Sébastien – Bonjour, ici Sébastien du site internet chococlic.com. Je suis avec Rasmus de Oialla. C’est exact ?
Rasmus - C’est exact. C’est pas évident de dire ça. Oialla, c’est un nom… mon nom de famille, c’est Bojesen. Et pour moi, c’est trop dur, parce qu’on a un chocolat qui est très rond et très féminin et très élégant. C’est pour ça que moi j’ai trouvé ce nom Oialla, c’est un nom de fille à Bolivie où j’ai trouvé des fèves.
Sébastien – Alors Rasmus, est-ce que toi tu peux te présenter, qui tu es et comment tu es venu à faire du chocolat.
Rasmus - C’est une longue histoire ! Je m’appelle Rasmus Bojesen. J’ai 60 ans et j’ai toujours, dans ma vie, travaillé dans la cuisine. Je suis cuisinier et j’ai deux grandes choses qui comptent pour moi : c’est des femmes et des chocolats. Et j’ai une femme fantastique ! Et comme ça dans la vie, il faut que tu fais ce que tu rêves et ça fait maintenant 7 ans que je fais Oialla. Et je suis restaurateur au Danemark ; et au Danemark, on travaille beaucoup plus qu’ici en France avec les bios et je ne peux pas trouver des choco bio avec les trois choses qui comptent pour moi, c’est goût, goût et goût. Et j’ai dit tiens, il faut que moi, je le fasse moi-même et comme ça moi je suis… travaille… avec comment je peux découvrir, de trouver des fèves bio où ils y avaient goût, goût et goût. Et à la fin, où les frontières Brasil et Bolivie se trouvaient des fèves sauvages. Et sauvage, c'est-à-dire que ce n’était jamais touché ; sauvage, ça veut dire sauvage, ce n’est pas de dire à toi « c’est super sauvage, vendredi soir », non, c’est sauvage. Et je travaille avec eux là bas dans la forêt, de faire la récolte et le séchage, monter les fèves au Danemark et faire le chocolat. Et faire ça pour mes restaurants. Et là, il y avait un vieux copain qui est passé, qui est un moyen chef à New York, il est français aussi, il s’appelle Daniel Bollut et il est passé et il a dit : Rasmus, moi je veux ces chocolats dans mes restaurants. C’est un restaurant de 3 étoiles à New York et j’ai dit, mais Daniel, c’est par pour vendre et il m’a dit, moi, je le veux. Et ça fait maintenant 5 ans et maintenant, je suis ici. Et c'est-à-dire que je fais un chocolat où c’est toujours goût, goût et goût. C’est très simple, il y a 4 chocolats : il y a un chocolat au lait, une 92 et une 100% et c’est ça.
Sébastien – Et par rapport à ça, qu’est-ce qui a fait que tu as eu le déclic de passer au chocolat ?
Rasmus - Ce n’est pas un clic qui… où je suis devenu au chocolat, parce que moi, je suis toujours resté avec une main dans la cuisine salée et avec l’autre main que le chocolat. Et ça, c’était 92 à Roanne, il y avait un chef pâtissier. Moi, j’ai toujours demandé : Comment on fait du chocolat et il m’a dit : « ta gueule toi danois, il faut que tu ailles à l’ Avenue Roosevelt à Lyon ». Et je suis parti chez Bernachon et là, j’ai appris à faire du chocolat.
Sébastien – Belle aventure ça alors.
Rasmus - Oui, ça va, et maintenant je suis ici avec mon chocolat.
Sébastien – Et qu’est ce que toi, tu recherches pour ton chocolat, pour l’avenir ?
Rasmus - Les trois choses, goût, goût et goût, mais en dessus, c’est bien sur, c’est bio, qui en fait quelque chose, qui est « tu est-ce que tu manges ». Et ça, c’est une façon de montrer ça ici, parce qu’ici, vous n’avez…au Danemark, on est plus loin avec notre manière de voir les bios et en vivre plus de ça que vous ici en France.
Sébastien – Et donc, par rapport à ça, ta vision du chocolat,en tout cas, tes valeurs, c’est vraiment le goût, le produit, la puissance du produit.
Rasmus - Oui et surtout sauvage parce que maintenant je travaille avec les fèves sauvages de Bolivie et je suis en train de travailler avec des autres fèves qui viennent de Brasil et Pérou qui est sauvage aussi. C’est comme ça que moi j’ai fait les marques Oialla, c’est la marque sauvage.
Sébastien – Comme l’homme, en fait, l’homme sauvage.
Rasmus - Oui, l’homme sauvage et la femme fantastique.
Sébastien – Eh ben voilà ! Excellent, et justement, toi, qu’est-ce que tu préfères dans le chocolat : quelque chose de puissant ou quelque chose de doux.
Rasmus - Mais comment tu me demandes ça, parce que, puissant naturellement, il faut que… si il y a un fort là dedans, mais un fort, ce n’est pas la même chose que amère, mais là, il faut qu’il y a une balance des fruits, des noix les sens et tout ça, tous ces…Mais c’est comme du vin.
Sébastien – Bon super. Est-ce que toi, tu aurais un dernier mot à dire à ceux qui nous regardent aujourd’hui.
Rasmus - Prend tout ton temps de goûter le chocolat.
Sébastien – Ok ! Prendre son temps pour goûter du chocolat.
Rasmus - Oui, c’est ça et vous êtes bienvenus.
Sébastien – Et bienvenu à Oialla, je vous invite à déguster. En tout cas, merci Rasmus. Moi, je vous dis à très vite pour une prochaine vidéo. Si vous avez aimé, adoré, faites un big pouce et puis abonnez-vous à la chaîne youtube. Moi, je vous dis à très bientôt pour une prochaine vidéo. Bye bye.
Rasmus - C’est exact. C’est pas évident de dire ça. Oialla, c’est un nom… mon nom de famille, c’est Bojesen. Et pour moi, c’est trop dur, parce qu’on a un chocolat qui est très rond et très féminin et très élégant. C’est pour ça que moi j’ai trouvé ce nom Oialla, c’est un nom de fille à Bolivie où j’ai trouvé des fèves.
Sébastien – Alors Rasmus, est-ce que toi tu peux te présenter, qui tu es et comment tu es venu à faire du chocolat.
Rasmus - C’est une longue histoire ! Je m’appelle Rasmus Bojesen. J’ai 60 ans et j’ai toujours, dans ma vie, travaillé dans la cuisine. Je suis cuisinier et j’ai deux grandes choses qui comptent pour moi : c’est des femmes et des chocolats. Et j’ai une femme fantastique ! Et comme ça dans la vie, il faut que tu fais ce que tu rêves et ça fait maintenant 7 ans que je fais Oialla. Et je suis restaurateur au Danemark ; et au Danemark, on travaille beaucoup plus qu’ici en France avec les bios et je ne peux pas trouver des choco bio avec les trois choses qui comptent pour moi, c’est goût, goût et goût. Et j’ai dit tiens, il faut que moi, je le fasse moi-même et comme ça moi je suis… travaille… avec comment je peux découvrir, de trouver des fèves bio où ils y avaient goût, goût et goût. Et à la fin, où les frontières Brasil et Bolivie se trouvaient des fèves sauvages. Et sauvage, c'est-à-dire que ce n’était jamais touché ; sauvage, ça veut dire sauvage, ce n’est pas de dire à toi « c’est super sauvage, vendredi soir », non, c’est sauvage. Et je travaille avec eux là bas dans la forêt, de faire la récolte et le séchage, monter les fèves au Danemark et faire le chocolat. Et faire ça pour mes restaurants. Et là, il y avait un vieux copain qui est passé, qui est un moyen chef à New York, il est français aussi, il s’appelle Daniel Bollut et il est passé et il a dit : Rasmus, moi je veux ces chocolats dans mes restaurants. C’est un restaurant de 3 étoiles à New York et j’ai dit, mais Daniel, c’est par pour vendre et il m’a dit, moi, je le veux. Et ça fait maintenant 5 ans et maintenant, je suis ici. Et c'est-à-dire que je fais un chocolat où c’est toujours goût, goût et goût. C’est très simple, il y a 4 chocolats : il y a un chocolat au lait, une 92 et une 100% et c’est ça.
Sébastien – Et par rapport à ça, qu’est-ce qui a fait que tu as eu le déclic de passer au chocolat ?
Rasmus - Ce n’est pas un clic qui… où je suis devenu au chocolat, parce que moi, je suis toujours resté avec une main dans la cuisine salée et avec l’autre main que le chocolat. Et ça, c’était 92 à Roanne, il y avait un chef pâtissier. Moi, j’ai toujours demandé : Comment on fait du chocolat et il m’a dit : « ta gueule toi danois, il faut que tu ailles à l’ Avenue Roosevelt à Lyon ». Et je suis parti chez Bernachon et là, j’ai appris à faire du chocolat.
Sébastien – Belle aventure ça alors.
Rasmus - Oui, ça va, et maintenant je suis ici avec mon chocolat.
Sébastien – Et qu’est ce que toi, tu recherches pour ton chocolat, pour l’avenir ?
Rasmus - Les trois choses, goût, goût et goût, mais en dessus, c’est bien sur, c’est bio, qui en fait quelque chose, qui est « tu est-ce que tu manges ». Et ça, c’est une façon de montrer ça ici, parce qu’ici, vous n’avez…au Danemark, on est plus loin avec notre manière de voir les bios et en vivre plus de ça que vous ici en France.
Sébastien – Et donc, par rapport à ça, ta vision du chocolat,en tout cas, tes valeurs, c’est vraiment le goût, le produit, la puissance du produit.
Rasmus - Oui et surtout sauvage parce que maintenant je travaille avec les fèves sauvages de Bolivie et je suis en train de travailler avec des autres fèves qui viennent de Brasil et Pérou qui est sauvage aussi. C’est comme ça que moi j’ai fait les marques Oialla, c’est la marque sauvage.
Sébastien – Comme l’homme, en fait, l’homme sauvage.
Rasmus - Oui, l’homme sauvage et la femme fantastique.
Sébastien – Eh ben voilà ! Excellent, et justement, toi, qu’est-ce que tu préfères dans le chocolat : quelque chose de puissant ou quelque chose de doux.
Rasmus - Mais comment tu me demandes ça, parce que, puissant naturellement, il faut que… si il y a un fort là dedans, mais un fort, ce n’est pas la même chose que amère, mais là, il faut qu’il y a une balance des fruits, des noix les sens et tout ça, tous ces…Mais c’est comme du vin.
Sébastien – Bon super. Est-ce que toi, tu aurais un dernier mot à dire à ceux qui nous regardent aujourd’hui.
Rasmus - Prend tout ton temps de goûter le chocolat.
Sébastien – Ok ! Prendre son temps pour goûter du chocolat.
Rasmus - Oui, c’est ça et vous êtes bienvenus.
Sébastien – Et bienvenu à Oialla, je vous invite à déguster. En tout cas, merci Rasmus. Moi, je vous dis à très vite pour une prochaine vidéo. Si vous avez aimé, adoré, faites un big pouce et puis abonnez-vous à la chaîne youtube. Moi, je vous dis à très bientôt pour une prochaine vidéo. Bye bye.
Rasmus Bojesen et Sébastien Rivière©ChocoClic.com