Sébastien – Bonjour ici Sébastien du site internet Chococlic.com. Aujourd’hui on retrouve de nouveau Cédric Van Belle.
Cédric Van Belle – Bonjour.
Sébastien – Bonjour Cédric. Comment vas-tu ?
Cédric Van Belle – Ça va très bien.
Sébastien – Il va nous parler un petit peu du Choco-Story en Belgique. Nous sommes à Bruges aujourd’hui. Donc écoute Cédric, est-ce que tu peux nous raconter un petit peu l’histoire ? Les genèses de ce musée. Qui en est le fondateur ? Je sais que toi tu es arrivé, ça t’a motivé à retourner à la formation. Comment ça s’est passé ?
Cédric Van Belle – En fait on a démarré pour ainsi dire de rien donc on n’avait aucune connaissance dans le monde des musées. On a démarré ça avec mon père en 2003. C’est mon père qui a écrit tous les textes du musée, donc on a dû beaucoup bouquiner, faire des recherches et alors au niveau des objets on avait quand même une base de collection. Mon père avait pas mal d’objets précolombiens. On a pu avoir la collection d’un chocolatier de Bruges qui avait des moules et des boîtes en métal. Et alors les objets qui nous manquaient pour pouvoir faire un vrai musée, mon père les a achetés dans l’année qui précédait l’ouverture du musée. Donc finalement en moins d’un an on a réussi à monter le musée de presque zéro.
Sébastien – D’accord. Et ton père ? Raconte un peu qui il est. Parce que c’est vrai que les gens disent : « Oui, d’accord, ils ont fait un musée mais
Cédric Van Belle – Pourquoi
Sébastien – pourquoi ? » Parce que c’est vrai que, je crois, à l’origine, ton grand-père, ton père, ils sont vraiment dans la fabrication du chocolat.
Cédric Van Belle – Tout à fait.
Sébastien – Donc c’est déjà une passion avant tout.
Cédric Van Belle – Oui. Donc notre famille est originaire du groupe Puratos ; donc c’est un groupe qui travaille dans l’alimentaire et produisant des produits pour les boulangers, pâtissiers, chocolatiers. Mon grand-père y travaillait déjà. Mon père a pris la relève. C’est de là que vient déjà son contact avec le monde des chocolatiers et c’est de là que vient l’origine du pourquoi on a réussi à faire un musée du chocolat. C’est un chocolatier de Bruges qui est venu voir mon père pour lui demander de l’aide à créer ce musée. Finalement, les événements ont fait que c’est nous qui avons créé ce musée avec l’aide de ce chocolatier qui nous a aidés pour toute la partie technique, la partie démonstration et aussi pour une base d’objets à exposer dans le musée.
Sébastien – D’accord, super. Est-ce que tu peux nous faire un petit peu la visite. Qu’est-ce qu’on peut trouver au musée du chocolat à Bruges ?
Cédric Van Belle – Alors, on a voulu en faire un véritable musée avec des objets à voir. Pas seulement quelque chose d’expérience qu’on peut vivre mais vraiment aussi une véritable collection d’objets. Donc on a plus de mille objets qui sont exposés dans le musée. On commence bien sûr avec l’histoire du chocolat, l’origine du chocolat qui démarre chez les Mayas, les Aztèques ; et là on a quand même une très belle collection d’objets précolombiens relatifs au chocolat bien sûr. On évolue dans le temps. On fait le musée de façon chronologique. Il est réparti sur trois étages et le musée est abrité dans un très beau bâtiment qui date du 16ème siècle, un bâtiment typiquement brugeois. La partie historique c’est plutôt le premier étage. Au deuxième étage on aborde la partie production du chocolat, le processus de fabrication. On a quelques machines qui tournent. On montre aussi un atelier des années cinquante.
Comment ils faisaient le chocolat à l’époque : tempérage sur le marbre et autre. Le dernier étage, là, on parle des marques belges des années cinquante avec du matériel publicitaire de ces années-là. On a un petit mot sur Belcolade qui est un de nos sponsors ; tout le chocolat qu’on utilise bien sûr dans le musée est du chocolat Belcolade. Et on termine la visite par une démonstration. Donc on a une partie atelier-démonstration où les gens peuvent donc voir un chocolatier, donner une explication sur la fabrication des pralines, des bonbons au chocolat, qui dure à peu près un quart d’heure vingt minutes et on peut bien sûr les goûter. C’est le final. On a également une partie atelier où les gens, en groupe, peuvent venir faire leur chocolat eux-mêmes. Donc là, sur réservation, on a une salle dédiée où ils prennent une sorte de petit cours du chocolat où ils apprennent à soit faire du moulage soit faire des truffes. On peut faire aussi des petits mendiants, ce genre de choses-là, que ce soit pour les adultes ou les enfants.
Sébastien – Ok, super. On peut trouver un petit peu vraiment tout le cheminement de A à Z au musée du chocolat. C’est une visite qui dure à peu près combien de temps ?
Cédric Van Belle – Il faut compter à peu près une heure de visite, démonstration incluse. Évidemment si on veut prendre son temps et pour regarder à son aise ça peut être un peu plus long ; ça dépend. En général quand on fait une visite avec un guide – parce que les groupes peuvent aussi faire des visites guidées – ils prennent en général entre une heure et une heure et demie.
Sébastien – Ok. Donc quand vous passez à Bruges, à Bruxelles, vous vous arrêtez au Choco-Story et vous passez un petit passage d’une heure, une heure et demie pour voir un petit peu comment le chocolat se fabrique, les plantations, et puis vous pourrez même déguster etc., donc c’est top.
Cédric Van Belle – Bonjour.
Sébastien – Bonjour Cédric. Comment vas-tu ?
Cédric Van Belle – Ça va très bien.
Sébastien – Il va nous parler un petit peu du Choco-Story en Belgique. Nous sommes à Bruges aujourd’hui. Donc écoute Cédric, est-ce que tu peux nous raconter un petit peu l’histoire ? Les genèses de ce musée. Qui en est le fondateur ? Je sais que toi tu es arrivé, ça t’a motivé à retourner à la formation. Comment ça s’est passé ?
Cédric Van Belle – En fait on a démarré pour ainsi dire de rien donc on n’avait aucune connaissance dans le monde des musées. On a démarré ça avec mon père en 2003. C’est mon père qui a écrit tous les textes du musée, donc on a dû beaucoup bouquiner, faire des recherches et alors au niveau des objets on avait quand même une base de collection. Mon père avait pas mal d’objets précolombiens. On a pu avoir la collection d’un chocolatier de Bruges qui avait des moules et des boîtes en métal. Et alors les objets qui nous manquaient pour pouvoir faire un vrai musée, mon père les a achetés dans l’année qui précédait l’ouverture du musée. Donc finalement en moins d’un an on a réussi à monter le musée de presque zéro.
Sébastien – D’accord. Et ton père ? Raconte un peu qui il est. Parce que c’est vrai que les gens disent : « Oui, d’accord, ils ont fait un musée mais
Cédric Van Belle – Pourquoi
Sébastien – pourquoi ? » Parce que c’est vrai que, je crois, à l’origine, ton grand-père, ton père, ils sont vraiment dans la fabrication du chocolat.
Cédric Van Belle – Tout à fait.
Sébastien – Donc c’est déjà une passion avant tout.
Cédric Van Belle – Oui. Donc notre famille est originaire du groupe Puratos ; donc c’est un groupe qui travaille dans l’alimentaire et produisant des produits pour les boulangers, pâtissiers, chocolatiers. Mon grand-père y travaillait déjà. Mon père a pris la relève. C’est de là que vient déjà son contact avec le monde des chocolatiers et c’est de là que vient l’origine du pourquoi on a réussi à faire un musée du chocolat. C’est un chocolatier de Bruges qui est venu voir mon père pour lui demander de l’aide à créer ce musée. Finalement, les événements ont fait que c’est nous qui avons créé ce musée avec l’aide de ce chocolatier qui nous a aidés pour toute la partie technique, la partie démonstration et aussi pour une base d’objets à exposer dans le musée.
Sébastien – D’accord, super. Est-ce que tu peux nous faire un petit peu la visite. Qu’est-ce qu’on peut trouver au musée du chocolat à Bruges ?
Cédric Van Belle – Alors, on a voulu en faire un véritable musée avec des objets à voir. Pas seulement quelque chose d’expérience qu’on peut vivre mais vraiment aussi une véritable collection d’objets. Donc on a plus de mille objets qui sont exposés dans le musée. On commence bien sûr avec l’histoire du chocolat, l’origine du chocolat qui démarre chez les Mayas, les Aztèques ; et là on a quand même une très belle collection d’objets précolombiens relatifs au chocolat bien sûr. On évolue dans le temps. On fait le musée de façon chronologique. Il est réparti sur trois étages et le musée est abrité dans un très beau bâtiment qui date du 16ème siècle, un bâtiment typiquement brugeois. La partie historique c’est plutôt le premier étage. Au deuxième étage on aborde la partie production du chocolat, le processus de fabrication. On a quelques machines qui tournent. On montre aussi un atelier des années cinquante.
Comment ils faisaient le chocolat à l’époque : tempérage sur le marbre et autre. Le dernier étage, là, on parle des marques belges des années cinquante avec du matériel publicitaire de ces années-là. On a un petit mot sur Belcolade qui est un de nos sponsors ; tout le chocolat qu’on utilise bien sûr dans le musée est du chocolat Belcolade. Et on termine la visite par une démonstration. Donc on a une partie atelier-démonstration où les gens peuvent donc voir un chocolatier, donner une explication sur la fabrication des pralines, des bonbons au chocolat, qui dure à peu près un quart d’heure vingt minutes et on peut bien sûr les goûter. C’est le final. On a également une partie atelier où les gens, en groupe, peuvent venir faire leur chocolat eux-mêmes. Donc là, sur réservation, on a une salle dédiée où ils prennent une sorte de petit cours du chocolat où ils apprennent à soit faire du moulage soit faire des truffes. On peut faire aussi des petits mendiants, ce genre de choses-là, que ce soit pour les adultes ou les enfants.
Sébastien – Ok, super. On peut trouver un petit peu vraiment tout le cheminement de A à Z au musée du chocolat. C’est une visite qui dure à peu près combien de temps ?
Cédric Van Belle – Il faut compter à peu près une heure de visite, démonstration incluse. Évidemment si on veut prendre son temps et pour regarder à son aise ça peut être un peu plus long ; ça dépend. En général quand on fait une visite avec un guide – parce que les groupes peuvent aussi faire des visites guidées – ils prennent en général entre une heure et une heure et demie.
Sébastien – Ok. Donc quand vous passez à Bruges, à Bruxelles, vous vous arrêtez au Choco-Story et vous passez un petit passage d’une heure, une heure et demie pour voir un petit peu comment le chocolat se fabrique, les plantations, et puis vous pourrez même déguster etc., donc c’est top.