Sébastien – Qu’est-ce que je peux rajouter à ça André ? Ça va être difficile parce que tu as tout dit sur ton histoire, sur les variétés que vous faites, enfin que ton fils fait maintenant désormais en distribution. Comment tu pourrais caractériser ta marque, enfin en tout cas Vietcacao aujourd’hui ?
André STENGEL – Je pourrais la caractériser dans le prolongement de ce que fait Arnaud, parce qu’il a appelé son entreprise ERITAHJ. Héritage qu’il a écrit plus phonétiquement que textuellement parce que d’abord, comme il a fait quatre ans de mandarin à Shanghai, dans la concession française, les maisons classées patrimoine historique ont une plaque en cuivre Héritage que le magazine de Vietnam Airlines s’appelle Héritage, donc il a pris cette écriture phonétique avec en même temps son expérience eurasienne, de ce que le g n’a pas de phonème en chinois et en japonais et qu’ils ne prononcent pas le g ; comme dans les pays asiatiques on ne sait pas prononcer le r. Les gens qui disent Na Trang , mais en vietnamien on dit Na Tiang et donc avec ce vécu asiatique, chinois, coréen, japonais, il a pris cette dénomination héritage. Mais c’est aussi – il l’a dit puisqu’il a décroché en 2014, un prix Odyssée des jeunes entreprises par rapport à son initiative et son projet et l’a bien restitué de dire que c’était aussi en hommage à son père ; que c’était un héritage qu’on lui avait légué. Voilà.
Sébastien – Magnifique histoire en tout cas André. Je te remercie d’avoir raconté les débuts de Vietcacao. Parce que ce sont vraiment des racines, c’est vraiment puissant. Donc je pense qu’elle va perdurer avec un nom pareil ! Héritage c’est sûr. En tout cas tu as laissé un bel héritage. Sans aucun doute. Je te remercie André. Je te souhaite une belle soirée à toi. Je te dis : « À très bientôt. »
Sébastien – Oui. Je vous retrouve bientôt dans une nouvelle interview. Moi je vous dis : « Bye, ciao ! Et mangez plein de chocolat ! » Bye.
André STENGEL – Je pourrais la caractériser dans le prolongement de ce que fait Arnaud, parce qu’il a appelé son entreprise ERITAHJ. Héritage qu’il a écrit plus phonétiquement que textuellement parce que d’abord, comme il a fait quatre ans de mandarin à Shanghai, dans la concession française, les maisons classées patrimoine historique ont une plaque en cuivre Héritage que le magazine de Vietnam Airlines s’appelle Héritage, donc il a pris cette écriture phonétique avec en même temps son expérience eurasienne, de ce que le g n’a pas de phonème en chinois et en japonais et qu’ils ne prononcent pas le g ; comme dans les pays asiatiques on ne sait pas prononcer le r. Les gens qui disent Na Trang , mais en vietnamien on dit Na Tiang et donc avec ce vécu asiatique, chinois, coréen, japonais, il a pris cette dénomination héritage. Mais c’est aussi – il l’a dit puisqu’il a décroché en 2014, un prix Odyssée des jeunes entreprises par rapport à son initiative et son projet et l’a bien restitué de dire que c’était aussi en hommage à son père ; que c’était un héritage qu’on lui avait légué. Voilà.
Sébastien – Magnifique histoire en tout cas André. Je te remercie d’avoir raconté les débuts de Vietcacao. Parce que ce sont vraiment des racines, c’est vraiment puissant. Donc je pense qu’elle va perdurer avec un nom pareil ! Héritage c’est sûr. En tout cas tu as laissé un bel héritage. Sans aucun doute. Je te remercie André. Je te souhaite une belle soirée à toi. Je te dis : « À très bientôt. »
Sébastien – Oui. Je vous retrouve bientôt dans une nouvelle interview. Moi je vous dis : « Bye, ciao ! Et mangez plein de chocolat ! » Bye.
André Stengel et Sébasiten Rivière© ChocoClic