Plan de développement face au déclin de la production
Le chocolat a beau être, pour presque tous, un petit plaisir quasi quotidien et incontournable, il conserve cependant sa part d’ombre. En effet, derrière chaque fève de chocolat se cache un cultivateur de cacao vivant souvent sous le seuil de pauvreté. C’est pourquoi de nombreuses grandes marque de chocolat, telles que Barry Callebaut, Mars ou encore Blommer, se sont lancées dans des campagnes de développement durable dans les régions d’Afrique de l’Ouest où est cultivé le cacao.
Malgré tout, un article paru en 2018 dans l’international journal of agricultural sustainability (le journal international de l’agriculture durable) nous amène à nous poser de nouvelles questions face à ces entreprises dites solidaires. Il semblerait effectivement que ces démarches liées au développement des cultures de cacao et l’amélioration des conditions de vie des cultivateurs, ne soient en vérité qu’un outil pour assurer aux grand groupes multinationaux chocolatiers des ressources en quantité nécessaire et ce au détriment de ces même cultivateurs.
Malgré tout, un article paru en 2018 dans l’international journal of agricultural sustainability (le journal international de l’agriculture durable) nous amène à nous poser de nouvelles questions face à ces entreprises dites solidaires. Il semblerait effectivement que ces démarches liées au développement des cultures de cacao et l’amélioration des conditions de vie des cultivateurs, ne soient en vérité qu’un outil pour assurer aux grand groupes multinationaux chocolatiers des ressources en quantité nécessaire et ce au détriment de ces même cultivateurs.
Diversification des cultures
Prenons l’exemple de la Côte d’Ivoire et du Ghana, exportateurs de 60% de la production mondiale de chocolat. Après une culture intensive des sols pour la production de cacao, la terre s’est retrouvée appauvrie et les maladies des cacaoyers se sont intensifiées. Pour ne pas perdre leurs revenus, les agriculteurs ont donc eu tendance à se tourner vers d’autres cultures, comme celles du caoutchouc, dont les arbres sont plus résistants et poussent facilement même dans des sols pauvres en nutriments.
Face à cette nouvelle concurrence, qui menaçait d’amenuiser considérablement les productions de cacao, les grandes marques de chocolat ont réagi en finançant des programmes qui déclaraient aider la condition de vie des cultivateurs en boostant leurs productions, en leur donnant par exemple accès à des engrais cela en assurant en vérité un stock de cacao fiable. L’article prouve ainsi que ce qui boosterai réellement la qualité de vie des cultivateurs serait de soit diversifier les cultures ou de se déplacer vers un autre lieu de culture.
Face à cette nouvelle concurrence, qui menaçait d’amenuiser considérablement les productions de cacao, les grandes marques de chocolat ont réagi en finançant des programmes qui déclaraient aider la condition de vie des cultivateurs en boostant leurs productions, en leur donnant par exemple accès à des engrais cela en assurant en vérité un stock de cacao fiable. L’article prouve ainsi que ce qui boosterai réellement la qualité de vie des cultivateurs serait de soit diversifier les cultures ou de se déplacer vers un autre lieu de culture.