Discussion passionnée le lundi 27 janvier à 15 heures avec :
• Pierre Hermé, le pâtissier star, Fooding® d’honneur 2001
• Philippe Poulachon, de Bellota-Bellota (Paris), Fooding® 2002 de la Meilleure dînette
• Christophe Beaufront, de l’Avant-Goût Côté Cellier (Paris), Fooding® 2002 du Meilleur take-away
• Sonia Ezgulian, de l’Oxalis (Lyon)
• Laurent Damiens, Directeur marketing et communication d’Interfel
• Alexandre Cammas et Emmanuel Rubin, agit-popote et initiateurs du Fooding, « le poil à gratter de la gastronomie » (Paris Match, février 2002).
Mais déjà, quelques éléments de réponse…
Alain Passard : « Ce mouvement est celui de la délicatesse et de l’étonnement, il lutte contre la lassitude. » (Zurban – 1/02/03)
François Simon : « C’est une bouffée d’oxygène, d’iode, d’adrénaline. Il essaie d’aiguiller les tendances, d’animer un village qui a plutôt tendance à être très satisfait de lui-même et de roupiller sur ses quintaux de lauriers. » (Le Figaro - 10/12/00)
Faith Popcorn : « Going « Fooding »will soon be on our lips, here as it captures our fascination with both dining out, and the search for higher experimental levels » (Dictionary of the future)
Marc Veyrat : « Le Fooding ? C’est merveilleux. C’est l’avenir. Contrairement à ce d’aucuns pensent, l’environnement est très important. Beaucoup considèrent que seul ce qu’il y a dans l’assiette est important, ils se sont trompés, c’est un mensonge. Les clients ont besoin d’autre chose, d’un cadre, d’un univers, de chaleur aussi. » (Charente libre – Sud-Ouest – 22/11/02)
Pierre Hermé : « Le Fooding promeut une modernité dans la cuisine et la restauration, des domaines où il y a une forte tendance à regarder dans le rétroviseur. » (Marketing Magazine – 02/01)
• Pierre Hermé, le pâtissier star, Fooding® d’honneur 2001
• Philippe Poulachon, de Bellota-Bellota (Paris), Fooding® 2002 de la Meilleure dînette
• Christophe Beaufront, de l’Avant-Goût Côté Cellier (Paris), Fooding® 2002 du Meilleur take-away
• Sonia Ezgulian, de l’Oxalis (Lyon)
• Laurent Damiens, Directeur marketing et communication d’Interfel
• Alexandre Cammas et Emmanuel Rubin, agit-popote et initiateurs du Fooding, « le poil à gratter de la gastronomie » (Paris Match, février 2002).
Mais déjà, quelques éléments de réponse…
Alain Passard : « Ce mouvement est celui de la délicatesse et de l’étonnement, il lutte contre la lassitude. » (Zurban – 1/02/03)
François Simon : « C’est une bouffée d’oxygène, d’iode, d’adrénaline. Il essaie d’aiguiller les tendances, d’animer un village qui a plutôt tendance à être très satisfait de lui-même et de roupiller sur ses quintaux de lauriers. » (Le Figaro - 10/12/00)
Faith Popcorn : « Going « Fooding »will soon be on our lips, here as it captures our fascination with both dining out, and the search for higher experimental levels » (Dictionary of the future)
Marc Veyrat : « Le Fooding ? C’est merveilleux. C’est l’avenir. Contrairement à ce d’aucuns pensent, l’environnement est très important. Beaucoup considèrent que seul ce qu’il y a dans l’assiette est important, ils se sont trompés, c’est un mensonge. Les clients ont besoin d’autre chose, d’un cadre, d’un univers, de chaleur aussi. » (Charente libre – Sud-Ouest – 22/11/02)
Pierre Hermé : « Le Fooding promeut une modernité dans la cuisine et la restauration, des domaines où il y a une forte tendance à regarder dans le rétroviseur. » (Marketing Magazine – 02/01)