Le marché florissant de la cocaïne au Pérou
Toute la zone géographique du Pérou est gorgée de terres fertiles, propices à la culture de nombreuses plantes, dont le café, le cacao mais aussi la coca. À tel point que cette dernière place le pays largement devant la Colombie quant à cette production illégale qui alimente le marché de la cocaïne.
Ce constat dramatique a amené nombre d’institutions, dont l’Office des Nations Unies contre la Drogue et le Crime (ONUDC) et des structures associatives ou commerciales comme Chocoléro à intervenir aux côtés des autorités locales pour enrayer la production de coca en aidant et accompagnant les paysans producteurs vers une reconversion plus stable, pérenne mais surtout légale.
Ce constat dramatique a amené nombre d’institutions, dont l’Office des Nations Unies contre la Drogue et le Crime (ONUDC) et des structures associatives ou commerciales comme Chocoléro à intervenir aux côtés des autorités locales pour enrayer la production de coca en aidant et accompagnant les paysans producteurs vers une reconversion plus stable, pérenne mais surtout légale.
Délaisser les cultures de coca au profit du cacao
Si la culture de la Coca est rentable, les revenus qu’en tirent les producteurs sont pourtant relativement aléatoires, dans la mesure où les pertes ( cultures brûlées ou détruites par les autorités), mais aussi la perspective d’être traduit en justice sont les risques quotidiens des acteurs de cette filière. C’est là qu’interviennent les plans d’aide : formation, titres de propriété, accompagnements et engagement d’achat des productions de cacao pour ceux qui décident de se reconvertir.
Chocoléro, start-up belge, compte parmi les acteurs de cette lutte contre la drogue. En octroyant des microcrédits ciblés aux paysans producteurs qui s’engagent dans la culture de cacao, elle s’engage par ailleurs à acheter la production à un prix équitable. Au final, ce « dealer de chocolat » affirme que chaque tablette de chocolat péruvien acheté, c’est un mètre carré de culture de coca en moins. Vous aussi, prenez les armes et participez à la lutte contre le trafic de stupéfiants en achetant du chocolat de la marque Chocoléro.
Chocoléro, start-up belge, compte parmi les acteurs de cette lutte contre la drogue. En octroyant des microcrédits ciblés aux paysans producteurs qui s’engagent dans la culture de cacao, elle s’engage par ailleurs à acheter la production à un prix équitable. Au final, ce « dealer de chocolat » affirme que chaque tablette de chocolat péruvien acheté, c’est un mètre carré de culture de coca en moins. Vous aussi, prenez les armes et participez à la lutte contre le trafic de stupéfiants en achetant du chocolat de la marque Chocoléro.