Adrien - Je n’ai pas peur des chocolats avec des pourcentages de cacao qui sont très élevés, ce n’est pas le goût de tout le monde, mais en tout cas, c’est mon goût.
Sébastien - Bonjour, ici, Sébastien du site internet Chococlic.com. Alors, aujourd’hui, je suis avec Adrien de Metizo. Salut Adrien !
Adrien - Bonjour.
Sébastien - Alors, moi Adrien ,je voudrais savoir, un petit peu c’est quoi, ta marque, pourquoi toi, tu t’es mis dans le chocolat et ton parcours quoi.
Adrien - Absolument, en fait, moi, je suis passionné du chocolat depuis toujours et en fait, quand j’ai rencontré Avril dans la famille et cultivateur de cacao en République Dominicaine depuis plus de 70 ans, ça était vraiment le déclic. On a décidé de remettre au bout du jour, la ferme de son grand-père à Arberito Guerrero qui est situé à Tomayo dans une région du nord-ouest de la République Dominicaine et en même temps de pouvoir, tout en améliorant les quotidiens des gens de la région. Faire aussi un projet de transformation à Paris, aux portes de Paris, à Montreuil, dans un petit atelier de bean to bar ; puisqu’on est aussi passionné par tout cet élan porté par des jeunes comme nous qui sont un peu en quête de sens, de relocalisation des savoir-faire artisanaux au cœur de la ville et notamment, dans une ville dynamique comme Paris dans laquelle on peut s’affranchir des codes, valoriser son travail et porter des projets un peu innovants.
Sébastien - Donc, en fait, vous êtes deux, c’est ça ?
Adrien - Alors, on est un petit peu plus nombreux que ça puisqu’en fait, les gens qui suivent le développement du projet en République Dominicaine, c’est déjà une famille de 4 personnes qui est sur la ferme à Tomayan, qui y vit et aussi, on appuie avec la famille d’Avril, donc, Julia et le papa d’Avril qui est ingénieur agronome et qui travaille notamment avec le gouvernement dominicain, qui sont présents au quotidien et nous, on fait des aller-retour régulièrement pour aller travailler avec eux sur les projets et notamment sur la plantation, puisqu’on a fait un gros travail sur une plantation parcellaire : on va bien identifier les différentes variétés, un petit peu comme ce qu’on fait dans ?02:05 aujourd’hui. Ensuite à Paris, pour l’instant on est deux effectivement, dans un lieu, entre guillemets, on est incubé par une entreprise qui s’appelle La Winerie Parisienne et qui produit du vin en milieu urbain et qui nous a fait une petite place dans un grand atelier à Montreuil, dans lequel on produit notre chocolat bean to bar.
Sébastien - Ok, donc là, c’est vraiment, en naissance depuis combien de temps.
Adrien - Alors, le projet agricole, ça fait un peu plus de 2 ans qu’on travaille dessus, puisqu’il y a 3 ans, en fait, j’étais venu au Salon du Chocolat, justement pour prendre plein de renseignements, rencontrer des gens très inspirants. Et puis, la partie transformation ,on la lance officiellement le 02 décembre dans une grande journée porte ouverte où on va proposer des cours de bean to bar gratuit aux gens pour découvrir la marque, découvrir la façon dont on a aussi décidé de parler du chocolat qui est assez ludique et qui met en valeur la richesse de la République Dominicaine et de la France, je vais vous montrer juste un petit truc. Voilà donc, l’idée c’est de mettre un petit peu en avant la diversité des gens avec qui on travaille et la diversité en République Dominicaine et en France avec cette marque qui est vraiment à la fois intéressante sur le plan technique et sur le travail qu’on a fait en République Dominicaine et intéressante aussi sur le langage et l’ouverture vers les autres avec le travail d’Amandine Delaunay qui est une illustratrice, une artiste qui a tout réalisé à la main.
Sébastien – Ok, et donc, le déclic a été fait quand t’es venu au Salon du Chocolat ou avant le Salon du Chocolat.
Adrien - Alors , moi, j’étais assez admiratif, en fait, du travail des gens, comme Mast Brothers, des chocolatiers qui avaient ramené le savoir-faire artisanal dans les rues de Brooklyn à l’époque de société comme Marou que je trouvais hyper intéressant à la fois sur le plan du développement sur le territoire ; en même temps, du positionnement technique, de la qualité du chocolat et de la façon de parler aux gens d’une histoire qui est à la fois, une histoire de chocolatier, mais aussi une histoire d’humain aux quatre coins du monde, je trouve ça super intéressant et du coup, ce sont toutes ces expériences qui ont vraiment été un déclic, mais aussi les jeunes qui ont décidé de produire des choses. Ca ne va pas forcément toujours un rapport avec leur parcours, leur vie antérieure, mais simplement faire des choses qui ont du sens et s’éclater dans ce boulot.
Sébastien – Alors justement, des choses qui ont du sens c’est quoi la vision de Metizo.
Adrien - D’abord sur place, en République Dominicaine, c’est un site qui est respectueux de l’environnement avec un gros travail sur le retraitement des déchets et une conversion de l’agriculture biologique qui encoure et ici, sur place, évidemment, porter les mêmes valeurs : l’environnement c’est une notion qui est complètement transversale dans tous les métiers aujourd’hui, ce n’est plus ni une posture ni un positionnement, donc, c’est l’idée de travailler aussi en écosystème, là on a un producteur des ventes avec nous à Montreuil, donc, le fait d’avoir des associations de compétences, d’idées, de talents qui sont partagés et qui permettent de phosphorer et de porter des petites entreprises, des PME vers le haut avec de la débrouillardise et du talent.
Sébastien – Alors justement, quels sont vos rêves sur Metizo, sur l’avenir, sur ce que vous voulez vraiment produire ou faire dans les prochaines années ?
Adrien - Alors, déjà le rêve, enfin je dirai l’objectif, c’est de pérenniser la ferme, de la rendre complètement viable puisqu’évidemment replanter une ferme qui fait un peu plus de 100ha de cacao, c’est d’abord un long travail d’investissement, donc c’est de pérenniser cette partie-là, ensuite, bien travailler sur la qualité de nos chocolats et des cours qu’on va donner pour que les gens vivent des expériences intéressantes à Paris, pour là aussi, pérenniser l’entreprise à Paris. Et puis ensuite la développer peut être à un moment donné, pouvoir aller dans d’autres régions, trouver d’autres partenariats qui ne viendraient pas simplement de nos fèves de cacao à nous. Et développer, enfin et vendre notre savoir-faire aussi pourquoi pas à l’étranger, en exporter et se faire connaître.
Sébastien – Ok, super ! Et toi alors, toi dans tout ça, quel est le chocolat que tu préfères, est-ce que t’es plutôt noir, lait ou…
Adrien - Alors moi, j’ai des goûts assez particuliers. Je fais souvent l’analogie avec le vin, mais j’aime bien les vins qui sont très tanniques et pour le chocolat c’est la même chose, je n’ai pas peur des chocolats avec des pourcentages de cacao qui sont très élevés, ce n’est pas le goût de tout le monde, mais en tout cas, c’est mon goût. Et il n’y aura pas que ça dans Metizo puisque le but ce n’est pas simplement de se faire plaisir à soi, mais en tout cas, moi j’aime le chocolat très fort.
Sébastien – Quel est le chocolat que tu emmènerais si tu étais sur une île déserte ?
Adrien - Alors, si je devais emmener un chocolat sur une île déserte et que j’étais amené à être seul, j’amènerai forcément une tablette de Metizo puisque comme ça, ça me permettrait de penser à Avril, ma campagne avec qui je développe cette aventure depuis le début, depuis 3 ans donc je me sentirais moins seul.
Sébastien – Ok, super ! Et est que t’aurais un dernier mot à dire à ceux qui regardent la vidéo aujourd’hui.
Adrien - Et ben, écoutez, je pense que le but quand on fait des projets comme ça, c’est aussi de les partager avec ses partenaires, avec les gens de la filière avec qui on travaille et aussi avec des gens qui ont la gentillesse de mettre ses efforts en avant donc, merci de suivre et merci de réagir aussi et de dire ce que vous en penser, d’aller jeter un œil sur le site Metizo.paris et sur les réseaux sociaux évidemment et on sera ravi de vous accueillir à Montreuil chez nous.
Sébastien – Super, alors vous avez raison, il a dit un super pouce sur la vidéo, moi je vous dis à très bientôt, abonnez-vous à la chaîne youtube sur le petit bouton et moi, je vous dis pour une prochaine vidéo, bye bye, tchao.
Sébastien - Bonjour, ici, Sébastien du site internet Chococlic.com. Alors, aujourd’hui, je suis avec Adrien de Metizo. Salut Adrien !
Adrien - Bonjour.
Sébastien - Alors, moi Adrien ,je voudrais savoir, un petit peu c’est quoi, ta marque, pourquoi toi, tu t’es mis dans le chocolat et ton parcours quoi.
Adrien - Absolument, en fait, moi, je suis passionné du chocolat depuis toujours et en fait, quand j’ai rencontré Avril dans la famille et cultivateur de cacao en République Dominicaine depuis plus de 70 ans, ça était vraiment le déclic. On a décidé de remettre au bout du jour, la ferme de son grand-père à Arberito Guerrero qui est situé à Tomayo dans une région du nord-ouest de la République Dominicaine et en même temps de pouvoir, tout en améliorant les quotidiens des gens de la région. Faire aussi un projet de transformation à Paris, aux portes de Paris, à Montreuil, dans un petit atelier de bean to bar ; puisqu’on est aussi passionné par tout cet élan porté par des jeunes comme nous qui sont un peu en quête de sens, de relocalisation des savoir-faire artisanaux au cœur de la ville et notamment, dans une ville dynamique comme Paris dans laquelle on peut s’affranchir des codes, valoriser son travail et porter des projets un peu innovants.
Sébastien - Donc, en fait, vous êtes deux, c’est ça ?
Adrien - Alors, on est un petit peu plus nombreux que ça puisqu’en fait, les gens qui suivent le développement du projet en République Dominicaine, c’est déjà une famille de 4 personnes qui est sur la ferme à Tomayan, qui y vit et aussi, on appuie avec la famille d’Avril, donc, Julia et le papa d’Avril qui est ingénieur agronome et qui travaille notamment avec le gouvernement dominicain, qui sont présents au quotidien et nous, on fait des aller-retour régulièrement pour aller travailler avec eux sur les projets et notamment sur la plantation, puisqu’on a fait un gros travail sur une plantation parcellaire : on va bien identifier les différentes variétés, un petit peu comme ce qu’on fait dans ?02:05 aujourd’hui. Ensuite à Paris, pour l’instant on est deux effectivement, dans un lieu, entre guillemets, on est incubé par une entreprise qui s’appelle La Winerie Parisienne et qui produit du vin en milieu urbain et qui nous a fait une petite place dans un grand atelier à Montreuil, dans lequel on produit notre chocolat bean to bar.
Sébastien - Ok, donc là, c’est vraiment, en naissance depuis combien de temps.
Adrien - Alors, le projet agricole, ça fait un peu plus de 2 ans qu’on travaille dessus, puisqu’il y a 3 ans, en fait, j’étais venu au Salon du Chocolat, justement pour prendre plein de renseignements, rencontrer des gens très inspirants. Et puis, la partie transformation ,on la lance officiellement le 02 décembre dans une grande journée porte ouverte où on va proposer des cours de bean to bar gratuit aux gens pour découvrir la marque, découvrir la façon dont on a aussi décidé de parler du chocolat qui est assez ludique et qui met en valeur la richesse de la République Dominicaine et de la France, je vais vous montrer juste un petit truc. Voilà donc, l’idée c’est de mettre un petit peu en avant la diversité des gens avec qui on travaille et la diversité en République Dominicaine et en France avec cette marque qui est vraiment à la fois intéressante sur le plan technique et sur le travail qu’on a fait en République Dominicaine et intéressante aussi sur le langage et l’ouverture vers les autres avec le travail d’Amandine Delaunay qui est une illustratrice, une artiste qui a tout réalisé à la main.
Sébastien – Ok, et donc, le déclic a été fait quand t’es venu au Salon du Chocolat ou avant le Salon du Chocolat.
Adrien - Alors , moi, j’étais assez admiratif, en fait, du travail des gens, comme Mast Brothers, des chocolatiers qui avaient ramené le savoir-faire artisanal dans les rues de Brooklyn à l’époque de société comme Marou que je trouvais hyper intéressant à la fois sur le plan du développement sur le territoire ; en même temps, du positionnement technique, de la qualité du chocolat et de la façon de parler aux gens d’une histoire qui est à la fois, une histoire de chocolatier, mais aussi une histoire d’humain aux quatre coins du monde, je trouve ça super intéressant et du coup, ce sont toutes ces expériences qui ont vraiment été un déclic, mais aussi les jeunes qui ont décidé de produire des choses. Ca ne va pas forcément toujours un rapport avec leur parcours, leur vie antérieure, mais simplement faire des choses qui ont du sens et s’éclater dans ce boulot.
Sébastien – Alors justement, des choses qui ont du sens c’est quoi la vision de Metizo.
Adrien - D’abord sur place, en République Dominicaine, c’est un site qui est respectueux de l’environnement avec un gros travail sur le retraitement des déchets et une conversion de l’agriculture biologique qui encoure et ici, sur place, évidemment, porter les mêmes valeurs : l’environnement c’est une notion qui est complètement transversale dans tous les métiers aujourd’hui, ce n’est plus ni une posture ni un positionnement, donc, c’est l’idée de travailler aussi en écosystème, là on a un producteur des ventes avec nous à Montreuil, donc, le fait d’avoir des associations de compétences, d’idées, de talents qui sont partagés et qui permettent de phosphorer et de porter des petites entreprises, des PME vers le haut avec de la débrouillardise et du talent.
Sébastien – Alors justement, quels sont vos rêves sur Metizo, sur l’avenir, sur ce que vous voulez vraiment produire ou faire dans les prochaines années ?
Adrien - Alors, déjà le rêve, enfin je dirai l’objectif, c’est de pérenniser la ferme, de la rendre complètement viable puisqu’évidemment replanter une ferme qui fait un peu plus de 100ha de cacao, c’est d’abord un long travail d’investissement, donc c’est de pérenniser cette partie-là, ensuite, bien travailler sur la qualité de nos chocolats et des cours qu’on va donner pour que les gens vivent des expériences intéressantes à Paris, pour là aussi, pérenniser l’entreprise à Paris. Et puis ensuite la développer peut être à un moment donné, pouvoir aller dans d’autres régions, trouver d’autres partenariats qui ne viendraient pas simplement de nos fèves de cacao à nous. Et développer, enfin et vendre notre savoir-faire aussi pourquoi pas à l’étranger, en exporter et se faire connaître.
Sébastien – Ok, super ! Et toi alors, toi dans tout ça, quel est le chocolat que tu préfères, est-ce que t’es plutôt noir, lait ou…
Adrien - Alors moi, j’ai des goûts assez particuliers. Je fais souvent l’analogie avec le vin, mais j’aime bien les vins qui sont très tanniques et pour le chocolat c’est la même chose, je n’ai pas peur des chocolats avec des pourcentages de cacao qui sont très élevés, ce n’est pas le goût de tout le monde, mais en tout cas, c’est mon goût. Et il n’y aura pas que ça dans Metizo puisque le but ce n’est pas simplement de se faire plaisir à soi, mais en tout cas, moi j’aime le chocolat très fort.
Sébastien – Quel est le chocolat que tu emmènerais si tu étais sur une île déserte ?
Adrien - Alors, si je devais emmener un chocolat sur une île déserte et que j’étais amené à être seul, j’amènerai forcément une tablette de Metizo puisque comme ça, ça me permettrait de penser à Avril, ma campagne avec qui je développe cette aventure depuis le début, depuis 3 ans donc je me sentirais moins seul.
Sébastien – Ok, super ! Et est que t’aurais un dernier mot à dire à ceux qui regardent la vidéo aujourd’hui.
Adrien - Et ben, écoutez, je pense que le but quand on fait des projets comme ça, c’est aussi de les partager avec ses partenaires, avec les gens de la filière avec qui on travaille et aussi avec des gens qui ont la gentillesse de mettre ses efforts en avant donc, merci de suivre et merci de réagir aussi et de dire ce que vous en penser, d’aller jeter un œil sur le site Metizo.paris et sur les réseaux sociaux évidemment et on sera ravi de vous accueillir à Montreuil chez nous.
Sébastien – Super, alors vous avez raison, il a dit un super pouce sur la vidéo, moi je vous dis à très bientôt, abonnez-vous à la chaîne youtube sur le petit bouton et moi, je vous dis pour une prochaine vidéo, bye bye, tchao.
Adrien et Sébastien©ChocoClic.com