Sébastien – Est-ce que vous avez un message à faire passer ? Quelque chose que vous diriez aux internautes qui vous regardent ?
Christophe Adam – Qu’ils regardent ! J’ai toujours du mal, comme si j’étais un papa ! Ceux qui aiment ce métier, il faut y aller à fond, avec des moments – mais je pense que c’est la vie qui est comme ça – des moments sympas et des moments durs. Mais si on aime vraiment ce métier, il faut y aller à fond et ne pas lâcher au bout de six mois seulement parce que c’est dur : ça prend beaucoup, beaucoup plus de temps que ça.
Sébastien – Oui. Et pour ceux qui – pas obligatoirement ceux qui fabriquent – mais pour les autres ?
Christophe Adam – Les amateurs ?
Sébastien – Pour les amateurs qui aiment bien, vraiment déguster vos produits. Qu’est-ce que...
Christophe Adam – Ce qu’il y a c’est que j’ai changé de métier depuis maintenant un an. Je me suis mis au frais à cent pour cent. On ne fait que du frais. Et ça dans ma démarche de pâtissier d’avant, c’était compliqué parce qu’on avait beaucoup de choix et même si les gâteaux étaient frais, ici maintenant, je veux dire la pâte à choux est faite le matin, il y a tout ce côté un peu plus restauration. J’essaye d’être un peu plus dans la tendance ou dans le mouvement qui se passe peut-être en cuisine et j’aime ce mouvement donc j’essaye de faire la même chose avec la pâtisserie derrière. En jouant l’éclair du jour, en jouant beaucoup sur les saisons – alors bien sûr toutes les pâtisseries jouent les saisons mais on a joué un peu plus, même beaucoup plus.
Sébastien – D’accord. Donc vous allez en mettre plein les papilles ?
Christophe Adam – Donc on va en mettre plein les papilles. On a créé quatre-vingt-cinq éclairs en un an. Pour ceux qui ne connaissent pas, ou ceux qui reviennent beaucoup, il y a souvent du changement. On est vraiment dans le côté restauration, dans le côté du jour. Il y a plein de clients qui passent et qui n’ont pas l’éclair qu’ils voulaient. Je prends l’exemple du Citron Yuzu ou du Pistache orange mais il faut bien que j’en change. Je ne prends pas la demande mais je suis obligé d’en enlever, pour en remettre et ça revient comme ça petit à petit.
Sébastien – Ok. Et bien en tout cas merci Christophe. On va se retrouver à mon avis pour une autre interview peut-être un peu plus longue pour différentes interviews. Merci à toi.
Christophe Adam – Avec plaisir.
Sébastien – Et puis à bientôt.
Christophe Adam – À très bientôt.
Christophe Adam – Qu’ils regardent ! J’ai toujours du mal, comme si j’étais un papa ! Ceux qui aiment ce métier, il faut y aller à fond, avec des moments – mais je pense que c’est la vie qui est comme ça – des moments sympas et des moments durs. Mais si on aime vraiment ce métier, il faut y aller à fond et ne pas lâcher au bout de six mois seulement parce que c’est dur : ça prend beaucoup, beaucoup plus de temps que ça.
Sébastien – Oui. Et pour ceux qui – pas obligatoirement ceux qui fabriquent – mais pour les autres ?
Christophe Adam – Les amateurs ?
Sébastien – Pour les amateurs qui aiment bien, vraiment déguster vos produits. Qu’est-ce que...
Christophe Adam – Ce qu’il y a c’est que j’ai changé de métier depuis maintenant un an. Je me suis mis au frais à cent pour cent. On ne fait que du frais. Et ça dans ma démarche de pâtissier d’avant, c’était compliqué parce qu’on avait beaucoup de choix et même si les gâteaux étaient frais, ici maintenant, je veux dire la pâte à choux est faite le matin, il y a tout ce côté un peu plus restauration. J’essaye d’être un peu plus dans la tendance ou dans le mouvement qui se passe peut-être en cuisine et j’aime ce mouvement donc j’essaye de faire la même chose avec la pâtisserie derrière. En jouant l’éclair du jour, en jouant beaucoup sur les saisons – alors bien sûr toutes les pâtisseries jouent les saisons mais on a joué un peu plus, même beaucoup plus.
Sébastien – D’accord. Donc vous allez en mettre plein les papilles ?
Christophe Adam – Donc on va en mettre plein les papilles. On a créé quatre-vingt-cinq éclairs en un an. Pour ceux qui ne connaissent pas, ou ceux qui reviennent beaucoup, il y a souvent du changement. On est vraiment dans le côté restauration, dans le côté du jour. Il y a plein de clients qui passent et qui n’ont pas l’éclair qu’ils voulaient. Je prends l’exemple du Citron Yuzu ou du Pistache orange mais il faut bien que j’en change. Je ne prends pas la demande mais je suis obligé d’en enlever, pour en remettre et ça revient comme ça petit à petit.
Sébastien – Ok. Et bien en tout cas merci Christophe. On va se retrouver à mon avis pour une autre interview peut-être un peu plus longue pour différentes interviews. Merci à toi.
Christophe Adam – Avec plaisir.
Sébastien – Et puis à bientôt.
Christophe Adam – À très bientôt.