Un duo fort en chocolat… Première victoire en Class40 pour Jorg Riechers qui le clamait à Saint-Nazaire: «Nous y allons pour gagner». Promesse tenue. Plus rapide et mieux placé que ses concurrents tout au long de la course, Mare a fait la différence au passage du Cap Finistère, choisissant une route Nord et prenant une avance qu’ils ne perdront quasiment jamais. Là encore, Jorg avait vu juste: «La gestion du Cap Finistère sera importante et sans doute décisive. Jorg et Marc ont ensuite contrôlé la flotte, accéléré sans cesse, reculé parfois mais toujours pour mieux repartir. Panache et audace, tels ont été les maîtres mots d’une victoire qui fait entrer ces deux-là dans la mare des grands
Jorg et Marc, accueillis en héros à Progreso, sur le môle du Chocolat, par plusieurs milliers de personnes, livrent leurs premières impressions:
Jorg Riechers: « La victoire s’est construite dès la conception du bateau. Nous savions que le bateau allait vite, et j’ai choisi de faire la course avec Marc car j’étais persuadé que nous allions former un bon équipage. Ce qui nous a permis de gagner, c’est notre capacité à allier la stratégie et notre bateau extrêmement rapide. C’était une combinaison vraiment gagnante.
Marc Lepesqueux : « C’est une grosse satisfaction d’être là, c’est vraiment une libération car il y avait une grosse pression sur cette course tout du long. Je suis heureux d’être arrivé au Mexique, de pouvoir boire des bières et vivre un peu ! C’est grandiose, vraiment grandiose, l’accueil est très chaleureux. On n’a jamais lâché, il y a toujours eu un groupe devant, et jamais plus de 90 milles d’écart entre le groupe de tête des quatre. Je crois que sur une transat aussi longue il y a rarement eu autant d’intensité. On a eu beaucoup de pression parce qu’on n’a jamais vraiment réussi à faire le trou. On a eu des opportunités mais qui se sont toujours fermées. Il fallait supporter la pression ! C’était super d’être avec Jorg et de naviguer avec lui, même si nous avions très peu navigué ensemble avant. »
Jorg et Marc, accueillis en héros à Progreso, sur le môle du Chocolat, par plusieurs milliers de personnes, livrent leurs premières impressions:
Jorg Riechers: « La victoire s’est construite dès la conception du bateau. Nous savions que le bateau allait vite, et j’ai choisi de faire la course avec Marc car j’étais persuadé que nous allions former un bon équipage. Ce qui nous a permis de gagner, c’est notre capacité à allier la stratégie et notre bateau extrêmement rapide. C’était une combinaison vraiment gagnante.
Marc Lepesqueux : « C’est une grosse satisfaction d’être là, c’est vraiment une libération car il y avait une grosse pression sur cette course tout du long. Je suis heureux d’être arrivé au Mexique, de pouvoir boire des bières et vivre un peu ! C’est grandiose, vraiment grandiose, l’accueil est très chaleureux. On n’a jamais lâché, il y a toujours eu un groupe devant, et jamais plus de 90 milles d’écart entre le groupe de tête des quatre. Je crois que sur une transat aussi longue il y a rarement eu autant d’intensité. On a eu beaucoup de pression parce qu’on n’a jamais vraiment réussi à faire le trou. On a eu des opportunités mais qui se sont toujours fermées. Il fallait supporter la pression ! C’était super d’être avec Jorg et de naviguer avec lui, même si nous avions très peu navigué ensemble avant. »
A propos de l’équipage…
Jörg et Marc se sont rencontrés à l'arrivée de la Route du Rhum 2010 qu'ils ont courue tous les deux en Class40. Ils n'avaient jamais été associés sur une course avant cette Solidaire du Chocolat
Jorg Riechers, 43 ans, allemand, vit à Hamburg (Allemagne) :6è Route du Rhum 2010 en Class40 après un palmarès consistant en Mini 6.50. Marc Lepesqueux, 44 ans, vit à Siouville-Hague (Manche) : sept Solitaire du Figaro, 12è Route du Rhum 2010, Solidaire du Chocolat 2009 (abandon).
Jörg et Marc se sont rencontrés à l'arrivée de la Route du Rhum 2010 qu'ils ont courue tous les deux en Class40. Ils n'avaient jamais été associés sur une course avant cette Solidaire du Chocolat
Jorg Riechers, 43 ans, allemand, vit à Hamburg (Allemagne) :6è Route du Rhum 2010 en Class40 après un palmarès consistant en Mini 6.50. Marc Lepesqueux, 44 ans, vit à Siouville-Hague (Manche) : sept Solitaire du Figaro, 12è Route du Rhum 2010, Solidaire du Chocolat 2009 (abandon).
A propos du bateau
Mare est un Mach40, dernier né de la Class40, sistership de Jack in the Box, dessiné par Samuel Manuard, construit par JPS Production, mis à l'eau en janvier 2012.
Mare est un Mach40, dernier né de la Class40, sistership de Jack in the Box, dessiné par Samuel Manuard, construit par JPS Production, mis à l'eau en janvier 2012.
A propos de la course
Mare a mené toute la course en tête. Après s'être installé aux commandes dès le lendemain du départ, il a maintenu son avance à la sortie du Cap Finistère et s'est calé au-dessus de la flotte. Le 15 mars, alors que le vent fait défaut, Mare cède son leadership quelques heures pour aller se recaler nettement au nord. La flotte se scinde en deux. Puis le bateau allemand à la faveur de ce petit décalage, redémarre avant tous les autres et notamment les sudistes, qui peinent à s'extraire du marais. Le 17 mars, il passe les Açores en tête. Il n'a cédé à nouveau son leadership que quelques heures pour opérer un nouveau petit décalage au nord et depuis le 21 mars, Mare n'a plus jamais lâché les commandes de la flotte qu'il a su contrôler parfaitement malgré la partie de chasse qui s'était engagée dans son sillage.
Mare a mené toute la course en tête. Après s'être installé aux commandes dès le lendemain du départ, il a maintenu son avance à la sortie du Cap Finistère et s'est calé au-dessus de la flotte. Le 15 mars, alors que le vent fait défaut, Mare cède son leadership quelques heures pour aller se recaler nettement au nord. La flotte se scinde en deux. Puis le bateau allemand à la faveur de ce petit décalage, redémarre avant tous les autres et notamment les sudistes, qui peinent à s'extraire du marais. Le 17 mars, il passe les Açores en tête. Il n'a cédé à nouveau son leadership que quelques heures pour opérer un nouveau petit décalage au nord et depuis le 21 mars, Mare n'a plus jamais lâché les commandes de la flotte qu'il a su contrôler parfaitement malgré la partie de chasse qui s'était engagée dans son sillage.