Comment la quantité de chocolat consommée influence-t-elle le rythme cardiaque ?
Chocolat et ses vertus
Une étude transversale a été menée sur un groupe de 98 jeunes femmes (19-21 ans). Elle comprenait l'évaluation des habitudes alimentaires en matière de chocolat au moyen d'un questionnaire et des paramètres de variabilité de la fréquence cardiaque au moyen d'un manomètre comme principaux résultats, ainsi que la mesure de l'anthropométrie, de la pression artérielle et de la glycémie à jeun comme prédicateurs pour tenir compte des facteurs de confusion potentiels.
Trois modes de consommation de chocolat ont été distingués :
Aucune consommation régulière de chocolat ",
2-4 portions/semaine,
5 portions/semaine ou plus.
Le test ANOVA a révélé des différences non significatives dans les paramètres de variabilité de la fréquence cardiaque et les pressions entre les trois groupes d'individus ayant des habitudes de consommation de chocolat différentes. La fréquence relative de la consommation de chocolat n'a pas été corrélée avec les paramètres cardiovasculaires, temporels ou fréquentiels de la variabilité de la fréquence cardiaque chez les participants.
Trois modes de consommation de chocolat ont été distingués :
Aucune consommation régulière de chocolat ",
2-4 portions/semaine,
5 portions/semaine ou plus.
Le test ANOVA a révélé des différences non significatives dans les paramètres de variabilité de la fréquence cardiaque et les pressions entre les trois groupes d'individus ayant des habitudes de consommation de chocolat différentes. La fréquence relative de la consommation de chocolat n'a pas été corrélée avec les paramètres cardiovasculaires, temporels ou fréquentiels de la variabilité de la fréquence cardiaque chez les participants.
Le chocolat réduit le risque de battements cardiaques irréguliers
Il a été démontré que le chocolat, en particulier le chocolat noir a des effets bénéfiques sur le système cardiovasculaire. En effet, les deux chambres supérieures du cœur, appelées les oreillettes, ne battent pas au même rythme que les deux chambres inférieures du cœur, ce qui entraîne un rythme cardiaque très irrégulier.
Les participants qui mangeaient une à trois portions de chocolat par mois avaient une incidence de fibrillation auriculaire inférieure de 10 % par rapport à ceux qui en mangeaient moins d'une portion par mois. Ceux qui mangeaient une portion par semaine avaient une incidence inférieure de 17 %, et ceux qui en mangeaient deux à six par semaine avaient une incidence inférieure de 20 %.
Sur la base des résultats obtenus, la fréquence relative de consommation de chocolat n'affecte pas la régulation autonome du cœur chez les jeunes femmes. De plus, elle n'a aucune corrélation avec les paramètres cardiovasculaires, temporels ou fréquentiels de la variabilité de la fréquence cardiaque.cp[
Les participants qui mangeaient une à trois portions de chocolat par mois avaient une incidence de fibrillation auriculaire inférieure de 10 % par rapport à ceux qui en mangeaient moins d'une portion par mois. Ceux qui mangeaient une portion par semaine avaient une incidence inférieure de 17 %, et ceux qui en mangeaient deux à six par semaine avaient une incidence inférieure de 20 %.
Sur la base des résultats obtenus, la fréquence relative de consommation de chocolat n'affecte pas la régulation autonome du cœur chez les jeunes femmes. De plus, elle n'a aucune corrélation avec les paramètres cardiovasculaires, temporels ou fréquentiels de la variabilité de la fréquence cardiaque.cp[