La découverte a des implications pour le renforcement des arbres à longue durée de vie
Les chercheurs ont utilisé une méthode d’identification des gènes de résistance qui pourrait être largement utilisée, selon le chef de l’équipe, Mark Guiltinan, biologiste moléculaire des plantes à Penn State. Il croit que la stratégie représente un pas en avant majeur dans la quête pour développer une résistance aux maladies dans les plantes de longue génération comme les arbres.
L’étude était axée sur l’arbre tropical Theobroma cacao, la source du chocolat. Ses graines sont une exportation majeure de nombreux pays producteurs d’Amérique centrale et d’Amérique du Sud, d’Afrique et d’Asie mais chaque année, 30 % à 40 % du rendement avant récolte sont perdus en raison de maladies.
Les chercheurs ont aussi collecté des feuilles d’arbres de quatre autres génotypes que ce groupe génétique : scavine 6, connue pour sa tolérance aux maladies à large spectre ; impérial collège sélection, un hybride trinitaire très sensible aux maladies ; CATIE R4 et R6, deux génotypes hybrides. Ces dernières ont été récemment développées. Elles ont une forte tolérance à la maladie fongique Moniliophthora roreri mais assez sensibles à la pourriture ses gousses de phytophthora.
Durant la période d’échantillonnage de neuf mois, les scientifiques ont testé 1250 feuilles de cacao avec l’agent pathogène Phytophthora palmivora puis examiné et mesuré les lésions trouvées pour déterminer la résistance aux maladies. Ils ont repéré 16 génotypes ayant la plus forte résistance et 16 autres qu’ils ont estimés sensibles. Ils ont ensuite séquencé en profondeur les génomes de certaines de ces plantes pour voir la différence.
L’étude était axée sur l’arbre tropical Theobroma cacao, la source du chocolat. Ses graines sont une exportation majeure de nombreux pays producteurs d’Amérique centrale et d’Amérique du Sud, d’Afrique et d’Asie mais chaque année, 30 % à 40 % du rendement avant récolte sont perdus en raison de maladies.
Les chercheurs ont aussi collecté des feuilles d’arbres de quatre autres génotypes que ce groupe génétique : scavine 6, connue pour sa tolérance aux maladies à large spectre ; impérial collège sélection, un hybride trinitaire très sensible aux maladies ; CATIE R4 et R6, deux génotypes hybrides. Ces dernières ont été récemment développées. Elles ont une forte tolérance à la maladie fongique Moniliophthora roreri mais assez sensibles à la pourriture ses gousses de phytophthora.
Durant la période d’échantillonnage de neuf mois, les scientifiques ont testé 1250 feuilles de cacao avec l’agent pathogène Phytophthora palmivora puis examiné et mesuré les lésions trouvées pour déterminer la résistance aux maladies. Ils ont repéré 16 génotypes ayant la plus forte résistance et 16 autres qu’ils ont estimés sensibles. Ils ont ensuite séquencé en profondeur les génomes de certaines de ces plantes pour voir la différence.
Le fruit tant attendu des différentes expériences :
Une grande partie de la recherche, publiée dans Tree Genetis & Genomes, a été apportée à la faculté des sciences de la vie de Penn State et au Penn State Hershey Médical center par séquençage du génome. Les conséquences de cette recherche s’étendent au-delà, du cacao a affirmé, Guiltinan. Il a expliqué que cette découverte pourrait contribuer à l’amélioration de la sécurité alimentaire et économique mondiale. Il a dit aussi que les pertes de récoltes dues aux maladies microbiennes de la plante sont un obstacle majeur à l’augmentation de la production alimentaire. Cela détruit 15 % de la production agricole mondiale annuelle. Il soutient que les progrès dans la science et la lutte contre les maladies des plantes sont nécessaires pour réduire ces pertes et la découverte des gènes de résistance délivrera l’avantage de la diversité génétique pour la sélection des plantes tolérantes du futur.