© Jean Paul Hévin
Si l'on en croit les puristes, ici intransigeants, la vraie bûche de Noël se doit d'être confectionnée non pas à base de génoise, mais de pâte de marrons roulée.
Ce qui, diététiquement, n'est pas du tout raisonnable. Symbole d'une célébration jadis druidique, et livrée à toutes les interprétations gourmandes depuis sa création pâtissière en 1834 à Paris, la bûche de Noël contemporaine nourrit désormais ses saveurs et textures de référence d'audaces savamment dosées et suavement destructurées. Si la bûche glacée aux marrons est chez Jean-Paul Hévin un néoclassique hautement plébiscité, la bûche de Noël 2004 enroule ses goûts et alliances de goûts allégés par l'air du temps.
Ce qui, diététiquement, n'est pas du tout raisonnable. Symbole d'une célébration jadis druidique, et livrée à toutes les interprétations gourmandes depuis sa création pâtissière en 1834 à Paris, la bûche de Noël contemporaine nourrit désormais ses saveurs et textures de référence d'audaces savamment dosées et suavement destructurées. Si la bûche glacée aux marrons est chez Jean-Paul Hévin un néoclassique hautement plébiscité, la bûche de Noël 2004 enroule ses goûts et alliances de goûts allégés par l'air du temps.
Des bûches et des bulles: le cru Hévin O4 mousse sur le thème ludique du cercle, du rond et de la boule. Entre pop vintage, rétro-futurisme et tendances déco-mode ultragraphiques, Jean-Paul Hévin attise en douceur et en trois savoureux exercices impeccablement dessinés, les grands classiques du genre.
Composée d'une mousse chocolat amer sur biscuit cacao et ponctuée de boules de chocolat
noir décorées à la feuille d'or, la bûche Georges pose sur les racines historiques du chocolat des accents japonisants délectablement zen. Alors que la Brésilienne au décor fleuri à la Warhol s'étire voluptueusement sur un biscuit indécemment croustillant couvert de mousse chocolat noir, d'un biscuit dacquoise et d'un crémeux au café résolument exotiques, l'Insouciance se déguste en tout amusement régressif, son moussant chocolat au lait et goût Carambar venant chahuter les marrons confits et le crémeux à la vanille.
Composée d'une mousse chocolat amer sur biscuit cacao et ponctuée de boules de chocolat
noir décorées à la feuille d'or, la bûche Georges pose sur les racines historiques du chocolat des accents japonisants délectablement zen. Alors que la Brésilienne au décor fleuri à la Warhol s'étire voluptueusement sur un biscuit indécemment croustillant couvert de mousse chocolat noir, d'un biscuit dacquoise et d'un crémeux au café résolument exotiques, l'Insouciance se déguste en tout amusement régressif, son moussant chocolat au lait et goût Carambar venant chahuter les marrons confits et le crémeux à la vanille.
C'est animé du même esprit arty-graphique et volontiers iconoclaste que pour ses Compressions Pascales qui mirent Pâques au carré que Jean-Paul Hévin s'est amusé à décomposer le décor traditionnel du sapin. Cette saison, celui-ci sera seulement habillé de boules et demi-boules au chocolat noir, chocolat lait et chocolat blanc, pleines et aériennes, de toutes tailles et tous décors. Signé, siglé, cinétique et pop chic, ce sapin se mange des yeux avant de tenter le diable en centre de table.
Taille unique pour 4/6 pers : 46,00 € les 320 g
Taille unique pour 4/6 pers : 46,00 € les 320 g