Les qualités bienfaisantes du Chocolat et la vertu toute spéciale de cet aliment.
Non seulement, il est nourrissant, mais il fortifie également l’estomac et la poitrine, réparer promptement les forces épuisées ; il est salutaire à tous.
Le Chocolat est un excellent remède contre les irritations de la gorge produites par les temps humides ou par la suppression de la transpiration. Les phtisiques trouvent souvent dans l’usage d’un Chocolat bien préparé un aliment médicamenteux qu’ils s'efforceront en vain de trouver ailleurs. Il a en outre une propriété singulière et bien précieuse, c’est de donner aux battements du cœur et des artères un développement qui rend le pouls ample, souple et vigoureux, sans en accélérer les pulsations.
On peut aussi très bien le prescrire dans les fièvres qui reconnaissent pour causes l’épuisement, la langueur, l’atonie ou le défaut d’action des fluides.
Selon le médecin de Stanislas, roi de Pologne, il y a longtemps, on a appelé le Chocolat : « le lait des vieillards ». On le regarde comme très-nourrissant et comme très-propre à réveiller les fonctions languissantes de l’estomac. Le bon Chocolat offre aux estomacs paresseux, délicats, fatigués ou malades, une nourriture fortifiante et d’une digestion très-facile. Il constitue le déjeuner le plus sain et le plus convenable pour toutes personnes.
Le Chocolat est un excellent remède contre les irritations de la gorge produites par les temps humides ou par la suppression de la transpiration. Les phtisiques trouvent souvent dans l’usage d’un Chocolat bien préparé un aliment médicamenteux qu’ils s'efforceront en vain de trouver ailleurs. Il a en outre une propriété singulière et bien précieuse, c’est de donner aux battements du cœur et des artères un développement qui rend le pouls ample, souple et vigoureux, sans en accélérer les pulsations.
On peut aussi très bien le prescrire dans les fièvres qui reconnaissent pour causes l’épuisement, la langueur, l’atonie ou le défaut d’action des fluides.
Selon le médecin de Stanislas, roi de Pologne, il y a longtemps, on a appelé le Chocolat : « le lait des vieillards ». On le regarde comme très-nourrissant et comme très-propre à réveiller les fonctions languissantes de l’estomac. Le bon Chocolat offre aux estomacs paresseux, délicats, fatigués ou malades, une nourriture fortifiante et d’une digestion très-facile. Il constitue le déjeuner le plus sain et le plus convenable pour toutes personnes.
L’aliment le plus convenable à la santé
L’expérience et le temps ont démontré que le Chocolat bien préparé est un aliment aussi salutaire qu’agréable ; qu’il est nourrissant, de facile digestion, et qu’il n’a pas, pour la beauté, les inconvénients qu’on reproche au café ; qu’il est très-convenable aux personnes qui se livrent à une grande contention d’esprit, aux travaux de la chaire, du barreau, ainsi qu’aux voyageurs ; qu’enfin, il convient aux estomacs les plus faibles et les plus délicats !
Les personnes qui font un usage habituel du Chocolat sont celles qui jouissent d’une santé plus constamment égale et qui sont les moins sujettes à une foule de petits maux qui nuisent au bonheur de la vie. Leur embonpoint est aussi plus stationnaire : ce sont deux avantages que chacun peut vérifier dans la société. Quelques personnes se plaignent de ne pouvoir digérer le Chocolat ; il est très-probable qu’elles ne doivent s’en prendre qu’à elles-mêmes, et que le Chocolat dont elles usent est de mauvaise qualité.
Aux deux extrémités de la vie, cet aliment exerce une heureuse influence : chez les enfants, en favorisant la croissance ; chez les vieillards, en ranimant leurs forces. Cet aliment salutaire convient aux individus d’une complexion maigre et sèche, aux tempéraments faibles et cacochymes, aux personnes convalescentes, à celles qui sont obligées par état de soutenir une longue application d’esprit. Le Chocolat est favorable aux personnes qui craignent l’usage du vin et des liqueurs spiritueuses, et qui, cependant, ont besoin de fortifiants. Dans les grandes chaleurs, il n’est pas de meilleur moyen pour redonner du ton aux organes. Il augmente la sécrétion du lait chez les femmes qui peuvent se livrer aux tendres devoirs de la maternité.
Les personnes qui font un usage habituel du Chocolat sont celles qui jouissent d’une santé plus constamment égale et qui sont les moins sujettes à une foule de petits maux qui nuisent au bonheur de la vie. Leur embonpoint est aussi plus stationnaire : ce sont deux avantages que chacun peut vérifier dans la société. Quelques personnes se plaignent de ne pouvoir digérer le Chocolat ; il est très-probable qu’elles ne doivent s’en prendre qu’à elles-mêmes, et que le Chocolat dont elles usent est de mauvaise qualité.
Aux deux extrémités de la vie, cet aliment exerce une heureuse influence : chez les enfants, en favorisant la croissance ; chez les vieillards, en ranimant leurs forces. Cet aliment salutaire convient aux individus d’une complexion maigre et sèche, aux tempéraments faibles et cacochymes, aux personnes convalescentes, à celles qui sont obligées par état de soutenir une longue application d’esprit. Le Chocolat est favorable aux personnes qui craignent l’usage du vin et des liqueurs spiritueuses, et qui, cependant, ont besoin de fortifiants. Dans les grandes chaleurs, il n’est pas de meilleur moyen pour redonner du ton aux organes. Il augmente la sécrétion du lait chez les femmes qui peuvent se livrer aux tendres devoirs de la maternité.