cabosses
Grâce à la start-up Pink Food Industries cofondée par Felix Okuye et Stephen Sembuya, tous deux 28 ans, le chocolat peut désormais être produit sur place.
Au prix moyen de 7$ par tablette et réservé aux classes les plus aisées du pays, le chocolat souvent suisse ou belge est un produit de luxe dont les habitants d’Afrique de l’Est raffolent. Un produit de fêtes dont ils préfèrent les saveurs gourmandes, douces et sucrées aux arômes profonds et parfois amers, plus appréciés en Europe.
La tablette de chocolat ougandaise est vendue au prix d’1.80$ par internet aux restaurants et hôtels de la capitale. Si le duo se dit satisfait de l’accueil local réservé à leur produit, ils ont été très surpris de voir des commandes provenant de Suisse, d’Egypte, d’Indonésie ou d’Angleterre et ont réalisé la dimension extraordinaire de leur démarche.
Si les entrepreneurs Sembuya et Okuye affirment avoir du mal à trouver les fonds permettant un avenir pérenne à leur entreprise, les exportateurs de cacao et conseillers se penchent sur leur projet et prédisent un bel avenir à la start-up. En faisant travailler plus de 100 cultivateurs et en développant leur marché à l’international, Pink Food Industries est déjà un acteur de l’économie ougandaise.
En produisant plus, les deux amis d’enfance espèrent pouvoir réduire leurs coûts de fabrication et être en mesure de proposer leur chocolat aux supermarchés, à un prix accessible aux habitants du pays.
Au prix moyen de 7$ par tablette et réservé aux classes les plus aisées du pays, le chocolat souvent suisse ou belge est un produit de luxe dont les habitants d’Afrique de l’Est raffolent. Un produit de fêtes dont ils préfèrent les saveurs gourmandes, douces et sucrées aux arômes profonds et parfois amers, plus appréciés en Europe.
La tablette de chocolat ougandaise est vendue au prix d’1.80$ par internet aux restaurants et hôtels de la capitale. Si le duo se dit satisfait de l’accueil local réservé à leur produit, ils ont été très surpris de voir des commandes provenant de Suisse, d’Egypte, d’Indonésie ou d’Angleterre et ont réalisé la dimension extraordinaire de leur démarche.
Si les entrepreneurs Sembuya et Okuye affirment avoir du mal à trouver les fonds permettant un avenir pérenne à leur entreprise, les exportateurs de cacao et conseillers se penchent sur leur projet et prédisent un bel avenir à la start-up. En faisant travailler plus de 100 cultivateurs et en développant leur marché à l’international, Pink Food Industries est déjà un acteur de l’économie ougandaise.
En produisant plus, les deux amis d’enfance espèrent pouvoir réduire leurs coûts de fabrication et être en mesure de proposer leur chocolat aux supermarchés, à un prix accessible aux habitants du pays.