Sébastien – Qu’est-ce que tu pourrais dire aux internautes ? Si tu as deux mots qui te caractérisent et que tu voudrais transmettre à ton public.
Jacques Bockel – Alors ce qui me caractérise. Je vais dire c’est comme un très bon chocolat qui a une certaine amertume. Alors je vais dire que j’ai un côté dur à l’extérieur mais tellement fondant à l’intérieur comme un bon chocolat noir. Voilà.
Sébastien – Donc ça c’est ce que toi tu aimes, c’est ça ?
Jacques Bockel – Oui, oui. C’est mon caractère. Je suis comme ça. Je suis, on m’a dit, un peu bourru parfois. Je râle beaucoup mais je pense que j’ai un grand cœur, mais après c’est toujours difficile de parler de soi.
Sébastien – Ça c’est sûr. Est-ce que justement, en parlant de ces différentes variétés, tu préfères l’Afrique ? Tu préfères des origines particulières ou pas du tout ?
Jacques Bockel – Alors non. Justement comme je n’ai pas appris ce métier, alors je vais utiliser un jeu de mots très facile. Je n’ai pas été moulé. Donc moi j’ai décidé d’aborder ce métier du chocolat, cette passion du chocolat différemment. Au départ on me propose des chocolats, je les goûte. Ils me plaisent ou ils me plaisent moyennement mais ce n’est pas grave, je vais les transformer. On va en faire des tablettes ou des bonbons de chocolat, etc. Et donc c’est vrai qu’aujourd’hui je pense que je suis en France, un des chocolatiers qui travaille avec la plus grande diversité de chocolats puisqu’on travaille avec 23 origines de chocolats différents. On a 85 recettes de tablette. On a 90 recettes de bonbon de chocolat. C’est sûr que c’est des fois difficile à gérer mais ça fait partie de moi. Autrement je ne pourrais pas travailler. Donc je mets ça dans les boutiques, etc. et j’attends le retour. On est souvent en osmose avec nos clients. On essaye de l’être. Donc on a un site Facebook qui marche vraiment très très fort. Vraiment très fort. La dernière par exemple que j’ai faite il y a eu 17000 vues, il y a trois quatre jours. On tourne autour de ça. On tourne entre 12000 et 17000, voire 26000 vues le jour où on a mis la nouvelle chocolaterie, où on leur a montré comment sera la nouvelle chocolaterie. Donc j’attends le retour. On essaye toujours d’avoir un échange permanent avec nos clients par internet, ou à travers les boutiques. C’est comme ça qu’on a façonné tout doucement notre collection de chocolats, nos produits qu’on a créés. Voilà. En fin de compte, je ne suis pas là pour imposer mes goûts. J’ai mes goûts à moi qui sont les miens, mais pour moi ce sont les clients qui vont me dicter ma ligne de fabrication.
Sébastien – Toi, est-ce que ça t’intéresserait un jour de partir de la fève de cacao ?
Jacques Bockel – D’ici deux ans nous partirons de la fève de cacao. D’ici deux ans on a tout le matériel pour, mais on va attendre la nouvelle chocolaterie. Alors bien entendu, on ne fabriquera jamais – et ça, personne ne le fait en France, ou alors peut-être un ou deux – mais on n’arrivera jamais à fabriquer puisqu’on fait 100 tonnes aujourd’hui. Mais on fera un chocolat vraiment spécial. On va dire spécial Jacques Bockel. Un chocolat qui me siéra à moi vraiment, encore une fois qui à l’air un peu brut comme ça mais il faudra qu’il soit quand même très doux. Un peu sauvage mais tendre. Sauvage et tendre à la fois.
Sébastien – Vraiment pour te ressembler.
Jacques Bockel – C’est comme ça que je me définis.
Sébastien – Oui, c’est super. Donc ça c’est vraiment un de tes rêves ultimes. Est-ce que tu pourrais dire un dernier mot à nos internautes ? Pour dire : « Allez, venez chez Jacques Bockel, il y a des super trucs, des chocolats fondants, des chocolats de différentes variétés. » Qu’est-ce que tu pourrais leur dire ?
Jacques Bockel – Qu’est-ce que je pourrais leur dire ? Je pourrais dire : « Venez chez Jacques Bockel parce que je pense que dans mes chocolats il y a ma passion. On la ressent et puis en plus on fait le chocolat d’une manière simple. » Un de mes slogans c’est : « Des chocolats Jacques Bockel ? Tout simplement parce que c’est bon. » Voilà.
Sébastien – Super ! En tout cas merci Jack à toi. Merci. C’était une super interview. Moi je vous dis : « À la prochaine pour une autre interview tout simplement à fond chocolat ! » Bye, ciao !
Jacques Bockel – Alors ce qui me caractérise. Je vais dire c’est comme un très bon chocolat qui a une certaine amertume. Alors je vais dire que j’ai un côté dur à l’extérieur mais tellement fondant à l’intérieur comme un bon chocolat noir. Voilà.
Sébastien – Donc ça c’est ce que toi tu aimes, c’est ça ?
Jacques Bockel – Oui, oui. C’est mon caractère. Je suis comme ça. Je suis, on m’a dit, un peu bourru parfois. Je râle beaucoup mais je pense que j’ai un grand cœur, mais après c’est toujours difficile de parler de soi.
Sébastien – Ça c’est sûr. Est-ce que justement, en parlant de ces différentes variétés, tu préfères l’Afrique ? Tu préfères des origines particulières ou pas du tout ?
Jacques Bockel – Alors non. Justement comme je n’ai pas appris ce métier, alors je vais utiliser un jeu de mots très facile. Je n’ai pas été moulé. Donc moi j’ai décidé d’aborder ce métier du chocolat, cette passion du chocolat différemment. Au départ on me propose des chocolats, je les goûte. Ils me plaisent ou ils me plaisent moyennement mais ce n’est pas grave, je vais les transformer. On va en faire des tablettes ou des bonbons de chocolat, etc. Et donc c’est vrai qu’aujourd’hui je pense que je suis en France, un des chocolatiers qui travaille avec la plus grande diversité de chocolats puisqu’on travaille avec 23 origines de chocolats différents. On a 85 recettes de tablette. On a 90 recettes de bonbon de chocolat. C’est sûr que c’est des fois difficile à gérer mais ça fait partie de moi. Autrement je ne pourrais pas travailler. Donc je mets ça dans les boutiques, etc. et j’attends le retour. On est souvent en osmose avec nos clients. On essaye de l’être. Donc on a un site Facebook qui marche vraiment très très fort. Vraiment très fort. La dernière par exemple que j’ai faite il y a eu 17000 vues, il y a trois quatre jours. On tourne autour de ça. On tourne entre 12000 et 17000, voire 26000 vues le jour où on a mis la nouvelle chocolaterie, où on leur a montré comment sera la nouvelle chocolaterie. Donc j’attends le retour. On essaye toujours d’avoir un échange permanent avec nos clients par internet, ou à travers les boutiques. C’est comme ça qu’on a façonné tout doucement notre collection de chocolats, nos produits qu’on a créés. Voilà. En fin de compte, je ne suis pas là pour imposer mes goûts. J’ai mes goûts à moi qui sont les miens, mais pour moi ce sont les clients qui vont me dicter ma ligne de fabrication.
Sébastien – Toi, est-ce que ça t’intéresserait un jour de partir de la fève de cacao ?
Jacques Bockel – D’ici deux ans nous partirons de la fève de cacao. D’ici deux ans on a tout le matériel pour, mais on va attendre la nouvelle chocolaterie. Alors bien entendu, on ne fabriquera jamais – et ça, personne ne le fait en France, ou alors peut-être un ou deux – mais on n’arrivera jamais à fabriquer puisqu’on fait 100 tonnes aujourd’hui. Mais on fera un chocolat vraiment spécial. On va dire spécial Jacques Bockel. Un chocolat qui me siéra à moi vraiment, encore une fois qui à l’air un peu brut comme ça mais il faudra qu’il soit quand même très doux. Un peu sauvage mais tendre. Sauvage et tendre à la fois.
Sébastien – Vraiment pour te ressembler.
Jacques Bockel – C’est comme ça que je me définis.
Sébastien – Oui, c’est super. Donc ça c’est vraiment un de tes rêves ultimes. Est-ce que tu pourrais dire un dernier mot à nos internautes ? Pour dire : « Allez, venez chez Jacques Bockel, il y a des super trucs, des chocolats fondants, des chocolats de différentes variétés. » Qu’est-ce que tu pourrais leur dire ?
Jacques Bockel – Qu’est-ce que je pourrais leur dire ? Je pourrais dire : « Venez chez Jacques Bockel parce que je pense que dans mes chocolats il y a ma passion. On la ressent et puis en plus on fait le chocolat d’une manière simple. » Un de mes slogans c’est : « Des chocolats Jacques Bockel ? Tout simplement parce que c’est bon. » Voilà.
Sébastien – Super ! En tout cas merci Jack à toi. Merci. C’était une super interview. Moi je vous dis : « À la prochaine pour une autre interview tout simplement à fond chocolat ! » Bye, ciao !
Sébastien Rivière et Jacques Bockel© ChocoClic