Sébastien – Qu’est-ce que toi tu penses aujourd’hui de toute la création qui se fait sur le beans-to-bar, ce qu’on appelle, ceux qui se font apprentis chocolatiers à partir de fèves de cacao ? Qu’est-ce que toi tu en penses de cette mouvance ?
Bruno Le Derf – Je trouve que c’est bien. À partir du moment où on parle du métier de chocolatier, on fait de la publicité. Maintenant il ne faut pas non plus noyer l’artisanat dans tout ça. Moi je ne me suis jamais caché. Je ne transforme pas la fève à l’heure d’aujourd’hui. Peut-être qu’un jour on le fera. Si on le fera ce sera une passion mais on ne pourra jamais transformer la fève à 100%. Il y aura toujours un intermédiaire. C’est très important. Alors maintenant oui. Il y a des gens qui s’accaparent un petit peu de cette petite niche dans le métier de chocolatier. Parce que pour beaucoup de personnes le chocolatier va dans la plantation.
Non. Je reviens toujours à la comparaison du boulanger. Un boulanger choisit sa farine, pour faire un bon pain. Le chocolatier c’est pareil. On va choisir nos masses de cacao, nos couvertures de chocolat. On a un intermédiaire. Alors oui, il y a des gens maintenant qui se prennent pour des apprentis chocolatier. Ils font de la couverture. Je vends ça. Oui. Maintenant ils n’auront jamais le métier derrière qui fait qu’ils vont faire de bons produits de base de chocolat. Maintenant le chocolat ne se limite pas à une tablette. Il y a tout un travail derrière qui a aussi besoin d’être fait et quand on dit chocolatier, la tablette c’est une chose mais il y a plein d’autres produits qui vont s’agrémenter au chocolat, - la confiserie – qui sont importants. Si on n’a pas les bases dans ce métier-là c’est un peu difficile de les apprendre.
Sébastien – Ok. Super. Bruno, est-ce que tu aurais un dernier mot à laisser à nos internautes ?
Bruno Le Derf – Le chocolat est une passion. Il faut que ça reste gourmand, et il faut toujours donner du plaisir. C’est le plus important. Le plaisir d’en déguster.
Sébastien – Voilà, le plaisir dans le chocolat ! Le plaisir ! En tout cas, merci Bruno.
Bruno Le Derf – Merci de cette interview.
Sébastien – On vous dit : « À une prochaine pour une autre vidéo ». À bientôt. Merci.
Bruno Le Derf – Au revoir.
Sébastien – Au revoir.
Bruno Le Derf – Je trouve que c’est bien. À partir du moment où on parle du métier de chocolatier, on fait de la publicité. Maintenant il ne faut pas non plus noyer l’artisanat dans tout ça. Moi je ne me suis jamais caché. Je ne transforme pas la fève à l’heure d’aujourd’hui. Peut-être qu’un jour on le fera. Si on le fera ce sera une passion mais on ne pourra jamais transformer la fève à 100%. Il y aura toujours un intermédiaire. C’est très important. Alors maintenant oui. Il y a des gens qui s’accaparent un petit peu de cette petite niche dans le métier de chocolatier. Parce que pour beaucoup de personnes le chocolatier va dans la plantation.
Non. Je reviens toujours à la comparaison du boulanger. Un boulanger choisit sa farine, pour faire un bon pain. Le chocolatier c’est pareil. On va choisir nos masses de cacao, nos couvertures de chocolat. On a un intermédiaire. Alors oui, il y a des gens maintenant qui se prennent pour des apprentis chocolatier. Ils font de la couverture. Je vends ça. Oui. Maintenant ils n’auront jamais le métier derrière qui fait qu’ils vont faire de bons produits de base de chocolat. Maintenant le chocolat ne se limite pas à une tablette. Il y a tout un travail derrière qui a aussi besoin d’être fait et quand on dit chocolatier, la tablette c’est une chose mais il y a plein d’autres produits qui vont s’agrémenter au chocolat, - la confiserie – qui sont importants. Si on n’a pas les bases dans ce métier-là c’est un peu difficile de les apprendre.
Sébastien – Ok. Super. Bruno, est-ce que tu aurais un dernier mot à laisser à nos internautes ?
Bruno Le Derf – Le chocolat est une passion. Il faut que ça reste gourmand, et il faut toujours donner du plaisir. C’est le plus important. Le plaisir d’en déguster.
Sébastien – Voilà, le plaisir dans le chocolat ! Le plaisir ! En tout cas, merci Bruno.
Bruno Le Derf – Merci de cette interview.
Sébastien – On vous dit : « À une prochaine pour une autre vidéo ». À bientôt. Merci.
Bruno Le Derf – Au revoir.
Sébastien – Au revoir.