Madécasse, le chocolat de Madagascar



L’île de Madagascar, c’est presque 600 000km² au large de l’Afrique. Mais pour Madécasse, c’est beaucoup plus. Les chocolatiers sont tombés amoureux du pays et ont créé un programme équitable spécialement conçu pour l’île.



La passion d’un pays, un projet équitable

Les tablette de chocolat de Madécasse©
A l’origine de Madécasse, il y a une histoire d’amour. Celle de volontaires pour Peace Corps à Madagascar (agence indépendante du gouvernement américain prônant l’aide envers les pays du tiers monde) avec un pays et sa culture. Le résultat ? Le début d'une collaboration avec une chocolaterie locale en 2008. Car si 70% du cacao pousse en Afrique, seulement 1% est transformé sur place. Et bien que la marque fût obligée d’exporter une partie de sa production aux Etats-Unis, son travail auprès des agriculteurs locaux n’est pas près de s’arrêter. Au-delà d’une démarche équitable, Madécasse ce sont de délicieuses plaquettes de chocolat. Au sel marin, à la noix de coco grillée, aux épices de noël ou encore à l’orange et aux cranberries. Il y en a pour tous les goûts ! Même pour les amateurs de chocolats plus classique avec des tablettes à 70 ou 80 % de cacao. Et pour les petits creux d’adorables petits disques de chocolat sont proposés, idéals pour le café…

Des hommes aux plantes, une action bénéfique pour tous

Chocolat 70% de cacao par Madécasse©
Aujourd’hui plus de 90% du chocolat produit par Madécasse est transformé du début à la fin à Madagascar. Pendant des siècles l’Afrique a dépendu de l’importation des matières premières comme le sucre, le café, le cacao… Et tout cela en se faisant peu ou aucune marge dans le transfert. Les chocolatiers ont décidé de changer la balance en offrant des salaires plus élevés et des formations pour les agriculteurs locaux. En implantant toutes les étapes de leur production à Madagascar, 200 personnes ont été positivement influencées. L’île de Madagascar possède une flore et une faune toute particulière de par son isolement du continent africain. Comme, par exemple, 80 espèces de lémuriens ou encore 1000 sortes d’orchidées différentes. L’agriculture du cacao à Madagascar, au-delà d’une source de revenu, c’est 250 acres de forêt. En préservant l’agriculture locale, ce n’est donc pas seulement les agriculteurs que Madécasse protège mais tout l’écosystème.

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