Sébastien : - Bonjour ici Sébastien du site internet Chococlic.com. Donc aujourd’hui je suis en présence de Christophe Berthelot Sampic.
Christophe : - Bonjour.
S – Bonjour Christophe, qui a créé récemment l’atelier C. Donc on va voir un petit peu pourquoi il a créé l’atelier C, qui est Christophe. Et puis qu’est-ce qu’il ambitionne de faire avec ce super atelier chocolat. Alors Christophe, parle-nous un peu de toi. C’est quoi ton histoire ? Qu’est-ce que tu as fait ? Ton parcours ?
C – Alors déjà je suis chocolatier de père en fils, depuis trois générations. Mon grand-père, qui est toujours en vie, il est dans sa cent-unième année. Donc à croire que le chocolat cela conserve, déjà. Alors je me suis dit c’est peut-être une bonne voie. Donc j’ai commencé le métier directement par le chocolat ; parce qu’il y a différentes personnes qui commencent souvent par la pâtisserie, etc. Moi je me suis spécialisé directement par le chocolat.
S – D’accord.
C – Donc j’ai fait un apprentissage de chocolaterie, à Paris, et j’ai passé mon CAP. Je suis sorti premier et meilleur apprenti chocolatier de France.
S – Super !
C – Donc cela démarrait bien. Ensuite j’ai fait des concours artistiques, de pièces artistiques en chocolat, sculptures etc. J’ai eu le premier prix de la ville de Paris. J’ai eu le premier prix de la confiserie-chocolaterie, la confédération, et puis j’ai eu le premier prix Cacao Barry, qui une marque de chocolat que tout le monde connaît j’imagine. Et donc ensuite j’ai fait différentes grandes maisons parisiennes. J’ai travaillé donc surtout en laboratoire et puis j’en ai eu un petit peu assez d’être toujours enfermé au sous-sol, etc. J’avais envie de voir des gens, je voyais toujours mes collègues, donc je me suis dirigé vers la vente. Donc j’ai fait de la vente, un petit peu en boutique mais surtout sur les salons, donc j’ai fait cela pendant plusieurs années également et puis au bout d’un moment j’en avais marre encore parce que je ne touchais plus au chocolat.
S – Donc retour aux sources alors.
C – Je me suis dit, je ne savais plus quoi faire parce que, plus en fabrication, plus en vente, alors qu’est-ce que je fais ? Et puis je me suis dirigé vers quelque chose qui est complètement à la mode en ce moment, ce sont les ateliers culinaires. Alors principalement la cuisine et la pâtisserie, et je me suis aperçu qu’il n’y avait pas d’atelier chocolat. Alors il y en a quelques-uns qui font des petits ateliers chocolat comme ça sporadiquement mais personne ne s’est spécialisé là-dedans. Et donc j’ai décidé de partir à l’aventure sur les ateliers chocolat. Alors l’atelier étant à la mode depuis quelques années, le chocolat depuis, quinze / vingt ans maintenant – depuis vingt ans même – et donc cela ne pouvait que faire une alchimie intéressante. Et puis en plus cela me permet de voir du monde, parce que là je vois du monde tous les jours ce sont des gens différents, et puis de toucher un petit peu au chocolat, pas trop parce que sinon après.
Christophe : - Bonjour.
S – Bonjour Christophe, qui a créé récemment l’atelier C. Donc on va voir un petit peu pourquoi il a créé l’atelier C, qui est Christophe. Et puis qu’est-ce qu’il ambitionne de faire avec ce super atelier chocolat. Alors Christophe, parle-nous un peu de toi. C’est quoi ton histoire ? Qu’est-ce que tu as fait ? Ton parcours ?
C – Alors déjà je suis chocolatier de père en fils, depuis trois générations. Mon grand-père, qui est toujours en vie, il est dans sa cent-unième année. Donc à croire que le chocolat cela conserve, déjà. Alors je me suis dit c’est peut-être une bonne voie. Donc j’ai commencé le métier directement par le chocolat ; parce qu’il y a différentes personnes qui commencent souvent par la pâtisserie, etc. Moi je me suis spécialisé directement par le chocolat.
S – D’accord.
C – Donc j’ai fait un apprentissage de chocolaterie, à Paris, et j’ai passé mon CAP. Je suis sorti premier et meilleur apprenti chocolatier de France.
S – Super !
C – Donc cela démarrait bien. Ensuite j’ai fait des concours artistiques, de pièces artistiques en chocolat, sculptures etc. J’ai eu le premier prix de la ville de Paris. J’ai eu le premier prix de la confiserie-chocolaterie, la confédération, et puis j’ai eu le premier prix Cacao Barry, qui une marque de chocolat que tout le monde connaît j’imagine. Et donc ensuite j’ai fait différentes grandes maisons parisiennes. J’ai travaillé donc surtout en laboratoire et puis j’en ai eu un petit peu assez d’être toujours enfermé au sous-sol, etc. J’avais envie de voir des gens, je voyais toujours mes collègues, donc je me suis dirigé vers la vente. Donc j’ai fait de la vente, un petit peu en boutique mais surtout sur les salons, donc j’ai fait cela pendant plusieurs années également et puis au bout d’un moment j’en avais marre encore parce que je ne touchais plus au chocolat.
S – Donc retour aux sources alors.
C – Je me suis dit, je ne savais plus quoi faire parce que, plus en fabrication, plus en vente, alors qu’est-ce que je fais ? Et puis je me suis dirigé vers quelque chose qui est complètement à la mode en ce moment, ce sont les ateliers culinaires. Alors principalement la cuisine et la pâtisserie, et je me suis aperçu qu’il n’y avait pas d’atelier chocolat. Alors il y en a quelques-uns qui font des petits ateliers chocolat comme ça sporadiquement mais personne ne s’est spécialisé là-dedans. Et donc j’ai décidé de partir à l’aventure sur les ateliers chocolat. Alors l’atelier étant à la mode depuis quelques années, le chocolat depuis, quinze / vingt ans maintenant – depuis vingt ans même – et donc cela ne pouvait que faire une alchimie intéressante. Et puis en plus cela me permet de voir du monde, parce que là je vois du monde tous les jours ce sont des gens différents, et puis de toucher un petit peu au chocolat, pas trop parce que sinon après.