René Lamielle – Dans mon équipe il y a ma femme, mon fils Philippe. Ma belle-fille Corinne, notre premier ouvrier Frédéric Voulot qui lui a été reçu majeur de sa promotion. Vraiment, avec mon fils, ce sont deux artistes, dont on peut voir d’ailleurs les pièces qui sont sorties sur Facebook.
Sébastien – C’est ce que tu me disais, oui.
René Lamielle – Il y a une pièce qui est absolument extraordinaire. À Épinal, au musée, il y a une sculpture qui a été faite par deux grands sculpteurs en 1983 et cette sculpture fait sept mètres de long sur cinq mètres de haut, en bronze. C’est l’œil de Mimas. Alors qu’est-ce que l’œil de Mimas ? C’est la mythologie grecque. C’est le combat des dieux contre les géants. Et il y a un dieu qui a tué Mimas. Alors, on voit l’œil de Mimas, ce fameux en bronze de sept mètres sur cinq dans la Méditerranée. Au musée contemporain d’Épinal il y a de l’eau et puis c’est posé, il y a une lance dans la terre ferme et une lance dans la Méditerranée. Nous avons reproduit, Philippe et Frédéric – j’ai un peu participé aussi. On a sculpté cette pièce dans le bloc de cinquante kilos. On a ressorti cet œil de Mimas. Une petite anecdote qui m’a fait sourire, c’est qu’une dame a dit au personnel du musée : « Cette pièce-là, c’est la grosse pièce qui s’est transformée ? » Pour elle, elle avait pris… On fait des choses vraiment ! Latresne nous avait demandé, pour leurs cent ans, on a fait une pièce où l’on a passé cent quatre heures dessus. Un climatiseur avec ventilation, tubulures. Ils n’ont même pas voulu manger. Ils l’ont trouvé bien, ils veulent l’exposer au Japon, en Corée, un peu partout.
Sébastien – C’est magnifique ça ! Ça ce sont des choses que vous faites régulièrement ? De tout ce qui est pièce artistique ?
René Lamielle – Dès qu’on nous commande une commande. Par exemple, on travaille beaucoup les émaux, un peu comme les émaux de Longwy. Par exemple, on peut avec une photo, reproduire pareil. On passe à la main, on fait tous les contours et puis après on met des couleurs comme pour les émaux de Longwy. Et après on peut passer la main. Tout est incrusté dans le tableau. On peut tout faire. On peut faire n’importe quoi. Par exemple, on a préparé pour Pâques – vous le verrez dans Facebook – des pièces extraordinaires. On est déjà en train de préparer pour Pâques l’année prochaine. Donc on est toujours à rechercher
Sébastien – À peu près un an à l’avance. À préparer.
René Lamielle – Un an à l’avance.
Sébastien – Tu me dis Facebook. On peut retrouver ?
René Lamielle – Voilà. Sur Facebook chocolatier Lamielle. On arrive à trouver tout ce que l’on peut faire.
Sébastien – D’accord, assez facilement. Sinon, moi je vous mettrai le lien en dessous de la vidéo, pour que vous puissiez cliquer dessus et aller voir.
René Lamielle – Là c’est quelque chose de fabuleux. Moi je pense que les personnes qui viennent visiter – au moment des portes ouvertes, nous avons beaucoup de monde – sont un peu étonnées de ce que l’on peut faire. Même les marrons glacés, je les surprends. Les marrons glacés, moi je veux un marron qui soit ferme mais qui ne soit pas pâteux, farineux comme on trouve bien souvent. Je vais à Marseille, à la maison Facor, maison Jean-Louis Corsiglia. Et là j’ai fait une fabrication. Il m’a demandé l’autorisation de copier ma recette – mais je ne touche pas de royalties – et d’appeler fabrication Lamielle. N’importe quel chocolatier en France, s’il veut le marron ferme, s’il ne veut pas un marron pâteux, farineux, demandez à la maison Facor, la maison Corsiglia à Marseille : « Je voudrais des marrons fabrication Lamielle. » Et je reprécise bien, je ne touche aucune royalties.
Sébastien – D’accord. Tu as été généreux là.
René Lamielle – Ça me fait plaisir. J’aime faire plaisir.
Sébastien – Ça vient du cœur. Te connaissant oui c’est sûr. Est-ce que tu aurais un dernier mot à dire sur ta chocolaterie, à nos internautes ?
René Lamielle – Alors moi je voudrais leur dire que le métier de chocolatier pour moi, est un métier absolument exceptionnel. Si des personnes sont vraiment intéressées par ce métier, de le faire, à tout âge – on va dire seize ans, vingt ans, même à vingt-cinq trente quarante ans – et de s’installer, et quand vous êtes un bon chocolatier, croyez-moi vous pouvez vous installer. Vous choisissez une ville où il n’y a pas un chocolatier très connu et là vous êtes assuré de réussir.
Sébastien – Super. Nous, on retrouvera René directement dans sa boutique, parce que ça m’intéresse d’aller voir tout ce qu’il fait et comment il le fait, etc. Mais bon, ce sera terminé pour aujourd’hui et on se retrouvera pour une prochaine vidéo. Merci René.
René Lamielle – C’est moi qui te remercie.
Sébastien – À très bientôt. Merci. Au revoir.
Sébastien – C’est ce que tu me disais, oui.
René Lamielle – Il y a une pièce qui est absolument extraordinaire. À Épinal, au musée, il y a une sculpture qui a été faite par deux grands sculpteurs en 1983 et cette sculpture fait sept mètres de long sur cinq mètres de haut, en bronze. C’est l’œil de Mimas. Alors qu’est-ce que l’œil de Mimas ? C’est la mythologie grecque. C’est le combat des dieux contre les géants. Et il y a un dieu qui a tué Mimas. Alors, on voit l’œil de Mimas, ce fameux en bronze de sept mètres sur cinq dans la Méditerranée. Au musée contemporain d’Épinal il y a de l’eau et puis c’est posé, il y a une lance dans la terre ferme et une lance dans la Méditerranée. Nous avons reproduit, Philippe et Frédéric – j’ai un peu participé aussi. On a sculpté cette pièce dans le bloc de cinquante kilos. On a ressorti cet œil de Mimas. Une petite anecdote qui m’a fait sourire, c’est qu’une dame a dit au personnel du musée : « Cette pièce-là, c’est la grosse pièce qui s’est transformée ? » Pour elle, elle avait pris… On fait des choses vraiment ! Latresne nous avait demandé, pour leurs cent ans, on a fait une pièce où l’on a passé cent quatre heures dessus. Un climatiseur avec ventilation, tubulures. Ils n’ont même pas voulu manger. Ils l’ont trouvé bien, ils veulent l’exposer au Japon, en Corée, un peu partout.
Sébastien – C’est magnifique ça ! Ça ce sont des choses que vous faites régulièrement ? De tout ce qui est pièce artistique ?
René Lamielle – Dès qu’on nous commande une commande. Par exemple, on travaille beaucoup les émaux, un peu comme les émaux de Longwy. Par exemple, on peut avec une photo, reproduire pareil. On passe à la main, on fait tous les contours et puis après on met des couleurs comme pour les émaux de Longwy. Et après on peut passer la main. Tout est incrusté dans le tableau. On peut tout faire. On peut faire n’importe quoi. Par exemple, on a préparé pour Pâques – vous le verrez dans Facebook – des pièces extraordinaires. On est déjà en train de préparer pour Pâques l’année prochaine. Donc on est toujours à rechercher
Sébastien – À peu près un an à l’avance. À préparer.
René Lamielle – Un an à l’avance.
Sébastien – Tu me dis Facebook. On peut retrouver ?
René Lamielle – Voilà. Sur Facebook chocolatier Lamielle. On arrive à trouver tout ce que l’on peut faire.
Sébastien – D’accord, assez facilement. Sinon, moi je vous mettrai le lien en dessous de la vidéo, pour que vous puissiez cliquer dessus et aller voir.
René Lamielle – Là c’est quelque chose de fabuleux. Moi je pense que les personnes qui viennent visiter – au moment des portes ouvertes, nous avons beaucoup de monde – sont un peu étonnées de ce que l’on peut faire. Même les marrons glacés, je les surprends. Les marrons glacés, moi je veux un marron qui soit ferme mais qui ne soit pas pâteux, farineux comme on trouve bien souvent. Je vais à Marseille, à la maison Facor, maison Jean-Louis Corsiglia. Et là j’ai fait une fabrication. Il m’a demandé l’autorisation de copier ma recette – mais je ne touche pas de royalties – et d’appeler fabrication Lamielle. N’importe quel chocolatier en France, s’il veut le marron ferme, s’il ne veut pas un marron pâteux, farineux, demandez à la maison Facor, la maison Corsiglia à Marseille : « Je voudrais des marrons fabrication Lamielle. » Et je reprécise bien, je ne touche aucune royalties.
Sébastien – D’accord. Tu as été généreux là.
René Lamielle – Ça me fait plaisir. J’aime faire plaisir.
Sébastien – Ça vient du cœur. Te connaissant oui c’est sûr. Est-ce que tu aurais un dernier mot à dire sur ta chocolaterie, à nos internautes ?
René Lamielle – Alors moi je voudrais leur dire que le métier de chocolatier pour moi, est un métier absolument exceptionnel. Si des personnes sont vraiment intéressées par ce métier, de le faire, à tout âge – on va dire seize ans, vingt ans, même à vingt-cinq trente quarante ans – et de s’installer, et quand vous êtes un bon chocolatier, croyez-moi vous pouvez vous installer. Vous choisissez une ville où il n’y a pas un chocolatier très connu et là vous êtes assuré de réussir.
Sébastien – Super. Nous, on retrouvera René directement dans sa boutique, parce que ça m’intéresse d’aller voir tout ce qu’il fait et comment il le fait, etc. Mais bon, ce sera terminé pour aujourd’hui et on se retrouvera pour une prochaine vidéo. Merci René.
René Lamielle – C’est moi qui te remercie.
Sébastien – À très bientôt. Merci. Au revoir.