1) Le cholestérol
Une étude publiée dans The Journal of Nutrition conseille que manger du chocolat noir aide à réduire les sources fiables de lipoprotéines de basse densité (LDL), également connue sous le nom de « mauvais cholestérol ». Le beurre de cacao que l’on trouve dans le chocolat noir contient de l’acide oléique qui permet d’augmenter les quantités de cholestérol HDL, qui est bon pour la santé.
2) Fonction cognitive
Les scientifiques de Harvard Medical School ont aussi suggéré que boire deux tasses de chocolat chaud par jour garde le cerveau en bonne santé et à réduire le déclin de la mémoire chez les personnes âgées. Les résultats d’une expérience de laboratoire publiée en 2014 ont démontré que les aliments riches en flavonoïdes, tel que le chocolat pouvait améliorer la fonction cérébrale grâce aux stimulants qu’il contient. Les flavonols augmentent l’afflux de sang dans l’hippocampe. Cette partie du cerveau est associée aux capacités de mémorisation. Manger du chocolat noir riche en ces antioxydants permettrait donc de bien maintenir notre mémoire.
3) Maladie cardiaque
Dans une étude portant sur 44 489 personnes, les scientifiques canadiens ont découvert aussi que les personnes qui mangeaient une portion de chocolat étaient 22 % moins susceptibles de subir un AVC que celles qui n’en mangeaient pas. Une autre étude, publiée dans la revue Heart en 2015, a permis de suivre l’impact de l’alimentation sur la santé à long terme de 25 000 hommes et femmes.
Les résultats de cette étude conseillent que manger jusqu’à 100 grammes (g) de chocolat par jour peut être lié à un risque moins élevé de maladie cardiaque et d’accident vasculaire cérébral. Grâce aux flavonoïdes, le chocolat rabaisse les risques d’accidents vasculaires cérébraux (AVC) et de maladies coronariennes.
Les résultats de cette étude conseillent que manger jusqu’à 100 grammes (g) de chocolat par jour peut être lié à un risque moins élevé de maladie cardiaque et d’accident vasculaire cérébral. Grâce aux flavonoïdes, le chocolat rabaisse les risques d’accidents vasculaires cérébraux (AVC) et de maladies coronariennes.