Les Antilles, terres du cacao
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Les Antilles (tiré du terme portugais « ante-ilhas » qui signifie « les îles d’avant ») constituent un ensemble d’îles géographiquement proches, situé au bord de la mer des Caraïbes. Tel un arc de cercle de 3500 km d’envergure, cet archipel est limité par le Cuba et le Venezuela. Il est composé de quatre zones distinctes : les petites Antilles, les grandes Antilles, les îles Sous-le-Vent et les îles du Vent. Au total, 29 États/Régions constituent les Antilles, tels que l’île de Cuba, l’Hispaniola (Haïti), la Jamaïque, la Porto Rico (États-Unis), le Tobago (Trinité et Tobago), l’Andros (Bahamas), la Martinique (France), la Margarita (Venezuela), l’Inagua (Bahamas), la Guadeloupe (France), la Dominique, la Cozumel (Mexique), etc.
Depuis des centaines d’années, les Antilles ont été déjà associées aux plantations de cacao. D’après les historiens, cet archipel (plus précisément le Venezuela et le Mexique) hébergeait même les premiers consommateurs du cacao. Toutefois, les plantations de cacao ne sont renforcées aux Antilles qu’à partir du 16e siècle, après le passage de Christophe Colomb.
Depuis des centaines d’années, les Antilles ont été déjà associées aux plantations de cacao. D’après les historiens, cet archipel (plus précisément le Venezuela et le Mexique) hébergeait même les premiers consommateurs du cacao. Toutefois, les plantations de cacao ne sont renforcées aux Antilles qu’à partir du 16e siècle, après le passage de Christophe Colomb.
La production antillaise de cacao
L’un des avantages majeurs de la plantation antillaise de cacao réside dans la diversité des conditions climatiques, géographiques et dans la diversité des milieux. Les trois grandes variétés de cacao (Forastero, Criollo et Trinitario) et d’autres sous-variétés hybrides sont cultivées par les petits agriculteurs. Tandis que de grandes firmes internationales exploitent les opportunités de production et d’exportation du cacao.
Les fèves de cacao antillaises sont récoltées entre Mars et Juillet et sont particulièrement appréciées pour leur goût acide et chaleureux. Les plus grands chocolatiers implantent d’ailleurs leurs filiales dans quelques régions antillaises pour faciliter les opérations d’exportation. Néanmoins, en tant que pilier économique de certaines régions, la filière cacao n’a pas encore atteint son stade de maturité et offre de belles opportunités de développement à chaque État et région.
Les fèves de cacao antillaises sont récoltées entre Mars et Juillet et sont particulièrement appréciées pour leur goût acide et chaleureux. Les plus grands chocolatiers implantent d’ailleurs leurs filiales dans quelques régions antillaises pour faciliter les opérations d’exportation. Néanmoins, en tant que pilier économique de certaines régions, la filière cacao n’a pas encore atteint son stade de maturité et offre de belles opportunités de développement à chaque État et région.