Une coupe du monde aux règles strictes
L'équipe française championne du monde de pâtisserie©
Véritable événement international, la Coupe du monde de la pâtisserie existe depuis 1989. Son créateur et toujours président fondateur, Gabriel Paillasson, a toujours souhaité faire de cette compétition une rencontre internationale de la créativité, où se mêlent techniques spécifiques, originalité performances et bien sûr le goût.
Outre les objectifs de création artistique, le comité international d’organisation a souhaité insérer cette année des contraintes techniques supplémentaires et inscrire la dimension éco-responsable dans les créations. Cela s’est traduit par l’introduction d’un prix dédié permettant de récompenser les équipes les plus économes. Ainsi, le poids total des sculptures en chocolat était limité à 15 kilos, la présence d’une fleur en sucre était obligatoire, de même que les moulages étaient en creux, contrairement aux années précédentes.
Outre les objectifs de création artistique, le comité international d’organisation a souhaité insérer cette année des contraintes techniques supplémentaires et inscrire la dimension éco-responsable dans les créations. Cela s’est traduit par l’introduction d’un prix dédié permettant de récompenser les équipes les plus économes. Ainsi, le poids total des sculptures en chocolat était limité à 15 kilos, la présence d’une fleur en sucre était obligatoire, de même que les moulages étaient en creux, contrairement aux années précédentes.
Des équipes professionnelles pour un podium international
La pièce en sucre de l'équipe de France©
Il y avait 22 équipes présentes, chacune composée de 3 spécialistes : l’un en sucre, l’autre en chocolat, et le dernier en glace. Après 10 heures d’épreuves et compositions c’est la France, représentée par Étienne Leroy, Bastien Girard et Jean-Thomas Schneider, qui remporte la compétition. Outre 3 trophées, la somme de 21 000 €, ils ont reçu le prix du Vase de Sèvre des mains du Président de la République.
En deuxième place, pour la médaille d’argent, c’est le Japon qui continue, comme les éditions précédentes à s’imposer parmi les meilleurs pâtissiers. La médaille de Bronze revient à la Suisse, qui avait été longtemps absente de la compétition. Quant au nouveau prix « Eco-responsable », il est décerné aux États-Unis, aussi vainqueur du Prix Glace Taillée.
En deuxième place, pour la médaille d’argent, c’est le Japon qui continue, comme les éditions précédentes à s’imposer parmi les meilleurs pâtissiers. La médaille de Bronze revient à la Suisse, qui avait été longtemps absente de la compétition. Quant au nouveau prix « Eco-responsable », il est décerné aux États-Unis, aussi vainqueur du Prix Glace Taillée.