Sébastien – Bonjour, ici Sébastien du site internet Chococlic.com. Aujourd’hui, je vous emmène aux Secrets du Chocolat à Strasbourg.
Alors comme vous pouvez le voir là, la déco sympa de l’Orient Express. Je suis avec Tony. Bonjour Tony.
Tony Valentini – Bonjour Sébastien.
Sébastien – Merci de t’accueillir aux Secrets du Chocolat. Cela va nous permettre de mieux connaître ce beau musée et tout ce qui va venir par la suite. Il m’en a dit énormément de choses. Donc là, on s’installe. Est-ce que tu peux nous expliquer un petit peu où on est et c’est quoi aussi Les Secrets du Chocolat.
Tony Valentini – Alors bienvenue. En fait on se situe actuellement dans une ancienne voiture de l’Orient Express. Une voiture originale qui date de 1929, et on propose un voyage gastronomique, culinaire, autour des sens. Un voyage dans le temps aussi. Un voyage historique à travers la carte puisqu’on reprend également des éléments des premiers menus servis à bord de l’Orient Express à l’époque, avec toujours une touche de cacao ou de chocolat que l’on retrouve à travers la carte.
Sébastien – Est-ce que tu peux me dire ce que c’est aujourd’hui – je crois que ça fait bientôt dix ans que Les Secrets du Chocolat existent et par rapport à ça, comment ça a évolué, quelle direction et où ça va ?
Tony Valentini – Oui. Les Secrets du Chocolat à la base est né en 2003. Le musée a plus de dix ans maintenant. Notre objectif : on va tendre vers une visite de plus en plus expériencielle. On a envie de vivre le chocolat. Le chocolat c’est festif, c’est gourmand. On veut vendre ça à nos visiteurs. On veut leur offrir un moment de détente, un moment festif, un moment gourmand, qu’on va revivre à travers toutes les étapes. Donc on va avoir une première partie dès l’entrée dans le musée où on va commencer par apprendre ce que c’est le chocolat. Ensuite ce qu’on propose, c’est vraiment un retour aux sources, de savoir ce qu’il y a derrière. Le chocolat ne pousse pas directement sur les arbres. On essaie de montrer justement toutes les étapes, tout le processus qu’il faut pour le créer. Donc on va avoir vraiment un aspect historique, où se fait la culture du chocolat ; on a les cacaoyers, où est-ce qu’ils poussent ? D’où ça vient ? Avec les différentes étapes qui vont déjà préconditionner le goût du cacao in fine. Alors ensuite, on a vraiment la partie fabrication. On voit les différentes machines qui montrent comment on produit le chocolat. Ce qu’on essaye d’apporter, c’est vraiment de pouvoir faire la différence quand on ressortira du musée ; la différence entre la ganache, le praliné, et de voir derrière quelques secrets de fabrication.
Sébastien – C’est ce que tu me disais aussi justement par rapport à ces machines-là, que tu vas dans les prochains mois mettre en forme, en application, toutes ces machines-là pour que derrière ça puisse vivre ?
Tony Valentini – Oui, tout à fait. En fait ce qu’on veut montrer aujourd’hui à nos visiteurs, et leur offrir, c’est vraiment de comprendre toutes les étapes de la fève jusqu’au chocolat. Donc en fait on va reproduire, on va fabriquer nous-mêmes le chocolat de la fève jusqu’au chocolat avec le chocolatier qui va mettre ça en œuvre et dans les différentes machines ; donc on aura effectivement les étapes de torréfaction, de pressage etc. pour produire notre propre chocolat.
Sébastien – Donc ça va vraiment être un parcours différent. Une évolution j’imagine aussi par rapport à la dernière étape, une des dernières étapes que j’ai vue par rapport à la dégustation où le chocolatier lui aussi montre et explique toutes ces fabrications.
Tony Valentini – Tout à fait. Et là ce qu’il fait dans sa dernière étape de l’atelier, c’est de montrer le moulage ou ce qu’il est en train de réaliser. Il fait ses propres ganaches, ses propres pralinés, ses propres bonbons qu’il fait goûter à nos visiteurs et on décide des fois des recettes comme ça sur le coin d’une table avec un visiteur qui nous suggère une idée et on la mettra en pratique plus tard. Il y a vraiment un aspect d’échange.
Sébastien – Tu me dis que tu avais pas mal de projets. Le rendre plus interactif. Alors, est-ce que tu peux nous en dire plus par rapport à ça ?
Tony Valentini – Oui avec plaisir. En fait le rendre plus interactif ce n’est pas forcément de mettre du numérique partout. Bien sûr c’est un support aujourd’hui qui est vraiment important – et d’ailleurs il y a le musée connecté qui va sortir bientôt ; c’est-à-dire qu’on va pouvoir venir chercher un petit peu plus loin grâce à un support qu’on va mettre en place qui est effectivement numérique, pour aller un tout petit peu plus loin. Mais, il n’empêche que ça ne va pas prendre le dessus sur la visite normale de l’autre visiteur. L’objectif c’est de lui apporter un plus, c’est ce service-là. Mais ce que l’on souhaite absolument, c’est qu’il puisse toucher, vivre le chocolat, cette matière tellement magique finalement.
Sébastien – Toi, qu’est-ce que tu rêverais pour le Secret du Chocolat dans les prochaines années ?
Tony Valentini – D’accomplir tout ce qu’on est en train de dire là. C’est juste de mettre tout ça en œuvre maintenant pour que nos visiteurs ressortent heureux d’avoir appris de façon ludique toute l’histoire derrière le chocolat.
Sébastien – Tu me disais que cela faisait à peu près trois ans que tu es dans le monde du chocolat ; qu’est-ce que toi tu penses de ce milieu-là ? Qu’est-ce que ça t’évoque le chocolat déjà ?
Tony Valentini – Festif. Les fêtes de fin d’année. Fête en famille. On a vraiment cet aspect famille, plaisir, gourmandise. Toute cette thématique-là. C’est ça que ça m’évoque dans un premier temps. Partage, échange également. Vraiment rester sur ce domaine-là pour l’offrir en musée.
Alors comme vous pouvez le voir là, la déco sympa de l’Orient Express. Je suis avec Tony. Bonjour Tony.
Tony Valentini – Bonjour Sébastien.
Sébastien – Merci de t’accueillir aux Secrets du Chocolat. Cela va nous permettre de mieux connaître ce beau musée et tout ce qui va venir par la suite. Il m’en a dit énormément de choses. Donc là, on s’installe. Est-ce que tu peux nous expliquer un petit peu où on est et c’est quoi aussi Les Secrets du Chocolat.
Tony Valentini – Alors bienvenue. En fait on se situe actuellement dans une ancienne voiture de l’Orient Express. Une voiture originale qui date de 1929, et on propose un voyage gastronomique, culinaire, autour des sens. Un voyage dans le temps aussi. Un voyage historique à travers la carte puisqu’on reprend également des éléments des premiers menus servis à bord de l’Orient Express à l’époque, avec toujours une touche de cacao ou de chocolat que l’on retrouve à travers la carte.
Sébastien – Est-ce que tu peux me dire ce que c’est aujourd’hui – je crois que ça fait bientôt dix ans que Les Secrets du Chocolat existent et par rapport à ça, comment ça a évolué, quelle direction et où ça va ?
Tony Valentini – Oui. Les Secrets du Chocolat à la base est né en 2003. Le musée a plus de dix ans maintenant. Notre objectif : on va tendre vers une visite de plus en plus expériencielle. On a envie de vivre le chocolat. Le chocolat c’est festif, c’est gourmand. On veut vendre ça à nos visiteurs. On veut leur offrir un moment de détente, un moment festif, un moment gourmand, qu’on va revivre à travers toutes les étapes. Donc on va avoir une première partie dès l’entrée dans le musée où on va commencer par apprendre ce que c’est le chocolat. Ensuite ce qu’on propose, c’est vraiment un retour aux sources, de savoir ce qu’il y a derrière. Le chocolat ne pousse pas directement sur les arbres. On essaie de montrer justement toutes les étapes, tout le processus qu’il faut pour le créer. Donc on va avoir vraiment un aspect historique, où se fait la culture du chocolat ; on a les cacaoyers, où est-ce qu’ils poussent ? D’où ça vient ? Avec les différentes étapes qui vont déjà préconditionner le goût du cacao in fine. Alors ensuite, on a vraiment la partie fabrication. On voit les différentes machines qui montrent comment on produit le chocolat. Ce qu’on essaye d’apporter, c’est vraiment de pouvoir faire la différence quand on ressortira du musée ; la différence entre la ganache, le praliné, et de voir derrière quelques secrets de fabrication.
Sébastien – C’est ce que tu me disais aussi justement par rapport à ces machines-là, que tu vas dans les prochains mois mettre en forme, en application, toutes ces machines-là pour que derrière ça puisse vivre ?
Tony Valentini – Oui, tout à fait. En fait ce qu’on veut montrer aujourd’hui à nos visiteurs, et leur offrir, c’est vraiment de comprendre toutes les étapes de la fève jusqu’au chocolat. Donc en fait on va reproduire, on va fabriquer nous-mêmes le chocolat de la fève jusqu’au chocolat avec le chocolatier qui va mettre ça en œuvre et dans les différentes machines ; donc on aura effectivement les étapes de torréfaction, de pressage etc. pour produire notre propre chocolat.
Sébastien – Donc ça va vraiment être un parcours différent. Une évolution j’imagine aussi par rapport à la dernière étape, une des dernières étapes que j’ai vue par rapport à la dégustation où le chocolatier lui aussi montre et explique toutes ces fabrications.
Tony Valentini – Tout à fait. Et là ce qu’il fait dans sa dernière étape de l’atelier, c’est de montrer le moulage ou ce qu’il est en train de réaliser. Il fait ses propres ganaches, ses propres pralinés, ses propres bonbons qu’il fait goûter à nos visiteurs et on décide des fois des recettes comme ça sur le coin d’une table avec un visiteur qui nous suggère une idée et on la mettra en pratique plus tard. Il y a vraiment un aspect d’échange.
Sébastien – Tu me dis que tu avais pas mal de projets. Le rendre plus interactif. Alors, est-ce que tu peux nous en dire plus par rapport à ça ?
Tony Valentini – Oui avec plaisir. En fait le rendre plus interactif ce n’est pas forcément de mettre du numérique partout. Bien sûr c’est un support aujourd’hui qui est vraiment important – et d’ailleurs il y a le musée connecté qui va sortir bientôt ; c’est-à-dire qu’on va pouvoir venir chercher un petit peu plus loin grâce à un support qu’on va mettre en place qui est effectivement numérique, pour aller un tout petit peu plus loin. Mais, il n’empêche que ça ne va pas prendre le dessus sur la visite normale de l’autre visiteur. L’objectif c’est de lui apporter un plus, c’est ce service-là. Mais ce que l’on souhaite absolument, c’est qu’il puisse toucher, vivre le chocolat, cette matière tellement magique finalement.
Sébastien – Toi, qu’est-ce que tu rêverais pour le Secret du Chocolat dans les prochaines années ?
Tony Valentini – D’accomplir tout ce qu’on est en train de dire là. C’est juste de mettre tout ça en œuvre maintenant pour que nos visiteurs ressortent heureux d’avoir appris de façon ludique toute l’histoire derrière le chocolat.
Sébastien – Tu me disais que cela faisait à peu près trois ans que tu es dans le monde du chocolat ; qu’est-ce que toi tu penses de ce milieu-là ? Qu’est-ce que ça t’évoque le chocolat déjà ?
Tony Valentini – Festif. Les fêtes de fin d’année. Fête en famille. On a vraiment cet aspect famille, plaisir, gourmandise. Toute cette thématique-là. C’est ça que ça m’évoque dans un premier temps. Partage, échange également. Vraiment rester sur ce domaine-là pour l’offrir en musée.
Tony Valentini et Sébastien Rivière©ChocoClic.com
Sébastien – Ok. Donc différentes choses, différentes manières. Il y a des animations aux Secrets du Chocolat qui se passent ?
Tony Valentini – Plein d’animations. On a lancé notamment un cours le samedi matin. Il dure à peu près quatre heures en fonction des personnes. On a un vrai échange avec le chocolatier. Donc on fabrique soi-même un demi kilo de chocolat quand même. On repart avec sa propre production. C’est ça qui est intéressant et dans cette fabrication on a la visite guidée du musée. Donc on a un premier atelier, on va s’approprier le chocolat, être soi-même un propre chocolatier. On va échanger sur le tempérage, les différentes techniques pour réaliser son chocolat. Donc on a lancé déjà six ateliers. Il y a aussi des ateliers destinés plus aux enfants, surtout pendant les périodes scolaires et les mercredis de vacances scolaires. Les enfants font eux-mêmes leur petit atelier et ils repartent avec leur petite création. Ça va de la fabrication d’un petit objet en chocolat, une petite décoration, ce genre d’activité.
Sébastien – Qu’est-ce que tu pourrais dire aujourd’hui à quelqu’un qui souhaiterait visiter et vivre l’expérience des Secrets du Chocolat ? Est-ce que tu pourrais ajouter quelque chose
Tony Valentini – pour les décider à venir
Sébastien – Pour aller plus loin. Se dire : « Tiens, quand je vais à Strasbourg, je m’arrête. Je vais visiter le Secret du Chocolat. »
Tony Valentini – Ce que je voudrais dire – on parlait de l’Alsace effectivement. Il y a quand même une histoire à travers l’Alsace. C’est une région qui a un savoir-faire autour du chocolat. C’est quand même la première région exportatrice de chocolat en France, et 26% des emplois dans l’agro-alimentaire sont dans la confiserie, la chocolaterie, devant même le vin d’Alsace qui est quand même un des plus connu, majeur. Donc on est au-delà de ça. Il y a un réel savoir-faire ici en Alsace, autour de ça. Pourquoi venir au musée ? Vous avez envie de vivre tout simplement une expérience sympa, une dégustation autour de l’apprentissage du chocolat, vous serez les bienvenus.
Sébastien – Parfait. Super ! Alors vous avez vu, franchement, écoutez ce que dit Tony. Moi je vous invite, si vous avez passer à Strasbourg, de vous arrêter, faire une petite pause au Secret du Chocolat. Vous pourrez déguster le chocolat, bien l’apprendre, pourquoi, comment. Et aussi bien entendu, voir l’histoire à votre passage et arrêtez-vous à l’Orient Express pour vous poser, prendre un petit déjeuner ; alors là vous aurez fait le tour et après vous pourrez repartir tranquillement. Je te remercie Tony de ton accueil.
Tony Valentini – Avec plaisir.
Sébastien – Je vous remercie aussi de nous avoir suivi. Je vous dis à une prochaine vidéo. À très bientôt.
Tony Valentini – À très vite.
Sébastien – Merci. Bye.
Tony Valentini – Et on continue sur une note de chocolat peut-être ensemble ?
Sébastien – Bien sûr !
Tony Valentini – À bientôt.
Sébastien - À bientôt.
Tony Valentini – Plein d’animations. On a lancé notamment un cours le samedi matin. Il dure à peu près quatre heures en fonction des personnes. On a un vrai échange avec le chocolatier. Donc on fabrique soi-même un demi kilo de chocolat quand même. On repart avec sa propre production. C’est ça qui est intéressant et dans cette fabrication on a la visite guidée du musée. Donc on a un premier atelier, on va s’approprier le chocolat, être soi-même un propre chocolatier. On va échanger sur le tempérage, les différentes techniques pour réaliser son chocolat. Donc on a lancé déjà six ateliers. Il y a aussi des ateliers destinés plus aux enfants, surtout pendant les périodes scolaires et les mercredis de vacances scolaires. Les enfants font eux-mêmes leur petit atelier et ils repartent avec leur petite création. Ça va de la fabrication d’un petit objet en chocolat, une petite décoration, ce genre d’activité.
Sébastien – Qu’est-ce que tu pourrais dire aujourd’hui à quelqu’un qui souhaiterait visiter et vivre l’expérience des Secrets du Chocolat ? Est-ce que tu pourrais ajouter quelque chose
Tony Valentini – pour les décider à venir
Sébastien – Pour aller plus loin. Se dire : « Tiens, quand je vais à Strasbourg, je m’arrête. Je vais visiter le Secret du Chocolat. »
Tony Valentini – Ce que je voudrais dire – on parlait de l’Alsace effectivement. Il y a quand même une histoire à travers l’Alsace. C’est une région qui a un savoir-faire autour du chocolat. C’est quand même la première région exportatrice de chocolat en France, et 26% des emplois dans l’agro-alimentaire sont dans la confiserie, la chocolaterie, devant même le vin d’Alsace qui est quand même un des plus connu, majeur. Donc on est au-delà de ça. Il y a un réel savoir-faire ici en Alsace, autour de ça. Pourquoi venir au musée ? Vous avez envie de vivre tout simplement une expérience sympa, une dégustation autour de l’apprentissage du chocolat, vous serez les bienvenus.
Sébastien – Parfait. Super ! Alors vous avez vu, franchement, écoutez ce que dit Tony. Moi je vous invite, si vous avez passer à Strasbourg, de vous arrêter, faire une petite pause au Secret du Chocolat. Vous pourrez déguster le chocolat, bien l’apprendre, pourquoi, comment. Et aussi bien entendu, voir l’histoire à votre passage et arrêtez-vous à l’Orient Express pour vous poser, prendre un petit déjeuner ; alors là vous aurez fait le tour et après vous pourrez repartir tranquillement. Je te remercie Tony de ton accueil.
Tony Valentini – Avec plaisir.
Sébastien – Je vous remercie aussi de nous avoir suivi. Je vous dis à une prochaine vidéo. À très bientôt.
Tony Valentini – À très vite.
Sébastien – Merci. Bye.
Tony Valentini – Et on continue sur une note de chocolat peut-être ensemble ?
Sébastien – Bien sûr !
Tony Valentini – À bientôt.
Sébastien - À bientôt.