Une passion vorace
À tous justes 14 ans, Jean Grollet a commencé à travailler et à 68 ans, il arrête son activité de pâtissier et cuisinier. Pour lui tout a démarré quand il s’est rendu sur un salon de la pâtisserie. Il a regardé une démonstration de sucre filé et s’est alors promis qu’on entendrait parler de lui. Ça lui a demandé beaucoup d’investissement personnel et de travail.
Maintenant, il se distingue par sa veste blanche surmontée d’un col « bleu, blanc, rouge » signifiant meilleur ouvrier de France dans la catégorie pâtisserie.
Pour lui ce concours est un engagement avec beaucoup de pression nécessitant une grande préparation. Avant de se présenter au concours des MOF, ce maître pâtissier a également participé à de nombreux concours en France et au-delà. Même si dans l’univers des douceurs, Jean Grollet, n’a plus rien à prouver, pour lui la remise en question s’impose quasi au quotidien.
Maintenant, il se distingue par sa veste blanche surmontée d’un col « bleu, blanc, rouge » signifiant meilleur ouvrier de France dans la catégorie pâtisserie.
Pour lui ce concours est un engagement avec beaucoup de pression nécessitant une grande préparation. Avant de se présenter au concours des MOF, ce maître pâtissier a également participé à de nombreux concours en France et au-delà. Même si dans l’univers des douceurs, Jean Grollet, n’a plus rien à prouver, pour lui la remise en question s’impose quasi au quotidien.
Jean Grollet se fixe des challenges tout seul
Quand il a commencé en 1987, il livrait 5 000 menus, trois ans plus tard plus de 8 000. Son but c’est de présenter son menu, telle une œuvre d’art dégageant subtilement, une à une les saveurs pour rendre une dégustation harmonieuse. Cet engagement, il l’a partagé avec son épouse, Isabelle. Elle l’aide à préparer les fruits et conditionne les sucreries. Inséparable, on ne les voit jamais l’un sans l’autre, il aime travailler ensemble.