Les premières années influencées par la gastronomie
Patrice Chapon commence à fréquenter l’univers de la gastronomie, dès l’âge de 7 ans : il accompagnait régulièrement son père, courtier en vins, qui distribuait les meilleures tables de Paris de l’époque.
Plus passionné par le dessin et l’architecture durant ses années de scolarité, il délaisse les cours d’enseignement général au point de s’arrêter au BEPC : le métier d’architecte qu’il espérait tant ne pourra lui être accessible !
Découverte d’un monde de saveurs sucrées
Son père le tente alors aux métiers de cuisinier ou bien de maître d’hôtel et l’envoie chez ses amis restaurateurs. Des journées entières à éplucher oignons, carottes et à travailler les abats le poussent finalement vers le noble métier de pâtissier. Il y découvre la sensibilité et la finesse des saveurs sucrées et la décoration des buffets gigantesques de certaines cérémonies.
Dès lors, c’est avec son CAP en poche et une proposition immédiate pour travailler à l’hôtel Normandy de Deauville, que Patrice Chapon commence son « périple sucré ».
Entre les buffets majestueux du festival du film américain et les exigences démesurées de personnalités, il adhère complètement à cette nouvelle tendance de buffets sucrés.
Un passage à la cour des grands
Le monde des saveurs l’emmène ensuite à la cour royale de Buckingham Palace : on y cherche un glacier. Ce nouveau défi Patrice Chapon le relève en réussissant des sorbets et autres crèmes glacées conçus exclusivement à partir de fruits frais importés de leur pays d’origine.
L’excitation gustative amène même la famille royale à lui apporter ses propres confits de roses, d’origine rarissime, pour confectionner des sorbets.
Mais déjà, à ce moment-là, le chocolat l’interpelle : les vitrines sucrées de chez Harrod’s le fascinent et l’idée de se perfectionner pour une matière aussi noble le séduit.
Premiers pas dans l’univers du chocolat…
De retour en France et après plusieurs expériences en tant que glacier, puis sous-directeur d’hôtels, son désir de se lancer dans le domaine du chocolat s’accentue.
En 1985, Patrice Chapon réalise ses premiers chocolats dans la cave de la maison familiale. Il a 24 ans. Il fabrique des chocolats originaux et atypiques le matin et va les vendre aux confiseries parisiennes l’après-midi.
Ses nouveautés n’ont qu’un accueil timide de la part de ces grandes maisons ancestrales. Patrice Chapon décide alors de concevoir des chocolats plus classiques avec la ferme intention de revisiter les recettes établies. Les pralinés aux épices ou les ganaches au thé de Chine ou au basilic sont, à l’époque, des innovations dérangeantes dans l’univers de la chocolaterie française. Cependant le jeune chocolatier insiste et le succès arrive peu à peu… la cave paternelle devient trop petite.
Il va alors emménager dans un petit entrepôt dans une rue passagère de Lagny-Sur-Marne. Installé dans ce petit atelier, Patrice Chapon œuvre derrière une baie vitrée, exposant, à longueurs de journées, son activité aux yeux des curieux qui se demandent bien comment rentrer dans les secrets du maître.
Timide, Patrice Chapon, veut se préserver des regards et appose une affiche sur la vitrine qui, sans le savoir, deviendra plus tard son image et sa marque : les 3 enfants portant des boîtes de lait chocolaté.
Plus passionné par le dessin et l’architecture durant ses années de scolarité, il délaisse les cours d’enseignement général au point de s’arrêter au BEPC : le métier d’architecte qu’il espérait tant ne pourra lui être accessible !
Découverte d’un monde de saveurs sucrées
Son père le tente alors aux métiers de cuisinier ou bien de maître d’hôtel et l’envoie chez ses amis restaurateurs. Des journées entières à éplucher oignons, carottes et à travailler les abats le poussent finalement vers le noble métier de pâtissier. Il y découvre la sensibilité et la finesse des saveurs sucrées et la décoration des buffets gigantesques de certaines cérémonies.
Dès lors, c’est avec son CAP en poche et une proposition immédiate pour travailler à l’hôtel Normandy de Deauville, que Patrice Chapon commence son « périple sucré ».
Entre les buffets majestueux du festival du film américain et les exigences démesurées de personnalités, il adhère complètement à cette nouvelle tendance de buffets sucrés.
Un passage à la cour des grands
Le monde des saveurs l’emmène ensuite à la cour royale de Buckingham Palace : on y cherche un glacier. Ce nouveau défi Patrice Chapon le relève en réussissant des sorbets et autres crèmes glacées conçus exclusivement à partir de fruits frais importés de leur pays d’origine.
L’excitation gustative amène même la famille royale à lui apporter ses propres confits de roses, d’origine rarissime, pour confectionner des sorbets.
Mais déjà, à ce moment-là, le chocolat l’interpelle : les vitrines sucrées de chez Harrod’s le fascinent et l’idée de se perfectionner pour une matière aussi noble le séduit.
Premiers pas dans l’univers du chocolat…
De retour en France et après plusieurs expériences en tant que glacier, puis sous-directeur d’hôtels, son désir de se lancer dans le domaine du chocolat s’accentue.
En 1985, Patrice Chapon réalise ses premiers chocolats dans la cave de la maison familiale. Il a 24 ans. Il fabrique des chocolats originaux et atypiques le matin et va les vendre aux confiseries parisiennes l’après-midi.
Ses nouveautés n’ont qu’un accueil timide de la part de ces grandes maisons ancestrales. Patrice Chapon décide alors de concevoir des chocolats plus classiques avec la ferme intention de revisiter les recettes établies. Les pralinés aux épices ou les ganaches au thé de Chine ou au basilic sont, à l’époque, des innovations dérangeantes dans l’univers de la chocolaterie française. Cependant le jeune chocolatier insiste et le succès arrive peu à peu… la cave paternelle devient trop petite.
Il va alors emménager dans un petit entrepôt dans une rue passagère de Lagny-Sur-Marne. Installé dans ce petit atelier, Patrice Chapon œuvre derrière une baie vitrée, exposant, à longueurs de journées, son activité aux yeux des curieux qui se demandent bien comment rentrer dans les secrets du maître.
Timide, Patrice Chapon, veut se préserver des regards et appose une affiche sur la vitrine qui, sans le savoir, deviendra plus tard son image et sa marque : les 3 enfants portant des boîtes de lait chocolaté.
La naissance d’une marque
Conscient de la demande continuelle de la part des passants d’acheter ses créations, et après avoir déménagé 2 fois, Patrice Chapon ouvre, en 1993, un petit point de vente à l’intérieur même de son atelier à Chelles.
Très vite il sépare l’espace de vente de son atelier tant la foule empiète sur son univers. Puis il investit Paris en
transformant, tout d’abord en 2001 : une mercerie, située avenue Mozart dans le 16ème arrondissement, en boutique conforme à celle du film « Le Chocolat ».
Puis, en 2005, il ouvre un petit bijou de magasin, rue du Bac, véritable bonbonnière.
Les murs de cette dernière sont parés de tous les atours du chocolat avec une collection importante de moules anciens encore utiles, mais dont Patrice Chapon a sacrifié leur fonction première.
Dès cette période, son imagination bat son plein : plus de 400 références de chocolats sont proposés, au moment de Noël, dans ces points de vente.
Une installation de professionnel
En 2006, il déplace son magasin dans le centre ville de Chelles et propose à sa clientèle, un bijou d’authenticité.
Patrice Chapon fait, alors, construire le laboratoire de ses rêves pourvu de tous les outils modernes et nécessaires à la réalisation de ses créations.
L’atelier ouvre en juin 2008. Une équipe de 13 personnes travaillent quotidiennement à ses cotés.
Internet n’est pas oublié puisqu’il lance, en 2007, son site : chocolat-chapon.com, réunissant à la fois une boutique en ligne et un catalogue régulièrement actualisé avec les nouveautés. Les adeptes des trois gamins ne s’y trompent pas, ils viennent y surfer du monde entier.
Excellence et esthétisme : les priorités de Patrice Chapon
Malgré ce développement, l’objectif de Patrice Chapon reste intact : apporter au chocolat la plus grande attention tout en conservant un esprit et une technique encore très artisanale. Ainsi, pour la préparation des collections de Pâques sont utilisés pas moins de 1 000 moules anciens en étain, matériels indispensables pour assurer un brillant parfait.
Conscient de la demande continuelle de la part des passants d’acheter ses créations, et après avoir déménagé 2 fois, Patrice Chapon ouvre, en 1993, un petit point de vente à l’intérieur même de son atelier à Chelles.
Très vite il sépare l’espace de vente de son atelier tant la foule empiète sur son univers. Puis il investit Paris en
transformant, tout d’abord en 2001 : une mercerie, située avenue Mozart dans le 16ème arrondissement, en boutique conforme à celle du film « Le Chocolat ».
Puis, en 2005, il ouvre un petit bijou de magasin, rue du Bac, véritable bonbonnière.
Les murs de cette dernière sont parés de tous les atours du chocolat avec une collection importante de moules anciens encore utiles, mais dont Patrice Chapon a sacrifié leur fonction première.
Dès cette période, son imagination bat son plein : plus de 400 références de chocolats sont proposés, au moment de Noël, dans ces points de vente.
Une installation de professionnel
En 2006, il déplace son magasin dans le centre ville de Chelles et propose à sa clientèle, un bijou d’authenticité.
Patrice Chapon fait, alors, construire le laboratoire de ses rêves pourvu de tous les outils modernes et nécessaires à la réalisation de ses créations.
L’atelier ouvre en juin 2008. Une équipe de 13 personnes travaillent quotidiennement à ses cotés.
Internet n’est pas oublié puisqu’il lance, en 2007, son site : chocolat-chapon.com, réunissant à la fois une boutique en ligne et un catalogue régulièrement actualisé avec les nouveautés. Les adeptes des trois gamins ne s’y trompent pas, ils viennent y surfer du monde entier.
Excellence et esthétisme : les priorités de Patrice Chapon
Malgré ce développement, l’objectif de Patrice Chapon reste intact : apporter au chocolat la plus grande attention tout en conservant un esprit et une technique encore très artisanale. Ainsi, pour la préparation des collections de Pâques sont utilisés pas moins de 1 000 moules anciens en étain, matériels indispensables pour assurer un brillant parfait.
Des voyages au cœur des plantations
Patrice Chapon n’a de cesse de vouloir améliorer la qualité de ses chocolats en fouillant dans le registre des matières premières disponibles et d’être extrêmement exigeant quant à la qualité des origines.
Plusieurs fois par an, Patrice Chapon se déplace sur les plantations pour comprendre les méthodes et rencontrer les hommes responsables de la culture de ce nectar.
Émerveillé par la différence sur le plan humain des planteurs et des faiseurs, il considère que ces voyages sont primordiaux dans sa quête de l’excellence. Véritables sources d’inspiration, ils lui permettent de mieux créer tout en respectant l’élixir. C’est également lors de ces séjours qu’il achète les meilleurs vanille, poivres baies roses et différentes épices, indispensables à la confection de ses créations.
Cependant pour Patrice Chapon la saveur n’est pas le seul gage de qualité, il s’applique également à soigner l’emballage de ses petits bonbons de chocolats. Amateur de décoration, il met en scène
ses créations avec le plus grand raffinement. Le chocolatier souhaite que le produit soit présent à n’importe quelle occasion et dans n’importe quelle situation de la journée.
Pour Patrice Chapon « une boîte de chocolats doit trouver sa place dans chaque pièce d’un foyer. »
Convaincu que le chocolat est un véritable art de vivre, Patrice Chapon souhaite que « chaque homme et femme pense « chocolat », respire « chocolat » et se nourrisse l’esprit de la magie du chocolat ». « Présent dans la mémoire de chacun d’entre nous depuis la plus petite enfance, ce nectar est donc un témoin, un ami, un allié qui ne peut nous trahir ». Patrice Chapon tient à conserver cette idée de générosité, aujourd’hui beaucoup de points de vente, dans le monde entier, sont fidèles à la marque.
Plusieurs fois par an, Patrice Chapon se déplace sur les plantations pour comprendre les méthodes et rencontrer les hommes responsables de la culture de ce nectar.
Émerveillé par la différence sur le plan humain des planteurs et des faiseurs, il considère que ces voyages sont primordiaux dans sa quête de l’excellence. Véritables sources d’inspiration, ils lui permettent de mieux créer tout en respectant l’élixir. C’est également lors de ces séjours qu’il achète les meilleurs vanille, poivres baies roses et différentes épices, indispensables à la confection de ses créations.
Cependant pour Patrice Chapon la saveur n’est pas le seul gage de qualité, il s’applique également à soigner l’emballage de ses petits bonbons de chocolats. Amateur de décoration, il met en scène
ses créations avec le plus grand raffinement. Le chocolatier souhaite que le produit soit présent à n’importe quelle occasion et dans n’importe quelle situation de la journée.
Pour Patrice Chapon « une boîte de chocolats doit trouver sa place dans chaque pièce d’un foyer. »
Convaincu que le chocolat est un véritable art de vivre, Patrice Chapon souhaite que « chaque homme et femme pense « chocolat », respire « chocolat » et se nourrisse l’esprit de la magie du chocolat ». « Présent dans la mémoire de chacun d’entre nous depuis la plus petite enfance, ce nectar est donc un témoin, un ami, un allié qui ne peut nous trahir ». Patrice Chapon tient à conserver cette idée de générosité, aujourd’hui beaucoup de points de vente, dans le monde entier, sont fidèles à la marque.
Des distinctions qui confirment le savoir-faire de Patrice Chapon
La profession et le public ont récompensé le chocolatier à plusieurs titres : lors de concours organisés par le Grand Prix de la Mairie de Paris ou à l’occasion du Salon du Chocolat. Parmi ses créations, il a inventé, par une prouesse technique, un palais d’une impressionnante finesse, 3 mm au total, fourré d’une ganache déclinée aux parfums originaux de « Xérés » ou de Sauterne.
Cette création a été plébiscitée, lors de l’édition 2003 du Salon du Chocolat.
Salon auquel il participe depuis 14 ans ; les organisateurs renouvellent chaque année leur totale confiance en lui
demandant de participer à la création de robes, parfois sans l’aide de couturiers, pour l’organisation du fameux défilé annuel.
Cette création a été plébiscitée, lors de l’édition 2003 du Salon du Chocolat.
Salon auquel il participe depuis 14 ans ; les organisateurs renouvellent chaque année leur totale confiance en lui
demandant de participer à la création de robes, parfois sans l’aide de couturiers, pour l’organisation du fameux défilé annuel.
Des chiffres évocateurs du parcours de Patrice Chapon
Patrice Chapon est âgé de 48 ans
Date de création de Chapon Chocolatier : 1985
Les distinctions reçues
- 14 récompenses obtenues au Salon Intersuc
- 2 fois 1er aux Awards du Salon du Chocolat en 2003 avec le Dôme Praliné au sel fumé
et la Ganache au Café d’origine
- Grand Prix du Chocolat de la Mairie de Paris en 2003 pour le Dôme Praliné au sel fumé
et la Ganache au Café d’origine.
- 1er aux Awards du Salon du Chocolat en 2007 avec le Praliné aux baies roses
Date de création de Chapon Chocolatier : 1985
Les distinctions reçues
- 14 récompenses obtenues au Salon Intersuc
- 2 fois 1er aux Awards du Salon du Chocolat en 2003 avec le Dôme Praliné au sel fumé
et la Ganache au Café d’origine
- Grand Prix du Chocolat de la Mairie de Paris en 2003 pour le Dôme Praliné au sel fumé
et la Ganache au Café d’origine.
- 1er aux Awards du Salon du Chocolat en 2007 avec le Praliné aux baies roses
Quelques exemples des créations Chapon Chocolatier
Les chocolats
- Dôme de praliné au sel fumé : praliné Amandes, noisettes, pistache et sel de Guérande
- Praliné baies roses : praliné à la nougatine de baies roses
- Palets Must Have : un palais d’une impressionnante finesse fourré d’une ganache
- Les craquantes : une coque de nougatine croustillante refermant un praliné au beurre salé
- Crème de praliné au sel fumé et pistache
- Réglette de chocolat noir Pure Origine
- Mini goûter noir et lait
Parmi ses nombreuses créations, Patrice Chapon a inventé le « Bar à Mousse au Chocolat », marque déposée,
qui permet aux clients de déguster un cornet de mousse d’origine différente, à l’instar d’une glace à emporter.
- Dôme de praliné au sel fumé : praliné Amandes, noisettes, pistache et sel de Guérande
- Praliné baies roses : praliné à la nougatine de baies roses
- Palets Must Have : un palais d’une impressionnante finesse fourré d’une ganache
- Les craquantes : une coque de nougatine croustillante refermant un praliné au beurre salé
- Crème de praliné au sel fumé et pistache
- Réglette de chocolat noir Pure Origine
- Mini goûter noir et lait
Parmi ses nombreuses créations, Patrice Chapon a inventé le « Bar à Mousse au Chocolat », marque déposée,
qui permet aux clients de déguster un cornet de mousse d’origine différente, à l’instar d’une glace à emporter.
Les présentations
- Le coffret Théâtre : équipé d’une petite voix invitant à découvrir la boutique Chapon
- La Malle de Voyage 4 tiroirs
- La Boite à sucres laquée
- Le coffret Théâtre : équipé d’une petite voix invitant à découvrir la boutique Chapon
- La Malle de Voyage 4 tiroirs
- La Boite à sucres laquée