comme ça que ça va se passer et donc on finit l’avis du cacao cru, parce que ça c’est vraiment alors c’est trĂšs tendance, d’abord on me voit de plus en plus partout et puis c’est un chocolat je trouve qui est intĂ©ressant mais qui n’est pas un gage de qualitĂ© quand mĂȘme, j’insiste bien, je connais le cacao cru, c’est pas forcĂ©ment un gage de qualitĂ©.

SĂ©bastien : Je confirme.

Claire : Mais c’est une autre façon de travailler le cacao, donc dans ce voyage d’ouverture d’esprit bein j’avais envie d’aller u peu plus loin avec le cacao, voilà. Mais euh
puis voilà et puis aprùs il y a partie à 3 pour vous faire voyager dans


SĂ©bastien : Exactement, par rapport Ă  ça pour ceux qui veulent aller dĂ©couvrir ce voyage, ce merveilleux voyage, ci-dessous vous trouverez un lien pour aller voir le programme, vous avez un audio offert gratuit, et puis aprĂšs et bien libre Ă  vous d’aller plus loin ou dans ce voyage, et ça sera avec plaisir de vous accueillir et vous accompagner lĂ -dessus. En tout cas, merci Ă  toi Claire pour cet Ă©change sur l’alimentation et le chocolat, je pense qu’on va se retrouver sur une prochaine vidĂ©o et je vous dis Ă  trĂšs bientĂŽt, salut Claire, bye.

DĂ©couvrez le programme Choco Relaxation Kaozen :
https://www.creationchocolat.com/programme-kaozen


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