ANGLETERRE
WILLIAM CURLEY
Il est, à Londres, l’un des plus célèbres pâtissiers chocolatiers. Il symbolise la fin d’une légende: le chocolat britannique n’est pas bon. Il s’est inspiré de recettes françaises, mais vient néanmoins de créer un gâteau pour le jubilé de diamant de la Reine Elizabeth II. Les membres du club ont découvert deux de ses spécialités Le Piemont Hazelmut et le chocolat aux graines de sésames. Elles ont été bien accueillies, bien que le sésame ne soit pas très présent.
BELGIQUE
DEL REY
Il est considéré à Anvers, comme l’un des maîtres du praliné. Il a proposé un Andoa-menthe et un Pécan-speculos. La texture a semblé un peu grasse, la menthe trop timide et le spéculos pas assez présent, pour les palais français, assez différents, semble-t-il, dans ce domaine, des palais belges.
GALLER
Jean Galler est un fidèle du club des croqueurs de chocolat, connu, en particulier pour ses « Chats » inspirés de Gelluck. Il n’était pas présent mais a fait découvrir Abricot : une ganache abricot et Bruges : une ganache au lait caramel au beurre salé. De quoi vous donner envie de vous rendre dans cette ville, surnommée « la Venise belge », très prisée par les amoureux, et pas seulement du chocolat.
PIERRE MARCOLINI
Également membre fidèle du club, il a proposé Le Praliné d’Autrefois, dont la finesse de l’enrobage a été saluée. Il a aussi surtout fait découvrir une boîte dans laquelle se trouve des petits morceaux, très fins, de ce qu’il appelle le Chocolat Primitif. Placé sur un morceau de pain Poilâne avec du beurre salé, il rappelle irrésistiblement le goûter de notre enfance. Il a été très apprécié. Une idée de cadeau original qui ne peut que faire plaisir.
WILLIAM CURLEY
Il est, à Londres, l’un des plus célèbres pâtissiers chocolatiers. Il symbolise la fin d’une légende: le chocolat britannique n’est pas bon. Il s’est inspiré de recettes françaises, mais vient néanmoins de créer un gâteau pour le jubilé de diamant de la Reine Elizabeth II. Les membres du club ont découvert deux de ses spécialités Le Piemont Hazelmut et le chocolat aux graines de sésames. Elles ont été bien accueillies, bien que le sésame ne soit pas très présent.
BELGIQUE
DEL REY
Il est considéré à Anvers, comme l’un des maîtres du praliné. Il a proposé un Andoa-menthe et un Pécan-speculos. La texture a semblé un peu grasse, la menthe trop timide et le spéculos pas assez présent, pour les palais français, assez différents, semble-t-il, dans ce domaine, des palais belges.
GALLER
Jean Galler est un fidèle du club des croqueurs de chocolat, connu, en particulier pour ses « Chats » inspirés de Gelluck. Il n’était pas présent mais a fait découvrir Abricot : une ganache abricot et Bruges : une ganache au lait caramel au beurre salé. De quoi vous donner envie de vous rendre dans cette ville, surnommée « la Venise belge », très prisée par les amoureux, et pas seulement du chocolat.
PIERRE MARCOLINI
Également membre fidèle du club, il a proposé Le Praliné d’Autrefois, dont la finesse de l’enrobage a été saluée. Il a aussi surtout fait découvrir une boîte dans laquelle se trouve des petits morceaux, très fins, de ce qu’il appelle le Chocolat Primitif. Placé sur un morceau de pain Poilâne avec du beurre salé, il rappelle irrésistiblement le goûter de notre enfance. Il a été très apprécié. Une idée de cadeau original qui ne peut que faire plaisir.
ESPAGNE
ORIOL BALAGUER
Il est le pâtissier chocolatier le plus connu en Espagne et sa notoriété dépasse aujourd’hui les frontières. Il possède des boutiques dans plusieurs villes, et, en particulier à Madrid et Barcelone. Ce spécialiste du praliné noisette a proposé Corn nuts dont l’onctuosité de la ganache a été appréciée. En revanche, le Yuzu, un chocolat blanc à la pulpe de yuzu, n’a pas fait l’unanimité. Certains l’ont trouvé équilibré et fin. D’autres ont peu apprécié ce mélange
ITALIE
DOMORI
Stefano Giubertoni, le PDG de Domori a spécialement fait le voyage de Turin pour présenter son activité, dans le détail, aux membres du Club. Dans un français parfait, il a expliqué comment ses équipes cultivent et extraient le cacao dans sa propre plantation. Il a rappelé l’importance de la torréfaction du cacao qui vise à préserver l’arôme et la pureté du produit. Il a ainsi proposé deux tablettes aux couleurs de sa marque, le Chuo, des carrés de chocolat noir à 70%, avec des noix, et du miel, et surtout, une longueur en bouche exceptionnelle, et Canoaba également à 70%, qui se caractérise par ses notes puissantes. Un ensemble vivement apprécié
GUIDO GOBINO
Le Piémont est reconnu pour la grande qualité de ses noisettes. Le Guanduitoo classico est réalisé selon une méthode artisanale avec une sélection des meilleures noisettes. L’absence de lait dans le chocolat Gianduitto maximo lui confère un caractère particulier. Le Cremino un praliné avec une pointe d’huile d’olive et de sel, a été salué par les amateurs de Ganduja, une spécialité typiquement italienne.
LUXEMBOURG
OBERWEIS
L’incontournable traiteur luxembourgeois Pit Oberweis a fait découvrir deux classiques: le Délice, un chocolat noir fort en cacao et le Mocca de type classique, très apprécié pour sa forte puissance aromatique par ceux qui aiment le mélange du café et du chocolat. Il a également révélé le projet ambitieux qui lui tient à cœur depuis plusieurs années, et qui est en voie de finition : un immeuble de 900 mètres carrés avec salon de thé, restaurant et boutique qui ouvrira ses portes, début 2013 Grand Rue, dans un quartier historique de Luxembourg.
Sélection par les membres du Club des Croqueurs de Chocolat
ORIOL BALAGUER
Il est le pâtissier chocolatier le plus connu en Espagne et sa notoriété dépasse aujourd’hui les frontières. Il possède des boutiques dans plusieurs villes, et, en particulier à Madrid et Barcelone. Ce spécialiste du praliné noisette a proposé Corn nuts dont l’onctuosité de la ganache a été appréciée. En revanche, le Yuzu, un chocolat blanc à la pulpe de yuzu, n’a pas fait l’unanimité. Certains l’ont trouvé équilibré et fin. D’autres ont peu apprécié ce mélange
ITALIE
DOMORI
Stefano Giubertoni, le PDG de Domori a spécialement fait le voyage de Turin pour présenter son activité, dans le détail, aux membres du Club. Dans un français parfait, il a expliqué comment ses équipes cultivent et extraient le cacao dans sa propre plantation. Il a rappelé l’importance de la torréfaction du cacao qui vise à préserver l’arôme et la pureté du produit. Il a ainsi proposé deux tablettes aux couleurs de sa marque, le Chuo, des carrés de chocolat noir à 70%, avec des noix, et du miel, et surtout, une longueur en bouche exceptionnelle, et Canoaba également à 70%, qui se caractérise par ses notes puissantes. Un ensemble vivement apprécié
GUIDO GOBINO
Le Piémont est reconnu pour la grande qualité de ses noisettes. Le Guanduitoo classico est réalisé selon une méthode artisanale avec une sélection des meilleures noisettes. L’absence de lait dans le chocolat Gianduitto maximo lui confère un caractère particulier. Le Cremino un praliné avec une pointe d’huile d’olive et de sel, a été salué par les amateurs de Ganduja, une spécialité typiquement italienne.
LUXEMBOURG
OBERWEIS
L’incontournable traiteur luxembourgeois Pit Oberweis a fait découvrir deux classiques: le Délice, un chocolat noir fort en cacao et le Mocca de type classique, très apprécié pour sa forte puissance aromatique par ceux qui aiment le mélange du café et du chocolat. Il a également révélé le projet ambitieux qui lui tient à cœur depuis plusieurs années, et qui est en voie de finition : un immeuble de 900 mètres carrés avec salon de thé, restaurant et boutique qui ouvrira ses portes, début 2013 Grand Rue, dans un quartier historique de Luxembourg.
Sélection par les membres du Club des Croqueurs de Chocolat