Une baisse de la consommation
Même si le chocolat a toujours autant la côte, la quantité que l’on consomme n’est pas toujours constante. Par exemple, le fameux chocolat suisse, réputé mondialement pour sa qualité, enregistre en effet en 2018 une nette baisse dans les taux de consommation par habitants helvètes. Les suisses auraient en effet mangé 3,4% de moins de chocolat produit sur le territoire cette année.
Proportionnellement, les ventes intérieures ont elles aussi baissé de de 4,8%. Une des causes possible pour expliquer ces chiffres, loin d’un dégoût du chocolat, on vous rassure, serait peut-être l’été particulièrement chaud qui a eu lieu. Les consommateurs privilégiant ainsi plutôt les glaces, plus rafraîchissantes, au chocolat.
Proportionnellement, les ventes intérieures ont elles aussi baissé de de 4,8%. Une des causes possible pour expliquer ces chiffres, loin d’un dégoût du chocolat, on vous rassure, serait peut-être l’été particulièrement chaud qui a eu lieu. Les consommateurs privilégiant ainsi plutôt les glaces, plus rafraîchissantes, au chocolat.
Une augmentation des exportations
Bonne nouvelle pour les chocolatiers suisses cependant, là où les ventes internes ont chutées, l’exportation de chocolats a, elle, nettement augmentée. 72,5% de la production totale de chocolat suisse est donc exportée, ce qui correspond à une augmentation de 8%. Loin d’être négligeable, ces chiffres correspondent à une croissance de 6% des chiffres d’affaire soit un total de 991 millions de francs suisses.
L’importation s’est développée vers l’Australie, le Brésil, la Chine, le Japon ou encore la Russie alors qu’elle a diminuée vers le Moyen Orient et l’Asie du Sud-Est. Même si la consommation en baisse des suisses et l’exportation en hausse se compensent, les chocolatiers suisses gardent quand même une certaine inquiétude pour l’avenir. En effet de nouvelles lois ont été passées concernant notamment l’exportation du chocolat qui risque de la rendre plus coûteuse et donc moins rentable.
L’importation s’est développée vers l’Australie, le Brésil, la Chine, le Japon ou encore la Russie alors qu’elle a diminuée vers le Moyen Orient et l’Asie du Sud-Est. Même si la consommation en baisse des suisses et l’exportation en hausse se compensent, les chocolatiers suisses gardent quand même une certaine inquiétude pour l’avenir. En effet de nouvelles lois ont été passées concernant notamment l’exportation du chocolat qui risque de la rendre plus coûteuse et donc moins rentable.