Instant Chocolat : l’ambition au service d’un pays
Outre l’envie de ces jeunes chocolatiers ivoiriens de s’imposer sur la scène mondiale, Instant Chocolat ne se limite pas seulement à développer un label. C’est aussi une initiative qui vise à développer à grande échelle une production locale de cacao incluant sa transformation et sa mise à disposition en produit fini auprès des consommateurs locaux et même hors des frontières ivoiriennes.
Organisation de coopératives, recherche de développements, d’investissements dans des moyens de production, formations, amélioration du cadre de vie des producteurs , etc. En plus de cela, c’est la volonté d’ouvrir les portes d’une filière complète et indépendante nationale.
Organisation de coopératives, recherche de développements, d’investissements dans des moyens de production, formations, amélioration du cadre de vie des producteurs , etc. En plus de cela, c’est la volonté d’ouvrir les portes d’une filière complète et indépendante nationale.
Au cœur du dispositif : les femmes de producteurs.
Le projet Instant Chocolat part de l’analyse de la situation des femmes dans la filière du chocolat qui est difficile. Surreprésentées, pas ou peu qualifiées, elles sont sous-rémunérées, surexploitées, sans possibilités de développer leur propre savoir-faire et donc de participer de manière équitable à l’économie de leur pays en plus d’améliorer leurs conditions de vie.
L’objectif est donc de fournir un appui en matière de formation, de les intégrer dans le travail de leur époux pour participer de l’amélioration de leurs conditions : de la sélection des fèves, en passant par la torréfaction, les mesures d’hygiène liées à la transformation du cacao, à la confection des emballages, la distribution… À terme, sur 2500 coopératives, pas moins de 250 000 femmes ivoiriennes qui devraient intégrer la filière, un excellent moyen de lutter contre la pauvreté et la précarité.
On applaudit donc et on a vraiment hâte de découvrir Instant Chocolat lors du prochain salon international de Paris !
L’objectif est donc de fournir un appui en matière de formation, de les intégrer dans le travail de leur époux pour participer de l’amélioration de leurs conditions : de la sélection des fèves, en passant par la torréfaction, les mesures d’hygiène liées à la transformation du cacao, à la confection des emballages, la distribution… À terme, sur 2500 coopératives, pas moins de 250 000 femmes ivoiriennes qui devraient intégrer la filière, un excellent moyen de lutter contre la pauvreté et la précarité.
On applaudit donc et on a vraiment hâte de découvrir Instant Chocolat lors du prochain salon international de Paris !